La fuite de "l'hiver d'un jour de Sabbat"

La fuite de « l’hiver d’un jour de Sabbat »

L’année sabbatique, la shmita, qui débuta avec l’année civile juive, en septembre 2014, est en cours, et les trois derniers mois de la dernière génération se terminent le 15 juin, avec la dernière génération de ce monde.

Dans sa prophétie sur les temps de la fin, Jésus dit : « Priez pour que votre fuite n’arrive pas l’hiver d’un jour de Sabbat (il parle donc de l’année Sabbatique, de la septième année d’une semaine d’années ; elle correspond à la 7ème année de la crise mondiale qui éclata en septembre 2008). Car alors la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et si ces jours n’étaient pas abrégés, si Jéhovah n’avait pas abrégé ces jours personne, nulle chair ne serait sauvée, mais à cause des élus ces jours seront abrégés, il les a abrégés à cause des élus qu’il a choisis, (ceux-ci ayant sacrifié leur vie en ce monde, pour que l’humanité soit sauvée). » Matthieu 24 : 20,22.

De quelle fuite Jésus parle ? Fuir où, qui, quoi ? De tout temps, qu’est-ce qui faisait fuir les populations de leur pays, de leur patrie, abandonnant tout derrière elles ? Les guerres et les révolutions, les persécutions et la famine les plongeant dans la détresse ! Abandonnant tout derrière eux, les gens partaient à la recherche d’une terre d’asile, dans l’espoir d’un meilleur futur, de trouver l’Eldorado de la légende.

Au sens allégorique, « l’hiver d’un jour de Sabbat » désigne les trois derniers mois. Depuis le printemps 2010, les chiffres de l’immigration, déjà énormes à l’époque, n’ont cessé d’augmenter. Nous sommes à environ neuf semaines de la fin de la génération, et depuis un mois l’immigration et les déplacements de populations explosent ; la détresse qu’elles connaissent est immense, jamais égalée depuis le commencement de ce monde ! D’autant plus que depuis un certain temps, dans les terres d’asile possible, de plus en plus de voix s’élèvent pour qu’on ferme les portes aux demandeurs d’asile, car leur accueil, suite aux politiques insensées qui s’y pratiquent, appauvrit de plus en plus les peuples de ces pays, qui eux-mêmes finissent par connaître des détresses croissantes. Ce n’est ni une fuite ni une détresse à venir, cela se passe et s’amplifie chaque jour sous nos yeux. C’est cette fuite, et cette immense détresse que notre Seigneur annonça. Sans intervention divine, elles conduisent inexorablement l’humanité à s’anéantir dans une guerre nucléaire puisque Jésus dit que Dieu abrégera cette détresse, sans quoi nulle chair ne serait sauvée ; seules les armes nucléaires peuvent anéantir toute vie sur terre.

Ce qui précède se comprend, quand on considère les ordonnances de la loi transmise par Moïse, concernant l’année sabbatique, presque pareilles aux ordonnances de la 50ème année, toutes deux étant une illustration du monde nouveau sous le règne de Christ: les principales sont : La liberté pour tous, affranchissement des esclaves, retour dans son pays, sa famille et sa propriété, remise de toutes les dettes et repos de la terre ! Car « chacun habitera sous sa vigne et sous son figuier » : Michée 4 : 4.

Quelle évidence faut-il de plus pour comprendre et être convaincu que la fin de ce monde surviendra le 15/16 juin 2015 où la dernière génération accordée à ce monde sera passée ?

Gaston Desmedt,
Samedi 18 avril 2015

desmedt.gaston@gmail.com

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