Dark legend :

Dans ce monde fait d'obscures légendes, quatre peuple co-existent entre eux. Les vampires , les loups garous, les méthamorphes ainsi que les humains, chacun octroyés d'un unique donc. A chaque peuple un chef.
Un jour, par la mésaventure, vous voilà emprisonné avec une autre race. On vous dit que cela est temporaire, mais la réalité est tout autre, vous êtes liés à lui par des menottes enchantés qu'aucun de vos pouvoirs ne pourra détruire. Pour s'échapper, une seule solution, accomplir la quête et atteindre le lieu où sera votre libération. Parviendriez-vous à défaire tous les obstacles sur votre passage ?

Enfermé :

Je suis différent. Différent de toi, de tout être qui peut exister en ce monde. C'est sans doute pour cette même raison que l'on m'a enfermé. Mon don dérange. Je suis capable de chose qu'aucune science ne serait-ce à même de reproduire. Mes capacités sont au-delà des votres. Je vous fais peur.
J'ai peu, enfermé, seul, dans cette cellule. Fou. Je suis sans doute fou. C'est pour ça, que chaque jour, tu viens et fais des tests sur moi. Des expériences qui me font mal. Pour me soigner ? Dis... Un jour, pourrais-je revoir la lumière du jour qui est remplacé par ces lumières tamisées ?

Le majordome

Tu m'as choisi, pour te servir, je te dois amour et allégeance, dans mon rôle, de majordome. Je ne peux me permettre d'aller au-delà de mon rôle. C'est en dehors des règles. Je n'ai pas le droit de les enfreindre... Tu changes devant mes yeux et je ne peux rien faire. Tu tombes amoureuse... Je suis seul. Puis-je changer ta destinée, au risque de tout perdre ?

Handicape

Un accident et tout a basculé. Pourtant, vous aviez tout. L’argent. La beauté. La luxure. Rien n’y manquait, tout pour vous n’était que jeu. Les femmes ou bien encore les hommes. Vous testiez tout. Mais il y a eu ce jour, où, après l’un de vos nombreux loisirs, cet accident ait survenu. Cela fait déjà plusieurs semaines, que sur cette chaise roulante, vous regardez par la fenêtre, incapable de vous lever, ou encore de bouger. Vos bras, vous parvenez à les sentir, mais c’est un réel supplice pour vous, de ne serait-ce, les lever. Vos amis ? De temps en temps, ils viennent vous voir, car après tout, vous êtes fortuné et peut être, dans cette mesure, s’il vous arrivé quelque chose, son héritage pourrait bien comporter son nom à l’intérieur. Vos parents ? Ils sont désespérés à l’idée de vous voir peu à peu tomber, dans ce néant. Alors, du jour au lendemain, votre mère a eu une idée et a engagé, pour vous, une fille, qui vous aidera dans votre peine.

Elle cherchait un boulot, elle ne parvenait à rien puis, un jour, par coïncidence, cette dame, de bonne famille, est venue vers vous, et vous a proposé cet emploi. Après tout, tant qu’elle pouvait gagner de l’argent, cela lui convenait…