Auteur : Gaston Desmedt
Posté le 25 juin 2015
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Les clés ouvrant les portes du savoir

Dans l’original des Sept piliers de la Sagesse (Proverbes + Ecclésiaste, il y a trois mille ans environ), le Fils unique de Dieu, notre Seigneur Jésus, est personnifié par la Sagesse et il nous dit : « Préférez mes instructions à l’argent, et la connaissance à l’or le plus précieux ; car la sagesse vaut mieux que les perles, elle a plus de valeur que tous les objets de prix. »
L’importance du savoir, pour connaître Dieu, son Fils, et le dessein de Dieu à l’égard de l’humanité, est soulignée par ces admirables paroles des Sept Piliers de la Sagesse :
« J’étais un fils pour mon père, un fils tendre et unique auprès de ma mère. Certes, je suis plus stupide que personne, je n’ai pas l’intelligence d’un homme, car je n’ai pas appris la sagesse, et je ne connais pas la science des saints. Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu ? Qui a recueilli le vent dans ses mains ? Qui a fait paraître les extrémités de la terre ? Quel est son nom, et quel est le nom de son Fils ? Le sais-tu ? (Celui qui fait être ; celui qui fait être et sauve ! Soit Jéhovah et Jésus-Christ !)
Elle m’instruisit alors, et elle me disait : Que te dirais-je, mon fils, objet de mes vœux ? C’est par la sagesse (Jésus) que Jéhovah a fondé la terre, c’est par l’intelligence qu’il a affermi les cieux (créé les corps célestes) ; c’est par sa connaissance que les abîmes (les eaux) se sont ouverts, et que les nuages distillent la rosée. Avant toute chose, acquière donc la sagesse, et avec tout ce que tu possèdes, acquière l’intelligence.
N’oublie pas les paroles de ma bouche, et ne t’en détourne pas. N’abandonne pas la sagesse, et elle te gardera ; aime-la et elle te protégera. Car heureux l’homme qui a trouvé la sagesse, et l’homme qui possède l’intelligence ! Le gain qu’elle procure est préférable à celui de l’argent, et le profit qu’on en tire vaut mieux que l’or, elle est plus précieuse que les perles, elle a plus de valeur que tous les objets de prix. Dans sa droite est une longue vie ; dans sa gauche la richesse et la gloire. Ses voies sont agréables, et tous ses sentiers sont paisibles. Elle est un arbre de vie pour ceux qui la saisissent, et ceux qui la possèdent sont heureux.
Mon fils, si tu reçois mes paroles, et si tu gardes avec toi mes préceptes, si tu rends ton oreille attentive à la sagesse, et si tu inclines ton cœur à l’intelligence ; oui, si tu appelles la sagesse et si tu élèves ta voix vers l’intelligence ; si tu la cherches comme l’argent, si tu la poursuis comme un trésor, alors tu comprendras la crainte de Jéhovah, et tu trouveras la connaissance de Dieu. Car Jéhovah donne la sagesse ; de sa bouche sortent la connaissance et l’intelligence. Il tient en réserve le salut pour les hommes droits, un bouclier pour ceux qui marchent dans l’intégrité, en protégeant les sentiers de la justice et en gardant la voie de ses fidèles. Alors tu comprendras la justice, l’équité, la droiture, toutes les routes qui mènent au bien. Car la sagesse viendra dans ton cœur, et la connaissance fera les délices de ton âme ; la réflexion veillera sur toi, l’intelligence te gardera, pour te délivrer de la voie du mal. »
Un des chefs des démons empêcha l’ange Gabriel de répondre à la prière de Daniel durant trois semaines de jours, 21 (3). Au bout de ceux-ci, à son arrivée auprès du prophète, Gabriel lui dit : « Je viens pour te faire connaître ce qui est caché dans le livre de la vérité », celui que Dieu fit écrire, dont la rédaction fut commencée par Moïse.
Après avoir donné à Daniel la révélation des événements derniers, l’un des deux hommes vêtus de lin (Apoc. 19 : 8) se trouvant dans la vision (ils figurent les deux témoins de l’Apocalypse), demanda : « quand sera la fin de ces prodiges ? » Gabriel fit alors le serment des trois nombres (3 temps et demi, 1290 et 1335 jours). Daniel ne les comprenant pas demanda alors quand sera la fin des révélations prodigieuses reçues, (c’est-à-dire le jour de la constitution du règne céleste, car c’est par cela que Gabriel termine les révélations cachées dans le livre de la vérité). Mais l’ange lui dit que ces paroles seront tenues secrètes jusqu’au temps de la fin. Cependant il lui dit également que plusieurs les liront, que la connaissance ira croissante, mais seuls les intelligents (les serviteurs de Dieu « vêtus de lin », les justes) comprendront. La date du dernier jour se trouve donc dans le saint Livre et ses nombres. Cependant, malgré la recherche qu’ils effectueront dans le Livre saint, la date de la fin ne se révélera qu’au moment choisi par Dieu. Est-ce le moment ?
