Auteur : Gaston Desmedt
Posté le 29 novembre 2014  | Édité le 4 juin 2015
Télécharger | Éditer | Reposter | Largeur fixe

LES IDOLES (Esaïe)


Pourquoi dis-tu, ô Jacob, et parles-tu ainsi, ô Israël : Ma voie est cachée devant Jéhovah, mon droit passe inaperçu devant mon Dieu ? Ne le sais-tu pas ? Ne l’as-tu pas appris ? C’est le Dieu d’éternité, Jéhovah, qui a créé les extrémités de la terre. Il ne se fatigue pas, il ne se lasse pas ; on ne peut sonder son intelligence. Il donne de la force à celui qui est fatigué, et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance. Les adolescents se fatiguent et se lassent, et les jeunes hommes chancellent ; mais ceux qui se confient en Jéhovah renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles ; ils courent et ne se lassent pas, ils marchent, et ne se fatiguent pas. Qui a mesuré les eaux dans le creux de sa main, pris les dimensions des cieux avec la paume, et ramassé la poussière de la terre dans un tiers de mesure ? Qui a pesé les montagnes au crochet et les collines à la balance ? Ne le savez-vous pas ? Ne l’avez-vous pas appris ? Ne vous l’a-t-on pas fait connaître dès le commencement ? N’avez-vous jamais réfléchi à la fondation de la terre ? C’est lui qui siège sur le globe de la terre, et ceux qui l’habitent sont comme des sauterelles (à ses yeux). Il a étendu les cieux comme un voile, il les a déployés comme une tente, pour en faire sa demeure. (L’Univers n’est pas infini, il n’est pas le résultat d’une explosion de matière, il n’est pas en expansion : rien ne sait s’étendre dans rien ! Il n’est pas le produit du hasard : le hasard n’a aucune nécessité n’en déplaise à Jacques Monod et consort ; le hasard ne réalise pas un but, et n’obéit pas à des lois ! Nos savants ont le délire, remplis de mensonges et de l’orgueil satanique !  Romains 1 : 18-21, à lire) Levez les yeux en haut, et regardez ! Qui a créé ces choses ? Qui fait marcher en ordre leur armée ? Il les appelle toutes par leur nom ; par son grand pouvoir et par sa force puissante, il n’en est pas une qui fasse défaut. Qui sonde l’Esprit de Jéhovah, et qui l’a éclairé de ses conseils ? Avec qui a-t-il délibéré, pour en recevoir instruction ? Qui lui a appris le sentier de la justice ? Qui lui a enseigné la sagesse, et fait connaître le chemin de l’intelligence ? Voici, les nations sont comme une goutte d’un seau, elle sont comme de la poussière sur une balance ; voici, les îles (les peuples) sont comme une fine poussière qui s’envole. Le Liban (ses cèdres) ne suffit pas pour le feu, et ses animaux ne suffisent pas pour l’holocauste. Toutes les nations sont devant lui comme rien, elles ne sont pour lui que néant et vanité. C’est lui qui réduit les princes au néant, et qui fait des juges de la terre une vanité ; ils ne sont pas même plantés, pas même semés, leur force n’a pas même de racine en terre : il souffle sur eux ; et ils se dessèchent, et un tourbillon les emporte comme le chaume.

A qui me comparerez-vous, pour que je lui ressemble ? dit le Saint, à qui voulez-vous comparer Dieu ? Et quelle image ferez-vous son égale ? C’est un ouvrier qui fond l’idole, et c’est un orfèvre qui la couvre d’or, et y soude des chaînettes d’argent. Celui que la pauvreté oblige à donner peu choisit un bois qui résiste à la vermoulure, il se procure un ouvrier capable, pour faire une idole qui ne branle pas. Le sculpteur encourage le fondeur : celui qui polit au marteau encourage celui qui frappe sur l’enclume ; il dit de la soudure : Elle est bonne ! Et il fixe l’idole avec des clous, pour qu’elle ne branle pas. Ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, et leurs plus belles œuvres ne servent à rien ; elles le témoignent elles-mêmes : elles n’ont ni la vue, ni l’intelligence, pour qu’ils soient dans la confusion. Qui est-ce qui fabrique un dieu, ou fond une idole, pour n’en tirer aucun profit ? (C’est cela une idole : tout ce que l’homme fait et sert, pour satisfaire ses passions charnelles et s’élever au-dessus des autres hommes). Voici, tous ceux qui y travaillent seront confondus. Ce ne sont que des hommes ; qu’ils se réunissent tous, qu’ils se présentent, et tous ensemble, ils seront tremblants et couverts de honte.

