Chapitre 3
Pot de Colchique
Altaïr était fou. C’était forcé. Dans l’esprit de Jude, tout du moins, c’était le cas ! Finalement, il ne savait pas qui était le plus fou, entre lui et son ami aigle. Il n’arrivait toujours pas à croire, que, déterminer à ne pas faire de bruit, il préparait quelques vivres, et des petites choses indispensables… Telle que son coquillage trouver sur la plage lors de sa plus tendre enfance.
Il fourra dans son sac en peau de renard quelques vêtements de rechange, des vivres, pas mal d’eau… Il semblait entré dans une phase, ou seul son corps agissait. Il ne voulait pas quitter l’île. Il n’avait jamais voulu la quitter. Il aimait les gens du village, leur façon de le féliciter lorsqu’il réparait leur lavabo. Il aimait cette ambiance, chaleureuse. Il n’y avait pas plus de 200 habitants dans ce petit village, mais, tout le monde se connaissait. Les soirs ou, le vieux au cigare sortait son instrument étrange, accompagné de la Lyre de sa constellation, entamant une musique entrainante, sous les rires des hommes, alors que les enfants chahutaient. Les patrouilles de chasse qui, se hurlait dessus, comme des adolescents un peu trop colériques, faisant profiter tout le village. Et puis, le bon pain chaud de son patron… ce pain… Il aurait tué pour en manger toute sa vie.
Ce fut sur cette penser qu’il saisit du pain pour le fourrer dans son sac.
Un petit félin, aux yeux perçant dans la pénombre, regardais le jeune homme se dépêcher, discret comme un chat en chasse. Il secoua sa queue. Il n’aimait pas ça.
-         Jude…
La voix du lynx n’arrêta pas la danse étrange de panique de son maître. Sur cette phrase bien trop longue pour cet immense chat, il s’étira, baillant avec une infime discrétion, continuant de fixer le brun.
-         Ce n’est pas une bonne idée, on le sait tous les deux. Le ton glaciale du félin ne plus pas au jeune plombier.
-         Tait toi Eyes. Chuchota Jude, Je sais que c’est la pire idée de toute ma vie.
-         Alors pourquoi tu continues à faire tes bagages triple buse ? Bailla Eyes en secouant paresseusement sa tête.
-         Pour Ampelios et Tenshi… Il fit mine de réfléchir et ajouta, Ah et pour cette idiot d’Altaïr, avec un peu de chance il sera assez bête pour se travestir !
Dans une colère nouvelle, il fourra un vieux vêtement dans son sac de peau, continuant de fouiller sa chambre a la recherche de quoi que ce soit d’utile. Eyes le lynx soupira. Son maître avait toujours cette manie de mettre sa peur sur le dos de ses amis. De toute façon, le félin le savait bien, ou que soit ces idiot d’humain qu’il appelait « amis », il les suivra comme un gentille petit chien. Bon, il n’avait pas vraiment à critiquer ce point vue ça condition, mais tout de même.
Une fois de plus, il s’étira, éloignant le plus possible ses grande patte, griffant la couverture négliger du lit de Jude, avant de sauter du dit lit. Un peu fatiguer, il secoua sa tête pour se réveiller un peu plus, et, en poussa un énième et insupportable bâillement, il posa son arrière train sur le sol avec une sorte de grâce que tout félin digne de ce nom avait. Gratta lascivement l’arrière de son arrière, il demanda, presque curieux.
-         Et votre plan c’est quoi pour vous rendre là-bas ?
-         Moins fort Eyes ! Chuchota Jude en fermant enfin le sac
-         Votre plan ? Répéta Eyes agacé en chuchotant
-         Aries garde avec lui une paire de sandale qui vole… Répondu négligemment Jude connaissant les séquelles mythologique de sa constellation, Ces sandale ce dirige toujours vers le palais des Zodiaque Divin, pour éviter qu’il se perde. Il restera plus qu’à les suivre…
-         Moui moui, intéressant, Le lynx feignait la fascination en reposant paresseusement sa patte sur le sol, Et Tenshi et toi vous allez faire comment ?
-         Tenshi voleras un talisman magique qui permet à Arni de voler au-dessus de l’eau. C’est plus une question de vitesse pour lui vue qu’il peu nager d’immense distance.
