Auteur : Gaston Desmedt
Posté le 1 décembre 2014  | Édité le 4 juin 2015
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La chute de Babylone la Grande
Oracle sur le désert de la mer

Oracle sur le désert de la mer (le désert des peuples : Ezéchiel 20 :35,36 ! L’oracle revient au jour de Jéhovah). Comme s’avance l’ouragan du midi, il vient du désert, du pays redoutable (les nations soumises à l’Antéchrist !) Une vision terrible m’a été révélée. L’oppresseur opprime, le dévastateur dévaste (à Armaguédon : Daniel 9 : 26,27). C’est pourquoi mes reins sont remplis d’angoisse ; des douleurs me saisissent, comme les douleurs d’une femme en travail ; les spasmes m’empêchent d’entendre, le tremblement m’empêche de voir. Mon cœur est troublé, la terreur s’empare de moi ; la nuit de mes plaisirs devient une nuit d’épouvante. On dresse la table, la garde veille, on mange, on boit. Debout, princes ! Oignez le bouclier ! Monte Elam ! Assiège Médie !

(Elam est une province de la Perse où se trouvait Suse ; une des trois capitales de Cyrus ; aujourd’hui c’est une province de l’Iran. Cyrus était à la tête des armées mèdo-perses, quand il s’empara de l’empire babylonien. Cyrus figurant le royaume céleste des fils de l’homme, présent déjà sur terre par la présence des serviteurs de Dieu et du reste des élus : Luc 17 : 20, l’Ecriture prend ici Elam et Médie pour représenter les armées célestes des anges de Dieu. Sous la direction du royaume, elles vont faire tomber « Babylone la Grande » Apocalypse 17 : 1-18).

Car ainsi m’a parlé le Seigneur, Jéhovah : Va, place la sentinelle, qu’elle annonce ce qu’elle verra. Elle vit de la cavalerie, des cavaliers deux à deux, des cavaliers sur des ânes, des cavaliers sur des chameaux ; et elle était attentive, très attentive. Puis elle s’écria comme un lion : Seigneur, je me tiens toute la journée et je suis à mon poste toutes les nuits ; et voici, il vient de la cavalerie, des cavaliers deux à deux ! Elle prit encore la parole, et dit : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone, et toutes les images de ses dieux sont brisées par terre ! (Apocalypse 14 :6-13 : à lire ici absolument, pour être convaincu que mes explications sur ces oracles divins, transmis il y a 2800 ans par Esaïe, sont exactes et qu’ils concernent notre temps).

Ô mon peuple, qui a été battu comme du grain dans l’aire ! Ce que j’ai appris de Jéhovah des armées, le Dieu d’Israël, je vous l’ai annoncé. Car Jéhovah aura pitié de Jacob (des fils de l’homme héritiers du royaume céleste), il choisira encore Israël (le prince de Dieu), et les rétablira dans leur pays. Les étrangers (la multitude venant de tous les peuples) se joindront à eux, ils s’uniront à la maison de Jacob. Les peuples les prendront, et les ramèneront à leur demeure, et la maison d’Israël les possédera dans le pays de Jéhovah (la terre), comme serviteurs et comme servantes ; ils retiendront captifs ceux qui les avaient faits captifs, et ils domineront sur leurs oppresseurs. Et quand Jéhovah t’aura donné du repos, après tes fatigues et tes agitations, et après la dure servitude qui te fut imposée, alors tu prononceras ce cantique sur le roi de Babylone, et tu diras : Et quoi ! Le Tyran n’est plus ! L’oppression a cessé !

Jéhovah a brisé le bâton des méchants, la verge des dominateurs. Celui qui dans sa fureur frappait les peuples, par des coups sans relâches, celui qui dans sa colère subjuguait les nations, est poursuivi sans ménagement. Toute la terre jouit du repos et de la paix ; on éclate en chant d’allégresse. Les cyprès, même les cèdres du Liban, se réjouissent de sa chute. Depuis que tu es tombé, personne ne monte pour nous abattre. Le séjour des morts s’émeut jusque dans ses profondeurs, pour t’accueillir à ton arrivée ; il réveille devant toi les ombres, tous les grands de la terre, il fait lever de leur trône tous les rois des nations. Tous prennent la parole pour te dire : Toi aussi, tu es sans force, comme nous, tu es devenu semblable à nous ! Ta magnificence est descendue dans le séjour des morts, avec le son des luths ; sous toi est une couche de vers, et les vers sont ta couverture. Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l’aurore (Satan) ! Tu es abattu en terre, toi, le vainqueur des nations !