Le forgeron fait une hache, il travaille avec les braises, et il la façonne à coups de marteau ; il la forge d’un bras vigoureux ; mais il a faim, le voilà sans force ; ne boit-il pas d’eau, le voilà épuisé. Le charpentier étend le cordeau, fait un tracé au crayon, façonne le bois avec un couteau, et marque ses dimensions avec le compas ; et il produit une figure d’homme, une belle forme humaine, pour qu’elle habite dans sa maison. Il se coupe des cèdres, il prend des rouvres et des chênes, et fait un choix parmi les arbres de la forêt ; il plante des pins, et la pluie les fait croître. Ces arbres servent à l’homme pour brûler, il en prend et il se chauffe. Il y met aussi le feu pour cuire du pain ; et il en fait également un dieu qu’il adore, il en fait une idole, devant laquelle il se prosterne. Il brûle au feu la moitié de son bois, avec cette moitié il cuit sa viande, il apprête un rôti, et se rassasie, il se chauffe aussi et dit : Ha ! Ha ! Je me chauffe, je vois la flamme ! Et avec le reste il fait un dieu, son idole. Il se prosterne devant elle, il l’adore, il l’invoque, et s’écrie : Sauve-moi ! Car tu es mon dieu ! Ils n’ont ni intelligence, ni entendement, car on leur a fermé les yeux pour qu’ils ne voient pas, et le cœur pour qu’ils ne comprennent pas. Il ne rentre pas en lui-même, et il n’a ni l’intelligence, ni le bon sens de dire : J’en ai brûlé une moitié au feu, j’en ai cuit du pain sur les braises, j’ai rôti de la viande et je l’ai mangée ; et avec le reste je ferais une abomination ! Je me prosternerais devant un morceau de bois ! Il se repaît de cendre, son cœur abusé l’égare, et il ne sauvera pas son âme, et il ne dira pas : N’est-ce pas du mensonge que j’ai dans ma main ?

Plaidez votre cause, dit Jéhovah ; produisez vos moyens de défense, dit le roi de Jacob. Qu’ils les produisent, et qu’ils nous déclarent ce qui doit arriver. Qu’elles sont les prédictions que jadis vous avez faites ! Dites-le, pour que nous y prenions garde, et que nous en reconnaissions l’accomplissement ; ou bien, annoncez-nous l’avenir. Dites ce qui arrivera plus tard, pour que nous sachions que vous êtes des dieux ; faites seulement quelque chose de bien ou de mal, pour que nous le voyions et le regardions ensemble. Voici, vous n’êtes rien, et votre œuvre est le néant ; c’est une abomination que de se complaire en vous. Je regarde, et il n’y a personne, personne parmi eux qui prophétise, et qui puisse répondre, si je l’interroge. Voici, il ne sont tous que vanité, leurs œuvres ne sont que néant, leurs idoles ne sont qu’un vain souffle.

Îles, faites silence pour m’écouter ! Que les peuples raniment leur force (dans le sens allégorique, les îles figurent donc bien les peuples !), qu’ils avancent, et qu’ils parlent ! Approchons pour plaider ensemble. Ainsi parle Jéhovah, le roi d’Israël et son rédempteur, Jéhovah des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, et hors moi, il n’y a pas de Dieu. Qui a comme moi, fait des prédictions depuis qu’anciennement j’ai fondé le peuple ? Qu’il le déclare, qu’il me le montre ! Que toutes les nations se rassemblent, et que les peuples se réunissent ! Lesquels nous ont fait entendre les premières prédictions ? Qu’ils produisent leurs témoins et qu’ils justifient leurs allégations ; qu’on les écoute et qu’on dise : C’est vrai ! Et qu’ils annoncent donc l’avenir et ce qui doit arriver ! Ils reculeront, ils seront confus, ceux qui se confient aux idoles taillées, ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux !

Mais toi, Israël, mon serviteur, Jacob (celui qui hérita de la Promesse à la place de l’aîné ! Jacob est une figure des serviteurs de Dieu et du reste des élus, ayant été choisis par Dieu à la place du peuple infidèle), que j’ai choisi, race d’Abraham que j’ai aimé ! Toi, que j’ai pris aux extrémités de la terre (dans le monde païen), et que j’ai appelé d’une contrée lointaine, à qui j’ai dit : Tu es mon serviteur, je te choisis, et ne te rejette pas. Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante. Voici, ils seront confondus, ils seront couverts de honte, tous ceux qui sont irrités contre toi ; ils seront réduits à rien, ils périront, ceux qui disputent contre toi. Tu les chercheras, et ne les trouveras plus, ceux qui te suscitaient querelle ; ils seront réduits à rien, réduits à néant, ceux qui te faisaient la guerre. Car je suis Jéhovah, ton Dieu, qui fortifie ta droite, qui te dis : Ne crains rien, je viens à ton secours. Ne crains rien, vermisseau de Jacob, faible reste d’Israël ; je viens à ton secours, dit Jéhovah, le Saint d’Israël est ton sauveur. N’ayez donc pas peur, et ne tremblez pas ; ne te l’ai-je pas dès longtemps annoncé et déclaré ? Vous êtes mes témoins : y a-t-il un autre Dieu que moi ? Il n’y a pas d’autre rocher, je n’en connais pas. Vous êtes mes témoins, dit Jéhovah, vous (le faible reste des princes de Dieu), vous et mon serviteur que j’ai choisi ; pour que vous le sachiez, que vous me croyiez et compreniez que c’est moi ; avant moi il n’a pas été formé de Dieu, et après moi il n’y en aura pas. C’est moi, moi qui suis Jéhovah (Celui qui fait être), et hors de moi il n’y a pas de sauveur. C’est moi qui ai annoncé, sauvé, prédit, ce n’est pas parmi vous un dieu étranger. Vous êtes mes témoins, dit Jéhovah, c’est moi qui suis Dieu. Je le suis dès le commencement, et nul ne délivre de ma main ; j’agirai : qui s’y opposera ? Souviens-toi de ces choses, Ô Jacob ! Ô Israël ! (Christ !) Car tu es mon serviteur ; je t’ai formé, tu es mon serviteur Israël (prince de Dieu), je ne t’oublierai pas. J’efface tes transgressions comme un nuage, et tes péchés comme une nuée ; reviens à moi, car je t’ai racheté. Cieux, réjouissez-vous ! Car Jéhovah a agi ; profondeur de la terre, retentissez d’allégresse ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Vous aussi forêts, avec tous vos arbres ! Car Jéhovah a racheté Jacob (le supplenteur, le nouveau peuple de Dieu, celui qui prend la place de l’aîné ! Matthieu 21 :43,44), il a manifesté sa gloire en Israël.

Ainsi parle Jéhovah, ton rédempteur, celui qui t’a formé dès ta naissance : Moi, Jéhovah, j’ai fait toutes choses, seul j’ai déployé les cieux, seul j’ai étendu la terre. J’anéantis les signes des prophètes de mensonges, et je proclame insensés les devins (les spirites, ceux qui s’appuient sur le calendrier Maya, l’astrologie, les fausses apparitions mariales, les médiums etc.) ; Je fais reculer les sages, et je tourne leur science en folie. Mais je confirme la parole de mon serviteur, j’accomplis ce que prédisent mes envoyés ; je dis de Jérusalem : Elle sera habitée, et des villes de Judas : Elles seront rebâties, je relèverai leurs ruines. Je dirai à l’abîme (la mer des peuples) : Dessèche-toi, je tarirai tes fleuves ! Ils reculeront, ils seront confus, ceux qui se confient aux idoles taillées, ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux ! Voici, je fais de toi (Christ) un traîneau aigu, tout neuf, garni de pointes : tu écraseras, tu broieras les montagnes (nations), et tu rendras les collines (les peuples) semblables à la balle. Tu les vanneras, et le vent les emportera, et un tourbillon les dispersera. Mais toi, tu te réjouiras en Jéhovah, tu mettras ta gloire dans le Saint d’Israël !

Les malheureux et les indigents cherchent de l’eau (la vérité), et il n’y en a pas, leur langue est desséchée par la soif. Moi, Jéhovah, je les exaucerai ; moi, le Dieu d’Israël, je ne les abandonnerai pas. Je ferai jaillir des fleuves (de connaissances) sur les collines (les peuples), et des sources (les serviteurs de Dieu) au milieu des vallées ; je changerai le désert en étang, et la terre aride en courant d’eau (par le témoignage des hommes de Dieu) ; je mettrai dans le désert l’acacia, le myrte et l’olivier (trois arbres incorruptibles figurant les serviteurs de Dieu !) ; je mettrai dans les lieux stériles le cyprès, l’orme et le buis (le reste des élus), tous ensemble ; pour qu’ils (les malheureux et les indigents, ceux destinés à survivre) voient, qu’ils sachent, qu’ils observent et considèrent que la main de Jéhovah a fait ces choses, que le Saint d’Israël en est l’auteur.

Jéhovah s’avance comme un héros, il excite son ardeur comme un homme de guerre ; il élève la voix, il jette des cris, il manifeste sa force contre ses ennemis. J’ai longtemps gardé le silence, je me suis tu, je me suis contenu, je crierai comme une femme en travail, je serai haletant et je soufflerai tout à la fois. Je ravagerai montagnes et collines, et j’en dessécherai toute la verdure ; je changerai les fleuves en terre ferme, et je mettrai les étangs à sec. Je ferai marcher les aveugles sur un chemin qu’ils ne connaissent pas, je les conduirai par des sentiers qu’ils ignoraient ; je changerai devant eux les ténèbres en lumière, et les endroits tortueux en plaines, et je ne les abandonnerai pas. Sourds, écoutez ! Aveugles, regardez et voyez ! Qui est aveugle, sinon mon serviteur (Israël, mon peuple), et sourd, sinon celui a qui j’ai envoyé mes messagers. Qui est aveugle, comme l’ami de Dieu (Abraham : sa descendance !), aveugle comme le serviteur de Jéhovah (les Etudiants de la Bible !) Tu as vu beaucoup de choses, mais tu n’y a pas pris garde ; on a ouvert les oreilles, mais on n’a pas entendu.