Le lynx leva une sorte de sourcille, intriguer de la logique qu’un bélier à la toison d’or puisse nager jusque sur le continent… Il baissa alors le regard, cherchant une logique dans la raison d’un tel pouvoir pour une bête aussi grosse qu’Arni, plongeant alors la discussion dans un coin de sa tête… Rien ne pressait ! Même si Jude était en face de lui en tapant du pied sur le sol, signe d’un agacement rare chez lui, rien ne pressait…
-         Si tu te demandes pourquoi Arni peut faire ça, Trancha Jude agacer, je te rappelle que, de un, Aries est une étoiles, donc il peut transmettre son énergie infini a son Bélier, et de deux, je t’ai raconté une bonne cinquantaine de fois le mythe de la toison d’or !
Eyes leva les yeux vers son maître, avec un air détacher, ce fichant bien des mythologies que des gens un peu fou avait inventée pour on ne sait quel autre raison que de ce divertir. Leur vie devait vraiment être ennuyeuse pour aimer des trucs qui n’existaient pas…
Jude leva les yeux au ciel, saisissait sa constellation par la peau du cou. Le félin se laissa porter jusqu’à être le nez coller à celui de son maitre, l’air complétement en colère. Il allait encore une fois lui racontez ce mythe, pourtant populaire, mais il ferma sa bouche, lâchant brutalement le félin. Eyes tomba lourdement sur le sol, ne prenant même pas la peine de tomber sur ses pattes. Il avait mieux à faire que d’être debout après une chute pourtant courte.
-         Tu sais quoi ? Jude chuchotait toujours mais la colère était perceptible dans sa voix, Laisse tomber, et suis moi.
-         Et nous, on va faire comment pour traverser l’océan ? S’inquiéta soudain le grand chat dégouter a l’idée de salir sa précieuse fourrure dans de l’eau salé.
-         On monte sur Hane et puis c’est tout ! Maintenant suis moi, on doit s’infiltrer dans la maison d’une des étoiles de la constellation du Bélier, qui, je te le rappelle, n’aime pas qu’on touche à ses affaire pour en plus allez sur le continent !
Le lynx leva un sourcil, un sourire se dessinant sur son visage carnassier. Il était trop amuser de la situation pour écouter son maitre.
-         Tu sais que si tes voisins et tes parents n’était pas sourd comme des pots, tu te serais fait griller ? Ricana le félin en faisant mine d’avancer.
Jude leva les yeux au ciel. Il n’était vraiment pas possible ce félin ! Bête, et méchant ! Un imbécile heureux, comme le disait souvent son père. En colère, il réprima de frappé le félin, se tourna, et sortit de la chambres.
Bien entendue, le félin le suivit, retrouvant ces ami en bas de chez lui, cacher derrière une ruelle.
Le plus facile avait été fait. Maintenant, la partit la plus éprouvante les attendait.



Tenshi avançait dans le noir, entendant des bruissements dans les feuilles, ne sachant s’il s’agissait de ses pieds qui faisait un tel son, ses amis, ou un monstre sanguinaire de conte de fée. La lune, blanche et ronde, était seule témoin de leur escapade nocturne, essayant de se repérer dans l’épaisse forêt, maintenant si étrangère aux yeux du fils du Taureau. Il connaissait cette forêt comme sa poche, l’aimais de tout son cœur, mais cette nuit, il ne la reconnaissait plus. Les cris des animaux sauvages ne l’aidaient pas à calmer son cœur, battant si fort dans sa poitrine qu’il crut qu’il allait exploser. Chacun de ses pas était emplis de peur, des idées noires qui traversaient son esprit tourmenter. Et si quelqu’un les suivait ? Si quelqu’un les avait entendue, et était partit alertée Aries continuant sa longue ronde du soir. Ou pire, si ses amis, qu’il n’entendait plus, l’avait distancé. Sa peur du noir était bien plus présente qu’il ne l’aurait pensé.
Il n’entendait même plus le souffle rassurant d’Aldébaran, son fidèle taureau, ni le bruissement discret des ailes de Hane ou de Ampelios, et encore moins les bâillements incessant en plus d’être insupportable de Eyes, le lynx vantard de Jude. Comment Jude, quelqu’un d’aussi modeste, avait pu naitre avec une créature aussi fière de lui-même ? Comme si, à leur naissance, Eyes avait inspiré toute fierté dans le cœur du fils du Lynx.