Depuis 1975, 40 ans déjà, les hommes nés de Dieu le 16 juin 35 cherchent dans Le Livre la date du dernier jour. Pour se faire, après avoir constaté que les docteurs Juifs de la loi avaient falsifié tous les nombres et toute l’Écriture, dont ils firent un vrai puzzle, ils ont rétabli tout le texte original, y compris des données chronologiques de la Bible. Ils trouvèrent alors plusieurs dates pouvant être celle de la fin. A chaque fois, les événements dans le monde semblaient les confirmer, mais aucune ne se révéla être la date.
Dans l’Écriture les clés ouvrant les portes du savoir sont les nombres, ceux utilisés par Dieu pour faire comprendre le sens caché, allégorique, des récits historiques qu’il fit rédiger : Exode 17 : 14. Ainsi que pour marquer ses constantes interventions, dans le déroulement de l’histoire des hommes vivant sous la domination des puissances spirituelles maléfiques. Examinons l’Écriture sous cet angle. Et d’abord, rappelons-nous la signification des principaux nombres en usage dans les Écritures, partiellement expliqués dans mes textes précédents.
Le nombre deux désigne allégoriquement « plusieurs » : il désigne littéralement deux choses, mais le plus souvent « plusieurs ». Les deux témoins de l’Apocalypse, ce sont tous ceux nés de Dieu le 16 juin 1935 dans les langues des nations.
Le nombre trois désigne les trois sortes d’hommes naissant sur terre sous la domination de Satan. Ils ont été figurés par les trois fils d’Adam et les trois fils de Noé nommément cités. Quand ce nombre se rencontre dans un récit, en plus du sens littéral, il désigne tout ce dont il est question, et « le troisième » désigne le dernier. Par exemple, « le troisième jour », le « troisième mois », la « troisième année », désigne le dernier jour, le dernier mois, la dernière année. Ainsi, quand il est dit de Jésus qu’il ressuscita « le troisième jour », comme son sacrifice figurait celui qui sera accompli par ses disciples, au sens allégorique du récit, cela annonce que les élus, oints pour partager son règne, ressusciteront « au dernier jour » : Jean 11 : 23,24.
Il en est de même du nombre quatre : « les quatre êtres vivants » de l’Apocalypse désignent toutes les divisions des armées célestes des anges fidèles à Dieu. Les quatre bêtes sortant de la mer, en Daniel, désignent toutes les nations divisées par leurs différentes associations. Mais « le quatrième jour », le quatrième mois etc., désigne le dernier jour, le dernier mois.
Cinq désigne une partie de ce qui est totalisé par dix : Les dix vierges de la parabole dont cinq sont sages et cinq sont folles. Cela ne signifie pas  que « la moitié » des vierges sont sages, et l’autre moitié folles. Jésus a dit : « Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mène à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a peu qui le trouvent. » Matthieu 7 : 13 et 14.
Six, le double de trois, désigne aussi une des trois sortes d’hommes naissant sur terre. Multiplié par trois, dix-huit (9), il désigne les hommes réellement à l’image de Dieu, naissant au sein des trois races d’hommes, dans toute l’humanité, dans tous les peuples : Ézéchiel ch. 18. Ou de trois choses possédées par une des trois. En Apocalypse, la bête à sept têtes et dix cornes se caractérise par 666, car Satan lui a donné les trois pouvoirs par lesquels elle domine le monde. Fonctionnant sous le système démocratique, six, par rapport à ses dix cornes, désigne la majorité des voix, soit aux assemblées générales de tous les membres de l’ONU, soit à son Conseil de Sécurité. Cela lui donne automatiquement le nombre 60, désignant la majorité du pouvoir économique mondial : la statue d’or haute de 60 coudées, large de 6, érigée par le roi de Babylone ; nous le voyons avec les sanctions économiques prises contre la Russie, par exemple : cela confirme le ch. 13 de l’Apocalypse vs. 17. Et 600, la majorité du pouvoir militaire du monde : les 600 chars de Pharaon ; la lance de Goliath pesant six cents cycles de fer. C’est une des trois races d’hommes (6), celle de Caïn, qui constitue la partie visible de la bête, ses dix cornes soumises aux sept têtes : les puissances spirituelles maléfiques servant le dragon.