Jéhovah a voulu, pour le bonheur d’Israël, publier une loi grande et magnifique, mais ils n’ont pas voulu marcher dans ses voies, ils n’ont pas écouté sa loi. Et c’est un peuple pillé et dépouillé ! On les a tous enchaînés dans des cavernes, plongés dans des cachots ; ils ont été mis au pillage, et personne qui les délivre ! Dépouillés, et personne qui dise restitue ! Qui parmi vous prêtera l’oreille à ces choses ? Qui voudra s’y rendre attentif et écouter à l’avenir ?

Qui à livré Jacob au pillage, et Israël aux pillards ? N’est-ce pas Jéhovah ! Nous avons péché contre lui, aussi a-t-il versé sur Israël l’ardeur de sa colère et la violence de la guerre ; la guerre l’a embrasé de toutes parts, et il n’a pas compris ; elle l’a consumé, et il n’y a pas pris garde. Et tu ne m’as pas invoqué, ô Jacob ! Car tu t’es lassé de moi, ô Israël ! Tu ne m’as pas offert tes holocaustes, et tu ne m’as pas honoré par tes sacrifices ; tu n’as pas à prix d’argent acheté pour moi des aromates, et tu ne m’as pas rassasié de la graisse de tes sacrifices.. Mais ce n’est pas pour des offrandes que j’ai été tourmenté, ce n’est pas pour de l’encens, que j’ai été fatigué ; tu m’as tourmenté par tes péchés, tu m’as fatigué par tes iniquités. Réveille ma mémoire, plaidons ensemble, parle toi-même pour te justifier ! Ton premier père a péché, et tes interprètes se sont rebellés contre moi. C’est pourquoi j’ai traité en profane les chefs du Sanctuaire, j’ai livré Jacob à la destruction, et Israël aux outrages.

Ecoute maintenant, ô Jacob, mon serviteur ! Ô Israël, que j’ai choisi ! C’est moi, moi qui efface tes transgressions pour l’amour de moi, et je ne me souviendrai plus de tes péchés. Car ainsi parle maintenant Jéhovah, qui t’a créé, ô Jacob ! Celui qui t’a formé, ô Israël ! Ne crains rien, car je te rachète, je t’appelle par ton nom : tu es à moi ! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi, et les fleuves, ils ne te submergeront pas ; si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, et la flamme ne t’embrasera pas. Car je suis Jéhovah, ton Dieu, le Saint d’Israël, ton sauveur ; je donne l’Egypte pour ta rançon, l’Ethiopie et Saba à ta place (ce monde). Parce que tu as du prix à mes yeux, parce que tu es honoré et que je t’aime, je donne des hommes à ta place, et des peuples pour ta vie. Ne crains rien, car je suis avec toi ; je ramènerai de l’orient ta race, et je te rassemblerai de l’occident. Je dirai au septentrion : Donne ! Et au midi : Ne retiens pas ! Fais venir mes fils des pays lointains, et mes filles de l’extrémité de la terre, tous ceux qui s’appellent de mon nom, et que j’ai créés pour ma gloire, que j’ai formés et que j’ai faits. Qu’on fasse sortir le peuple aveugle, qui a des yeux, et les sourds qui ont des oreilles ! Ainsi parle Jéhovah, qui t’a fait, et qui t’a formé dès ta naissance, celui qui est ton soutien : Ne crains rien, mon serviteur Jacob, mon Israël que j’ai choisi. Car je répandrai des eaux sur le sol altéré, et des ruisseaux sur la terre desséchée (la connaissance de la vérité) ; je répandrai mon esprit sur ta face, et ma bénédiction sur tes rejetons. Ils pousseront comme au milieu de l’herbe, comme les saules près des courants d’eau. Celui-ci dira : Je suis à Jéhovah ; celui-là se réclamera du nom de Jacob ; et cet autre écrira de sa main : A Jéhovah ! Et il prononcera avec amour le nom d’Israël.

Le 29 novembre 2014
Gaston Desmedt
desmedt.gaston@gmail.com

Sommaire des autres textes disponibles: http://textup.fr/114431VW

x
Éditer le texte

Merci d'entrer le mot de passe que vous avez indiqué à la création du texte.

x
Télécharger le texte

Merci de choisir le format du fichier à télécharger.