Tenshi secoua sa tête. Ce n’était pas le moment idéal pour penser au Lynx de son ami.
Il commençait à penser que tout ça était une mauvaise idée. Une fois sur le continent il se fera tuer comme un lapin ! Et si ce n’était pas le cas, ils devraient fuir ! Ou encore, rejoindre un camp de rebelle… Cette idée n’enchanta pas du tout Tenshi. Les rebelles étaient des barbares. Rien de plus. Et il ne voulait pas finir comme eux, en prétendant défendre les maudits.
Quoi qu’ils fassent, ils finiraient mal sur le continent. Tué, torturé… Non. Cette île était bien mieux pour eux. Ils y étaient en sécurité…
Cette simple idée lui serra le cœur. Cette soif de liberté qui l’animait. Cette envie de grand air, d’un monde nouveau, était trop tentante. Un peu comme… Jude le lui avait raconté pourtant… Qu’il se souvienne… Une chose avec une cage… doré ? Oui, le machin de la cage doré. Jude disais, qu’on pourrait mettre un humains dans un endroit magnifique, rêver… mais à partir du moment où il était prisonnier, il voudrait s’enfuir. Peut-être que c’était ça qui animais Tenshi, le forçant à avancer, pour, dans le dos de son père de cœur, rejoindre un endroit hostile…
Un mains se posa soudainement sur son épaule. Prit d’un violent sursaut, le taureau ne put retenir un petit cri, les yeux emplis d’une terreur indescriptible. Son cœur rata un précieux battement… Allait-il mourir, englober dans la forêt, avant de se réveiller dans son lit ? Finalement, cette idée n’était pas pire que de vouloir rejoindre le continent.
-         Du calme Ten, c’est moi.
La voix baisse d’Altaïr suffit à rassurer le petit taureau, qui pendant quelques instant, arrêta de marcher. Il était bien trop soulagé pour penser à faire fonctionner ses deux jambes tremblantes d’anticipation. La main de l’aigle glissa doucement jusqu’à son bras, caressant affectueusement son ami, pour lui saisir gentiment le bras. Tenshi ne le voyait pas, mais il savait pertinemment de l’apprenti chasseur souriait dans la pénombre…
Bien vite, Altaïr continua sa marche, guidant Tenshi dans le profond noir de la nuit, qu’il détestait. Depuis toujours, il avait une peur bleu du noir. Pourquoi ? Lui-même ne savait pas, mais cela n’était pas important. Malgré tout, il continuait de fixer l’écran noir en fasse de ses yeux, cherchant à déchiffrer des silhouette. Rien. Juste un écran noir, effrayant qui l’empêchaient de voir quoi que ce soit.
Tout passait si vite pour lui. Il avait peur, et malgré tout, il avait envie de continuer. Retrouver ses amis, atteindre le continent… Et certainement y laisser la vie. Peut-être était-il trop pessimiste ?
Un meuglement familier le fit doucement sourire dans les ténèbres. Aldébaran devait certainement ressentir toute les peur de son maître, lui qui était une éponge à sentiment. Ce taureau, bien que peu expressif, détestait tout sentiment négatif autour de lui, et un simple meuglement suffisait à arrêter Tenshi dans ces sombres penser. Il chassa toute cage doré, et autre écran noir de son esprit, et continua à marcher tremblant.
-         Ten, a peur.
Le chuchotement d’Altaïr vexa le taureau au plus haut point. Comment osait-il ? Sa peur, il la gardait pour lui, et il était déjà bien gentil de le laisser le rassurer ! Non mais…
-         Tenshi lève la tête.
Il ne sut pas si la voix provenait d’Ampelios ou de Jude, mais il s’exécuta.
Il leva le regard vers le ciel, et, ces yeux autrefois emplis d’une colère incontrôlable, fut remplacer par un immense émerveillement. Haut dans le ciel, des milliers d’étoiles dansait, le laissant voire les nébuleuse, comme si il était dans la voie lactée. Ces petits points blancs, qui s’amusaient entre elles, insouciante, ne se doutait surement pas de sa présence, ne faisant qu’admirer, une scène digne d’un grand théâtre se dérouler sous leurs yeux. Tenshi, reconnue sans problèmes le Lion, courant avec le petit Lion, ou encore le compas et le télescope se disputer encore une fois. Dans un coin, il put voire Andromède, embrassant son tendre Persée, heureuse d’avoir échappée a la Baleine nous loin de là. Le Dragon, boudeur comme toujours, dormais dans la voie lactée, attendant son heures… avant qu’une licorne et un pégase passe sous son nez.