(L’Astre brillant, fils de l’aurore, désigne Satan ; mais personnifié sur terre par le règne mondial qu’il a établi à la place de Christ, le royaume voulu par Dieu pour diriger l’humanité. Il est personnifié par l’Organisation des Nations Unies, dominée par la prostituée de l’Apocalypse, qui domine sur tous les « rois » de la terre : la haute finance mondialiste, l’arme de domination principale de l’Antéchrist. Ce dernier ne désigne donc pas un homme, comme on l’imagine généralement, mais l’empire du diable, qui fut symbolisé par la Grande Pyramide sans Pyramidon. Celui-ci étant constitué par les puissances spirituelles mauvaises, au sommet desquelles se trouve Satan, l’adversaire de Dieu. Le Pyramidon se trouve donc dans les cieux spirituels. C’est la raison pour laquelle la Grande Pyramide, faussement attribuée à Chéops, et qui fut construite avant le déluge au cours de la civilisation des géants, n’a pas de Pyramidon. Ce sont les « fils du ciel », les géants qui aidèrent les hommes à construire la Grande Pyramide. C’est ce qui explique la hauteur de 8 mètres de la grande galerie menant à la chambre de roi. Les géants ont dû pénétrer à l’intérieur de la grande galerie pour monter l’énorme bloc de granite constituant le plafond de la chambre. Pour ce faire, ils laissèrent ouvert le côté de l’entrée de la Pyramide. Les découvertes archéologiques, nombreuses, ont montré que les géants avaient jusqu’à cinq mètres de haut et plus. Le nom de « Babylone la Grande », donné par l’Apocalypse à l’autorité mondiale, lui est donné, non seulement en souvenir de l’empire babylonien qui détruisit Jérusalem et son Temple, mais également en souvenir de l’antique Babel, dont Dieu interrompit la construction, en divisant l’humanité par la confusion du langage. Après avoir anéanti « Jérusalem », le peuple de Dieu, qui fut un « Temple » pour Dieu au temps de sa fidélité, Dieu interrompra la construction de la Babylone moderne, en jetant la confusion et la division dans les assemblées de la « bête », et c’est bien ce qui se réalise en cette année 2014 !)

Tu disais (Satan) en ton cœur : Je monterai au ciel, j’élèverai mon trône au-dessus des étoiles (anges) de Dieu ; je m’assiérai sur la montagne de l’assemblée, à l’extrémité du septentrion : (en face de Dieu qui s’est placé au midi de Jérusalem, dans le Sinaï) ;  je monterai sur le sommet des nues, je serai semblable au Très-Haut. Mais tu as été précipité dans le séjour des morts, dans les profondeurs de la fosse. Ceux qui te voient fixent sur toi leurs regards. Ils te considèrent attentivement : Est-ce là cet homme qui faisait trembler la terre, qui ébranlait les royaumes, qui réduisait le monde en désert, qui ravageait les villes, et ne relâchait pas ses prisonniers ? Tous les rois des nations, oui, tous reposent avec honneur, chacun dans son tombeau. Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, comme un rameau qu’on dédaigne, comme une dépouille de gens tués à coup d’épée, et précipité sur les pierres d’une fosse, comme un cadavre foulé au pieds. Tu n’es pas réuni à eux dans le sépulcre, car tu as détruit ton pays, tu as fait périr ton peuple. On ne parlera plus jamais de la race des méchants.

Préparez le massacre des fils, à cause de l’iniquité de leur père ! Qu’ils ne se relèvent pas pour conquérir la terre, et remplir le monde d’ennemis ! Je me lèverai contre eux, dit Jéhovah des armées ; j’anéantirai le nom et la race de Babylone, ses descendants et sa postérité, dit Jéhovah. J’en ferai le gîte du hérisson et un marécage, et je la balaierai avec le balai de la destruction. Ô Jéhovah ! Tu es mon Dieu : je t’exalterai, je célébrerai ton nom, car tu as fait des choses merveilleuses ; tes desseins conçus à l’avance se sont fidèlement accomplis. Car tu réduis la ville en un monceau de pierres, la cité forte en un tas de ruines ; la forteresse des barbares est détruite, jamais elle ne sera rebâtie. C’est pourquoi les (survivants des) peuples puissants te glorifient, les villes des nations puissantes te craignent, (celles contenant les survivants de ce monde). Tu as été un refuge pour le faible, un refuge pour le malheureux dans la détresse, un abri contre la tempête, un ombrage contre la chaleur, car le souffle des tyrans est comme l’ouragan qui frappe une muraille. Comme tu domptes la chaleur dans une terre brûlante, tu as dompté le tumulte des barbares (durant la 3ème guerre mondiale) ; comme la chaleur est étouffée par l’ombre d’un nuage, ainsi ont été étouffés les chants de triomphe des tyrans.


Le 1er décembre 2014
Gaston Desmedt
desmedt.gaston@gmail.com

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