Sept n’entrant pas dans le système duodécimal en usage avant le déluge, l’Écriture l’utilise pour parler de Dieu et des êtres du monde céleste ; ainsi que des serviteurs de Dieu dont la destinée est céleste, et de tous ceux qui régneront avec le Seigneur : les serviteurs de Dieu (7) ; le reste des élus, (70) :(10+7, ce sont ceux que les serviteurs de Dieu libèrent de la puissance du diable par leur savoir : les 70 palmiers d’Elim sont abreuvés par les douze sources d’eau).
Huit est le nombre des survivants du déluge, et l’Écriture utilise ce nombre pour désigner la multitude d’Apocalypse 7 : 9-17, les survivants de ce monde, comme l’indique les huit degrés ou marches pour entrer dans le parvis extérieur du Temple de la vision d’Ézéchiel.
Neuf est le nombre de mois de gestation pour que l’homme, créé à l’image du Dieu d’amour, ayant la faculté de pratiquer l’amour vrai, ce qui implique nécessairement d’avoir le libre arbitre, neuf mois pour que l’homme naisse donc du sein de la terre arable, où Dieu le créa dans un lieu secret : Psaumes 139 : 15. Neuf sert donc à parler des hommes réellement à l’image de Dieu, mettant en pratique l’amour du prochain.
Dix désigne les temps de domination de Satan sur l’humanité : les dix générations d’avant le déluge, les dix générations d’après le cataclysme. Il sert également à parler de ceux subissant sa domination : les dix cornes de la bête figurant toutes les nations unies dans l’Antéchrist ou ONU ; les dix vierges de la parabole ; les dix tribus d’Israël qui se séparèrent du trône de David, et furent anéanties par les Assyriens ; la domination satanique elle-même.
Onze, 10 + 1, nombre intérieur deux. Désigne la domination mondiale précédant celle de Christ : c'est-à-dire le royaume de Dieu (1), et donc l’Antéchrist qui devait paraître dans les temps de la fin : le Conseil de Sécurité de l’ONU+EU. C’est la raison du remplacement de Judas comme apôtre. Les apôtres ne pouvaient rester au nombre de onze, vu qu’ils figuraient tous les serviteurs nés de Dieu des temps de la fin, et que leur nombre douze, nombre absolu, est indéfini : Actes 1 : 15-25.
Douze, 10 + 2, nombre intérieur trois, est le nombre des temps ou mois d’une année terrestre. Il est utilisé comme nombre absolu pour désigner tous les hommes vivant durant la domination de l’Adversaire de Dieu, comme aussi ceux qui seront sauvés : les 120.000 hommes de Ninive, dans la prophétie de Jonas ; ou pour parler de la totalité des choses existant durant cette domination, comme les trois races d’hommes figurés par les fils d’Adam et de Noé ; les douze apôtres de Jésus ; les douze tribus d’Israël ; les douze pains consacrés du Tabernacle du désert, etc.
Treize, 10 + 3, nombre intérieur 4, désigne toutes les divisions des armées célestes des anges, chacune ayant une tâche particulière dans l’accomplissement du dessein de Dieu. Il désigne aussi tous les hommes, divisés en associations de peuples, langues et nations durant la domination satanique : les quatre bêtes sortant de la mer, en Daniel.
Quatorze, 2 x 7, 10 + 4, nombre intérieur 5. Matthieu 1 : 17 révèle qu’il désigne toute la durée d’une période de temps délimitée et arrêtée par Dieu, et donc « une partie » des périodes de temps, celles arrêtées par Dieu, ceci dans le cadre des siècles accordés à Satan pour exercer sa domination sur l’humanité. C’est donc aussi un nombre absolu, totalisant ce dont les récits parlent.
Quinze, 10 + 5, nombre intérieur 6. Parle de la totalité d’une race d’homme, existant en ce monde soumis aux puissances spirituelles mauvaises, et donc d’une « partie » des hommes subissant cette domination
Seize, 2 x 8, 10 + 6, nombre intérieur 7. Parle de l’action divine. Elle s’exerce par l’entremise de ses serviteurs (race d’Abel) (7), dans le but de sauver pour la seconde fois l’humanité (8).