L’enfant bronzé continuait d’avancer, regardant les constellations s’amuser. Ce genre de chose était visible presque toute les nuit, mais, Tenshi, n’avait jamais eux cette brillante idée de sortir tard le soir pour regarder les constellations s’amuser comme des enfants. Il lâcha un petit rire, lorsqu’il vue, bien cacher, le peintre, le burin, la table, et bien d’autre constellation des temps moderne, s’affairer vers la voile, qui, encore une fois s’endormais, perdant de son volume, laissant le bateau s’arrêter sur l’océan d’étoile. Qu’elle était endormie cette constellation ! Plus que le Lynx lui-même… En y pensait il le vit se disputez avec les gémeaux !
Soudain, alors qu’il s’amusait des pitreries enfantines des constellations, veille de plusieurs années, une douce lueur oranger caressa son visage. Du feu.
Une main puissante se posa sur son crâne, le forçant à ce caché sous un buisson. Ils étaient arrivés.
Aux milieux d’une clairière perdue, une petite cabane de bois, dont la porte était légèrement entrouverte, entouré de longue torche planté dans le sol sec. C’était bien le seul coin nous fertile de la forêt toute entière. Il l’était pourtant, il y 50 ans, d’après les parents de Jude… Mais, quand Pisces était arrivé, tout avait fanée, et jamais rien n’avait repoussé sur le sable sec qui entourait la maison. Quel dommage… Tenshi aurait bien voulut voire quel type de clairière c’était… du genre angoissante, ou reposante ?
Malgré cette sécheresse étouffante, une pauvre peau, contenant un colchique, était posé au milieu de la cours, de façon un peu hasardeuse. La pauvre fleur penchait dangereusement sur le coter, ces pétale desséchée. En voyant cette fleur, Tenshi avala sa salive. Une fleur fanée, n’était jamais vraiment bon signe à ses yeux. Pourtant, Aries disait que cela marquais le début d’une nouvelle vie. Une graine serait de nouveau planter dans ce pot, une fleur jaillira de terre, et tombera de nouveau… Le cycle de la mort et de la vie respectée, même par une innocente petite fleur fragile…
Il n’eut pas le temps de réfléchir plus longtemps qu’il remarqua enfin ces trois amis, accompagnés de leur constellation, regarder avidement la porte. Ils avaient peur. Cela ce lisant dans leur yeux, alors qu’une pointe d’excitation ce devinait difficilement. Tenshi ne remarqua l’absence de Hane, que lorsqu’il se posa sur le haut de son crâne, faisant une sorte de non de la tête…
-         La voie est libre… Chuchota Altaïr tremblant sous autant d’adrénaline.
Tous, avec une espèce de timidité, quittèrent les buissons pour, pas à pas, ce dirigé vers la maison apparemment vide d’après l’aigle. Ampelios ouvrait la marche, déterminé, quitte à perdre la vie, à entrer sur le continent. Peu importe si il devait y mourir. Peu importe ce qu’il trouverait derrière cette porte entrouverte, il fouillerait la maison de fond en comble, jusqu’à la retournée si il le fallait. Ces ailes s’agitaient doucement. Jude, lui, tenta de masqué sa peur. Lui, ne risquait rien sur le continent… une ou deux semaine de prison, mais rien de plus. Ce qu’il redoutait le plus, c’était de voir ces amis tomber sous ses yeux, pour de simple caprice… Il n’était que des adolescents après tout…
Altaïr, entra dans la maison à la suite d’Ampelios et de Jude, qui, trouvèrent la maison vide, comme l’avait dit Hane. Ils avaient déjà commencé à fouiller chaque recoin de la cabane, bien modeste, mais remplis de coffre en tout genre.
Altaïr crocheta rapidement un cadenas avec un des serres de son aigle, et commença à fouiller. Tout cela devait s’arrêter. Tenshi commençait avec de simple délire… Mais plus tard, Altaïr le savait, il deviendrait complétement fou. Quant à Ampelios, sa soif de liberté était si grande… Chaque jour, l’aigle avait peur de le retrouver au bout d’une corde. Quitte à ce qu’ils meurent sous ses yeux, qu’ils le fassent heureux… Au moins un peu. Qu’ils goutent à cette liberté, que tout le monde leur interdisait. Il allait les amener sur le continent, et leur offrir un peu de bonheur… Rien qu’un peu.