Dix-sept, 10 + 7, nombre intérieur 8, désigne la lutte menée par les hommes nés de Dieu (7) durant la domination de Satan (10), afin de sauver l’humanité (8). Il désigne en quelque sorte l’œuvre de Jésus et de ses disciples, Christ donc.

Alors voici : L’homme naquit du sein de la terre arable, après neuf mois de gestation, à la nouvelle lune du printemps 4092 avant notre ère, et les années de l’humanité doivent se compter à partir de cette nouvelle lune, selon l’ordre de Dieu donné à Moïse. Toutefois, Dieu ayant créé l’homme neuf mois plus tôt dans un lieu secret au sein de la terre, à la 7ème nouvelle lune depuis celle du printemps, soit en septembre 4093 av. n. ère, les années divines, celles des actions de Dieu concernant l’humanité, se comptent à partir de septembre 4093 av. n. ère.
(Par l’erreur du moine Denys, notre ère commence quatre ans après la naissance de Jésus.). Avant le déluge, l’axe de la terre était droit, et les corps célestes de notre système solaire tournaient autour de notre astre sur des cercles parfaits. L’année terrestre était de 360 jours, divisés par douze mois égaux de 30 jours. La nouvelle lune du printemps arrivait toujours à la même date. Ce ne fut plus le cas après le déluge et selon le cycle Métonien, la nouvelle lune ne se produit désormais à la même date que tous les dix-neuf ans.)
Dans les prophéties sur la fin des temps, en Daniel et en Apocalypse, nous constatons que Dieu utilise toujours les années de 360 jours d’avant le déluge, avec des mois égaux de 30 jours, années qui commencèrent en septembre 4093, neuf mois avant la nouvelle lune du printemps 4092. Lorsque le déluge survint, en 910 depuis la naissance Adam, suite au bouleversement planétaire provoqué par l’éclatement de la planète d’Olbers entre Mars et Jupiter, l’année tropique s’allongea de 5 jours, 5 heures, 48 minutes, 45 secondes, mais Dieu n’en tient pas compte. Et cela pose problème pour déterminer le commencement du règne millénaire de Christ, qui à sa constitution dans le ciel doit mettre fin à ce monde : Daniel 2 : 44.
En Genèse, les sept jours d’aménagement de notre planète, pour y rendre la vie possible, sont des jours de 7000 ans de 360 jours chacun. Le 7ème « jour », celui du Sabbat de Dieu, débuta à la fin du 6ème jour de 7000 ans, qui se termina par la création d’Ève, en l’an 30 d’Adam. C’est donc en l’an 30/31 d’Adam, 4063 av. n. ère, que commencèrent les 7000 années de 360 jours du Sabbat de Dieu, qui se terminera par le règne millénaire de Christ.
Aujourd’hui, nous sommes en 2014-15 de n. ère jusqu’au 29 août, en comptant les années divines depuis la création d’Adam, en septembre 4093 av. n. ère. 4093 + 2014-15=6107 ans. Et depuis le commencement du 7ème jour, des 7000 ans du Sabbat de Dieu donc, 4063 av. n. ère, le 30 août 2014-15 il se sera écoulé 6077 ans. Ces 77 ans dépassant les premiers six millénaires du Sabbat de Dieu cachent un mystère important, car c’est le nombre qui désigne le royaume des fils de l’homme qui régneront avec Christ : 7, les serviteurs de Dieu des temps de la fin, 70, le reste des élus dont parle les prophéties, ceux que les serviteurs de Dieu doivent arracher à la puissance de Satan par leur savoir : Esaïe 53 : 11.
Or, après bien des tâtonnements (Actes 17 :25-31), dans mes derniers textes, je suis arrivé à déterminer que les quatre dernières générations sous la domination de Satan (160 ans), s’achèveront le 29 août 2014-2015). Jésus a dit que la dernière ne passera pas que tout cela n’arrive, et la dernière chose qu’il a dit avant ces paroles, c’est le rassemblement par les anges des élus dispersés aux quatre vents de la terre, ceci pour constituer le règne céleste. Et selon Daniel 2 :44, c’est à sa constitution dans le ciel que le royaume de Dieu mettra fin à ce monde. Nous avons donc un problème à résoudre. La fin n’est pas encore survenue, alors que le règne millénaire de Christ a débuté il y a 77 ans !
Il est certain que les jours de la semaine de la Genèse sont égaux, tous sont de 7000 années de 360 jours, y compris le 7ème. Or, à partir de 3183 avant notre ère, 910 d’Adam, l’année du déluge, les années terrestres se sont allongées de 5 jours, 5 heures, 48 minutes, 45 secondes. Dieu ne les prenant pas en compte dans les années de 360 jours des origines, il faut les soustraire des 77 ans dépassant les 6000 ans. C’est-à-dire qu’il faut soustraire 5197 x 5 jours, 5 heures, 48 minutes, 45 secondes, ce qui fait au total 75 ans, 8 mois, 3 jours, 15 heures, 33 minutes, 45 secondes. Il y a un reste de 1 an, 3 mois, 26 jours, 8 heures, 26 minutes, 15 secondes. Soit un reste de 477 jours.
En reculant de ce nombre de jours depuis le 29 août, nous tombons sur le 8/9 mai 2014. Or, Jésus est monté au ciel le 40ème jour de sa résurrection, soit le 5 mai. Sur des si longues périodes de temps, une marge d’erreur de trois ou quatre jours est acceptable, vu les différents fuseaux horaires et le cycle Métonien des nouvelles lunes ; suivant l’heure à laquelle est visible à l’œil nu en Israël, la date peut varier de 24 heures à 36 heures, sur le calendrier astronomique.
Toutefois, selon la loi, « le jour de Dieu », celui des interventions divines durant la domination de son Adversaire, débute le 10 du 7ème mois de l’année qu’il imposa à Moïse. C’est précisément pour dire qu’il s’agit des actions divines en faveur de l’humanité durant la domination de Satan (10). Il faut donc compter les années prophétiques à partir du 10 du 7ème mois, et le dernier jour de la dernière génération sera le 6 septembre 2015 (2014). En reculant de 477 jours depuis cette dernière date, nous tombons sur le samedi 17 mai 2014. Or, c’est à la Pentecôte de l’an 29, le 15 mai, 50ème jour après la Pâque qui a suivi la mort de Jésus, que les disciples du Seigneur ont fait naître l’assemblée ou église de Christ, en convertissant en un seul jour des milliers de personnes.
Lorsque les Juifs demandèrent à Jésus quand viendra le royaume de Dieu, Jésus répondit, le royaume de Dieu ne viendra pas de manière à frapper les regards, car voici, le royaume est au milieu de vous. C’était parce que Jésus était au milieu des Juifs, qu’il était la tête du royaume des fils de l’homme à venir, et qu’il rassemblait autour de lui les autres fils de l’homme destinés à régner avec lui. Or, lorsque le royaume sera constitué dans le ciel et qu’il mettra aussitôt fin à ce monde, selon Daniel 2 :44, cela sera visible pour tous ! Apocalypse 1 : 6, 7. Cela signifie que le 7ème millénaire du Sabbat de Dieu a commencé en 2014, le 15 mai, à la date anniversaire de la Pentecôte de l’an 29.
Pourquoi à cette date précisément ? Par sa présence sur terre, Jésus-Christ, Jésus l’Oint, le principal du royaume conçu par Dieu, celui-ci se trouvait au milieu des hommes. Mais après sa mort et sa résurrection, après avoir aussi instruit ses disciples durant quarante jours, pour qu’ils comprennent les Écritures, Jésus monta au ciel rejoindre Dieu, son Père. Durant dix jours ensuite, jusqu’au 50ème jour, jusqu’à la Pentecôte, le royaume cessa d’être présent sur terre. Mais lorsqu’à la Pentecôte l’esprit saint fut répandu sur les 120 disciples, qui se mirent aussitôt à annoncer la bonne nouvelle du royaume de Dieu, par leur présence « au milieu des hommes » poursuivant l’œuvre de Jésus-Christ, le royaume fut de nouveau au milieu des hommes, jusqu’à ce que l’Esprit saint se retira de l’Assemblée chrétienne primitive, à cause des Antéchrists ayant commencé à régner sur les assemblées chrétiennes. Or, les serviteurs de Dieu des derniers jours figurés par les deux témoins de l’Apocalypse, accomplissent les deux ministères, celui de Jean-Baptiste, le premier oint, et celui du deuxième oint, Jésus-Christ : Daniel 9 : 24,25 (à lire dans le texte original tome VII b). La date du 15 mai 2014 donne la date où les serviteurs de Dieu sont passés du ministère de Jean-Baptiste à celui de Jésus-Christ. Historiquement, c’est quand Jean-Baptiste fut emprisonné, que Jésus commença à annoncer la venue proche du royaume de Dieu : Contrairement à ce que l’on dit dans la chrétienté, ce sont les deux ministères, celui de Jean-Baptiste et celui de Jésus-Christ, qui ont duré ensemble 1260 jours ou trois temps et demi.