Alors qu’il était perdu dans ces penser, il mit la main sur quelques chose d’étrangement lourd. Il fixa quelques instants l’objet entre ses mains et la regarda, presque émerveiller.
-         Les gars, j’ai trouvé une des sandales d’Hermès.
-         Et l’autre ? Jude n’avait même pas prit la peine de se retourner pour répondre à Altaïr
Le fils de l’aigle se tourna vers le coffre… Il fouilla quelques instants, avant de répondre.
-         Introuvable, Aries doit l’avoir sur lui.
-         Pas grave, une seule suffira. Souffla Ampelios expert en la question.
Tenshi commença à crocheter les serrures, tremblant. Les corne d’Aldébaran étaient parfaite pour un telle travail, et très peu de serrure lui on résister. Il fouilla chaque coffre. Malgré son cœur qui battait à cent a l’heure, aucune penser ne vain quand a ce plan. Il y avait déjà assez méditez leur de la traverser de la forêt pour y penser, et préférais se concentrée sur la fouille des coffre.
-         Les gars, j’ai trouvé le talisman.
-         Tu es sur ?
-         Aussi sur qu’Aries ne nous a pas vue dans nos lit et qu’il nous cherche.
-         Comment tu sais ç-
-         Pas le temps de discuter, on trace ;
Tout est allez trop vite. Tenshi fut emportée pas son long colle, ce faisant trainer par une main puissante. Il n’avait pas sur qui avait parlé… Et son esprit était trop concentrer sur le petit objet en or enroulé maladroitement sur la corne d’Aldébaran, et la panique de ses amis.
Une fois lâché, il bondit instinctivement sur le dos du bovin, qui, tel un étalon sauvage, bascula sur ses deux puissantes pattes arrière, avant de se lancer à la poursuite de ces amis. Jude était déjà monter sur l’immense aigle d’Altaïr, serra fort Eyes contre lui, soucieux de ne pas le faire tomber, essayant par la même occasion de ne pas céder à la panique. Ampelios lui, tenait fermement la sandale d’hermès entre ses doigts, volant à toute vitesse, traversant la forêt, avec une grâce propre à son signe du zodiaque. Tout allait tellement vite. Chaque fouler du puissant taureau était plus rapide, frôlant le plus possible le sol, ce tenant juste en dessous de l’aigle géant.
La forêt défilait sous ses pieds, rappelant vaguement à Tenshi la folle course à dos de licorne qu’il avait eu avec Altaïr… Pourtant, la peur avait doublée, même sur le dos de sa constellation. Aldébaran poussait de furieux soufflement, donnant quelques coups de cul, paniqué à l’idée d’être rattrapé par Arni. Il voulait a tout pris quitter cette île lui aussi… Tenshi en était sûr.
Le groupe était guidé par Ampelios, tenant la sandale droite devant lui, voyant les tout premiers rayons du soleil, sortir de l’océan. La sandale, le guidant, choisissait toujours le chemin le plus cours vers le palais, et ainsi, ils étaient sur de distancer Aries… du moins il l’espérait. Son cœur battait la chamade, en pénétrant dans les dunes d’or, à présent a découvert avec ses amis.
Il battait frénétiquement des ailes, cherchant à gagner le son de la mer, un peu trop calme pour ce qu’il vivait. Il avait peur que ces amis, l’ai perdu en chemin, mais les battements d’aile bruyant de l’aigle géant le rassurait presque à chaque mètre.
Après des secondes qui parurent interminable pour le fils de la vierge, il aperçut enfin la mer. Il espérait simplement qu’il ne serait pas épuiser avait la fin du voyage… Auquel cas, Hane le prendrais sur son dos.

Le soleil se levait doucement. La mer s’écrasait dans un bruit doux sur les rocher encore visible, et, au loin, quelques dauphin s’amusait dans l’eau, admirant les dernières constellations quittant le ciel. Le vent caressait doucement les plumes brunes de l’aigle, planant dans l’air frais. Enfin. Ils avaient quitté l’île…. Le continent n’était plus qu’à quelques heures…. De longues heures…