L’année prophétique 2014-2015 est donc la dernière année de ce monde. Comptée depuis la guerre de Crimée 1854 la quatrième génération se termine avec cette année prophétique 2014-2015, le 6 septembre. Comme Jésus l’a dit, elle ne passera pas que le royaume de Dieu n’ait remplacé la domination de Satan. Et cela n’aura lieu que lorsque le royaume sera constitué dans le ciel. La date doit encore se révéler et être confirmée par la clé des nombres. Elle sera révélée à ceux qui survivront, soit par les serviteurs de Dieu vivant encore, soit par l’Esprit de Dieu, selon la prophétie de Joël.
En Amos 3 : 7 il est écrit : « Le Seigneur, Jéhovah, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs, les prophètes. Le lion rugit, qui ne serait effrayé ? Le Seigneur Jéhovah, parle, qui ne prophétiserait ? » Dans le sens allégorique de l’Écriture, « le lion rugit » pour l’exécution du jugement divin, et le secret de Jéhovah en ce temps-ci c’est la date du « dernier jour » de ce monde.
Selon le Psaume 90 vs. 10, qui concerne les serviteurs de Dieu des temps de la fin, j’en avais conclu que le règne céleste serait constitué cinq jours avant le 16 juin, puis trois jours avant, et que le dernier jour de ce monde serait le 15/16 juin. La fin de ce monde a été différée, suivant Ézéchiel, Habacud et l’apôtre Pierre. Mais elle se produira au cours des semaines qui s’écouleront jusqu’au 10ème jour du 7ème mois. En examinant certains événements du passé ayant été marqués par la clé des nombres, peut-être que cela nous éclairera pour résoudre ce dernier mystère, car il nous faut une certitude.
14 générations s’écoulèrent depuis Hénoch, le premier prophète, qui naquit de Dieu avant le déluge, quand Dieu fît naître Abraham, « le père de tous les croyants ». C’était en 1960 (16) d’Adam, 2133 (9) av.n.ère. Et 1960 c’est 49 x 40 ans et la première année de sa vie était une 50ème année, une année Pentecôte. Avant de se révéler à lui, Dieu le laissa 70 ans sous la domination du Diable, adorer les dieux de bois et de pierres. C’est quand il fut dans sa 70ème année, au 7ème mois de l’an 2030 d’Adam, 2059 (16) ans av la naissance de Jésus, que Dieu lui fit la Promesse du royaume. 28 (4x7) ans plus tard, l’année de la destruction de Sodome et Gomorrhe, étant dans sa 98ème année, l’an 2058 d’Adam, 2031 av. Jésus, Dieu lui fait engendrer Isaac, sa postérité héritière de la Promesse, figure de sa postérité spirituelle, et il meurt 77 ans plus tard, en l’an 2135 d’Adam, 1958 av.n.ère, ayant vécu 175 ans ou 7 x 25 ans (7) ! Il est manifeste, considérant ces nombres, qu’Abraham est une figure des serviteurs de Dieu des temps de la fin. Et l’année où il engendre sa postérité, héritière de la Promesse du royaume, l’année où Dieu fit détruire Sodome et Gomorrhe, qui illustre le monde d’aujourd’hui, est une figure de la dernière année de ce monde. Or, il sera détruit au moment même où la Promesse du royaume se réalisera.
Après Abraham, 14 générations s’écoulèrent jusqu’à David, la grande figure du royaume de Dieu. Puis 14 générations de David à la déportation à Babylone du peuple de Dieu, puis 14 générations encore jusqu’au Christ, la tête du royaume de Dieu à venir.
Jésus fut précédé de Jean-Baptiste, « la voix qui crie dans le désert » des peuples. L’un et l’autre naquirent, comme tous les prophètes, une 7ème année, celle du 584ème septénaire depuis Adam. Jean-Baptiste le 1er du septième mois, dans la nuit du 11/12 septembre 5 avant notre ère ; Jésus six mois plus tard, 7 jours avant la fin de l’année sacrée 5 av. n.ère, dans la nuit du 3 au 4 mars de l’an 4 avant notre ère.
C’est en 4117 d’Adam, 25 (7) de n. ère, le premier jour du 7ème mois de l’année sacrée, que Dieu envoya Jean-Baptiste prêcher le baptême de repentance. Et le 10 du 7ème mois, 22 septembre, Jean-Baptiste commença son ministère. C’était une 50ème année, une année Pentecôte, la 50ème année du 84ème (12 x 7) cycle de 49 ans ! La 50ème année du 44ème (8) cycle depuis Abraham. 70 ans plus tard, après avoir reçu la Révélation de Jésus-Christ ou Apocalypse l’apôtre Jean mourut, (fin 94 début 95). Depuis le début du retour en grâce du peuple de Dieu, un siècle s’était écoulé. 20 ans plus tard, les anciens ayant survécu à l’apôtre Jean étant tous morts, en 114/115 de n. ère, 120 ans après l’annonce de la naissance de Jean-Baptiste, (trois générations), sous l’action des antéchrists sévissant déjà au temps de Paul et de Jean, (les chrétiens qui voulaient dominer dans les assemblées), l’église chrétienne primitive commença à se diviser, subit l’influence des philosophies païennes, particulièrement de Platon, se détourna de la vérité en Christ, et l’Esprit saint se retira du peuple chrétien. Ceux-ci furent plongés dans les ténèbres annoncées par Jésus, ténèbres spirituelles « où personne ne peut travailler » à l’œuvre de salut de Dieu : Jean 9 : 4.
17 siècles (8) plus tard, en 1851/52, Dieu fit naître Ch.T. Russell, afin de redonner des disciples à notre Seigneur Jésus. Rempli d’Esprit saint dès le sein de sa mère, (comme le fut Jean-Baptiste : Luc 1 : 16-18), il suscita les Étudiants de la Bible, qui reprirent la prédication de la Bonne Nouvelle : la proche venue du royaume de Dieu. Russell naquit le 16 (7) février 1852 (16=7), sur le continent américain, à Pittsburgh. Il mourut fin octobre (10ème mois) 1916 (1+9=10 ; 1+6=7 !) Satan le fit mourir au cours d’une tournée de conférences, dans un train au Texas. Après sa mort, comme souvent dans le passé, son successeur Rutherford, sortant de prison (1919/1920), détourna les Étudiants de la Bible du témoignage de Jésus et de ses apôtres.
14 ans plus tard, en 1934-35, dans toutes les langues des nations, Dieu fit naître ses serviteurs pour les temps de la fin. Ils naquirent le 16 (7) juin 1935 (18), ce qui signifie qu’il les fit naître pour le salut de tous ceux qui son à son image, dans tous les peuples et nations. Car c’est dans tous les peuples que les trois races d’hommes existent. C’était la 7ème année du 123ème cycle de 49 ans et la première année de leur vie, comme celle d’Abraham, est une cinquantième année, une Pentecôte.
En 1960 (40 x 49 ans), ils lisent pour la première fois les Évangiles, puis le reste des Écritures ; entrent en contact avec des Étudiants de la Bible se dénommant Témoins de Jéhovah.
1961 (10+7), convaincus que la vérité dont parla Jésus se trouve dans la Bible, ils se font baptiser, vouant leur vie à Dieu pour le servir dans son dessein de sauver l’humanité.
1964-65 (21, 3X7), dans le cours de leur trentième année, ils réalisent soudain qu’ils comprennent par eux-mêmes les Écritures, particulièrement les prophéties de Daniel, et qu’ils n’ont plus besoin d’être enseignés par personne : 1 Jean 2 : 20-27. C’est dès cet instant qu’ils comprennent que les dirigeants des T.J. se détournent des vérités bibliques, que Dieu est en colère contre ce peuple et qu’il va subir son châtiment pour une abomination commise. La même année, ils écrivent aux dirigeants de Brooklyn pour dénoncer leur faux enseignement sur la résurrection. Ils décident néanmoins de rester parmi eux jusqu’à ce qu’ils comprennent ce qu’est cette « abomination commise en lieu saint », dont parla Jésus. Mais toujours en la même année 1965, ayant commis une faute, (qu’ils dénoncent eux-mêmes, ne voulant pas tromper leur frères chrétiens), ils sont exclus des assemblées du peuple, sans avoir compris déjà « l’abomination commise par les chefs du peuple ».
Leur exclusion ne les empêcha pas de continuer à acquérir le savoir nécessaire à la compréhension des Écritures et à sonder sans cesse la parole de Dieu. (En ce qui me concerne, j’étais plutôt inculte, n’ayant pas été scolarisé à cause de la guerre, si ce n’est au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles, pour apprendre le violon.) 4 ans plus tard, en 1969 (25) leur vie privée étant redevenue conforme aux principes de vie chrétienne, ils se font réintégrer au sein des témoins, jusqu’à ce qu’ils comprennent l’abomination commise par leurs dirigeants.
En 1970 (10+7), l’Esprit de Dieu leur fait comprendre qu’ils sont appelés à régner avec Christ.
En 1971 (10+8) ils en rendent témoignage en participant au pain et au vin, à la commémoration du dernier repas de Jésus avec ses disciples. Et en février 1972 (10+9) ils visitent le Bethel de Brooklyn à New York, comprennent que l’abomination commise par les chefs du peuple est le culte du veau d’or, du pouvoir de l’argent, et de retour dans leur assemblée, ils participent pour la seconde fois au pain et au vin, lors de la Commémoration, ceci pour confirmer leur témoignage de 1971. Peu après ils s’élèvent contre les chefs du peuple, sont exclus définitivement des assemblées, et ils poursuivent leur œuvre sans plus s’attacher à aucune église ou organisation religieuse, décidés à adorer Dieu en esprit et selon la vérité, comme Jésus l’a dit à la Samaritaine.
En 1975 (10+12), sur la base des données chronologiques de nos Bibles, falsifiées par les docteurs Juifs de la loi, depuis plusieurs années les dirigeants des Témoins laissaient entendre que la fin surviendrait en septembre/octobre 1975. Grâce à cela ils connurent un grand accroissement partout dans le monde. Leur déception fut grande, beaucoup perdirent la foi et abandonnèrent l’organisation mondiale des T.J. Septembre 1975 était le début de la quatrième et dernière génération, qui ne passera pas avant que tout ne soit accompli. C’est depuis lors que les serviteurs de Dieu commencèrent à rechercher la date de la fin, cachée par Dieu dans les Écritures.
1978 (25=7), chaque serviteur fonda une communauté chrétienne, à l’image des convertis de la Pentecôte de l’an 29, communauté largement familiale mais ouverte à tous. Leur début fut merveilleux, du point de vue de la pratique des principes chrétiens. Mais au bout de vingt ans, l’hypocrisie, la cupidité et la méchanceté de certains eurent raison de notre communauté chrétienne, et tous finirent par se disperser dans le monde pour réaliser leurs ambitions personnelles. Ces vingt années ont été figurées par les vingt années de l’Arche du témoignage dans la maison d’Abnadab, au temps de Samuel.
En ce qui me concerne, durant une douzaine d’années, tout en continuant de travailler à rétablir l’original du Livre de Dieu et à rechercher la date de la fin, j’ai gardé des contacts réguliers avec une famille de notre communauté, dans l’espoir de les garder dans la foi, mais dès septembre 2005 (7), septième année du 123ème cycle de 49 ans depuis que l’homme se détourna de Dieu, il était devenu évident que je perdais mon temps : le fils aîné de la famille, orgueilleux et égoïste, ne pensant qu’à réaliser ses ambitions personnelles en ce monde, persuada ses frères et sœurs que l’Esprit saint s’était retiré de moi ; il le fit hypocritement, et ce n’est qu’en 2010, vers la fin de la première moitié de la 70ème semaine de la prophétie de Daniel, que j’ai rompu tout contact avec eux, si ce n’est par téléphone et par écrit avec Nicla, la mère, qui restait dans la foi et mourut cette année-là. C’est en 2006, dernière cinquantième année de la dernière génération, le 23 octobre, que commença la 70ème semaine de la prophétie de Daniel, les six mois et sept temps de la Parousie de Jésus pour le jugement des habitants de la terre etc.…
En considérant tous ces événements depuis Abraham, marqués par la clé des nombres, il est manifeste que ces événements ne se sont pas fait sans le doigt de Dieu et l’entremise de notre Seigneur Jésus. Jésus en son temps déclara aux Juifs, qui lui reprochaient de faire des guérisons le jour du Sabbat : « Mon Père travaille toujours, et moi aussi je travaille ». Et il est incontestable que la clé des nombres montre que Dieu, par amour pour l’humanité, travaille depuis le début de ce monde à son salut. Dans tout ce que je viens de rappeler, il n’y a pas place pour le hasard. Alors, qu'en est-il de la date du dernier jour de ce monde ? Elle sera révélée par l’Esprit saint peu avant la constitution du règne céleste. Le nouvel ordre économique mondiale est sur le point de s’écrouler, la réalisation des chapitres 17, 18 et 19 de l’Apocalypse sont en cours de réalisation, nous ne tarderons plus longtemps pour connaître la date du « dernier jour » de ce monde.


Le 25 juin 2014/2015
Gaston Desmedt
         

desmedt.gaston@gmail.com

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