Posté le 20 janvier 2017
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Chapitre 5

Ampelios fut plaqué avec une rare force sur le sol, habiller de quelques haillons déchiré ci et là. Un pied puissant appuyait sur son dos, laissant quelques craquement répugnant résoné dans les oreilles du garçon ailé. Ces ailes avaient été solidement attacher par une corde tissé, frottant dangereusement sur les plumes, le brûlant douloureusement. Mais il continuait de ce débattre malgré la blessure du feu du désert. Léo tenait avec force ces deux bras les griffant légèrement en essayant de le maintenir à terre.

Ce maudit lui donnait du fil à retordre ! Jamais il n’avait vue une telle soif de liberté, et d’espoire dans un enfant promis à la mort. Les autres acceptait leur sort, trop triste pour osez les défier. C’était bien le premier à lui tenir tête. Il tordu quelques peu le poigne du jeune homme, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il était résistant. Rien ne servait de le casé encore plus. Virgo serait furieusement de devoir tué des pièce détacher.

Ampelios, mangeant quelques peu le sable sous son nez blanc, n’abandonnerais jamais. Jamais il ne renoncerait à l’espoire de sentir pour toujours la caresse du vent sur ces ailes d’or. Jamais il accepterais d’être docilement tué. Jamais il n’abandonnerais tout ces espoire. Non ! Il s’enfuirais, ou aura au moins la satisfaction d’avoir tout tenté.
Son esprit était déjà en train de crée un plan. Il s’enfuirais, monterais un plan pour libéré Tenshi. JAMAIS IL NE RESTERAIS ASSIS A RIEN FAIRE !
-         Tu ne peux pas juste te laissé faire ? Cracha Léo en appuyant avec plus de force sur le dos du prisonnier.
-         Je n’ai aucun ordre à recevoir d’un tueur en série ! Répliqua sauvagement le blond.

Sagittarus regardait le cœur serré, la haine entre les dents, son ami torturé un jeune homme pas plus agé qu’eux. Comment Léo pouvait-il laisser tout sentiment à l’égart de ces enfant ? Ces personne qui leur ressemblait tellement, qui devait avoir parfois le même parcourt. Les mêmes rêves, le même cœur. Et pourtant. La survie d’un seul d’entre eux pourrait permettre au Serpentaire de détruire toute vie sur terre.
-         Léo, ça suffit. Gronda l’Arrowien. Attache ces mains, et met le dans la charu.
-         On peux même plus s’amuser ! Ricanna Léo.
Cette simple phrase assombrit le cœur de l’archer. Il avait soudain l’envie presque redoutable de frapper son ami d’enfance, de lui faire comprendre, que la vie d’être humains n’était pas un jeu ! Que faire mal c’était pervertir son cœur, le rendre fou jusqu’à peindre ces murs du sang de ces victime. Que rien de toute cette guerre n’était un jeu.
-         Ferme là, ou c’est toi que je ligote. Grogna-t-il

Avec quelques difficulter, le jeune lion ressuit à attacher le maudit dans la charue, juste en face de Tenshi, lui aussi attacher avec Aldébaran. Le livreur n’avait aucune envie de ce poser des question quand au capacité de la charrette. Il n’était pas d’humeur… Son cou était relier à celuis de son taureau par une corde large, les liens une dernière fois. Il regardait les yeux vide, le sol poussièreu. Son cœur était été vidé, éventré, torturé, laissant un espace noir dans sa poitrine. Il allait mourir. Qu’il ne veuille ou non. Et les insulte lansser par son ami blond ne le rassurait pas le moins du monde. Il ne pouvait pas ce taire ? Ce laisser mourir en paix ? La gorge serrer, il plaça Ampelios et ces tentative d’évasion dans un coin de sa tête. Plutôt pensser à autres chose. Il ne jeta même pas un œil à Altaïr, qui serrait son aigles avec une rare force, sans même être attaché, et à Jude qui c’était isolé dans une sorte de méditation glauque.
Une fois Ampelios solidement attaché, le dénommé Léo lacha quelque mots que le fils de Taurus n’écouta même pas. Ce ne fut qu’un bruit de fond , douloureux, de la personne qui l’avait emprissoné. Il posa sa tête sur le torax de son taureau blanc, les yeux sans une once de vie, pas une pincer d’émotion, qui aurait put trahir son malêtre. Personne ne le regardait. Tous était là, silencieux, regardant leur poignet, ou tenant une dernière fois leur constellation entre les bras.
Puis le Protecteur du Lion et le Protecteur du Sagittaire prirent chacun des feuille de papier, armé d’un crayon, commençant, chacun de leur coté, à prendre les noms et les dates de naissance des prissonier.

Sans surprise, Léo, se dirigea tout d’abord prêt d’Ampelios, prenant une chaise trainant par là pour s’assoire en face du blond. Une haine sans nom était peinte sur le visage déformé du fils de la vierge.
-         Alors blondin, c’est quoi ton joli nom ? Ria légèrement Léo prenant entre ces mains le crayon.
-         Ton pire cauchemar. Cracha le blond telle un bête sauvage.
-         Ampelios te vas mieux. Répliqua le lion sans même l’once d’une gène marquand le nom du détenue, Ta date de naissance ?
-         Le 6 Juin 1406.
-         Bah tu voie, j’aurais dit plutôt le 4 septembre 1417.
Le jeune blond ne se demanda même pas comment le Protecteur à fait pour deviner aussi facilement sa date de naissance. Cela devait être certainement un instinct de Lion, ou un truc du genre. Son nom ne l’avait pas éttoné, Tenshi l’avait beaucoup appellé lors de la course poursuite. Mais la date de naissance… Pourtant, le blond gardait un regard de haine.
-         Tu sais, Ampelios si tu es un peu plus sages, je pourrais supplier Virgo de faire de toi mon espion personnel. Dit calmement le jeune lion
-         Plutôt crevé que d’être à ton service, gros porc. Siffla le maudit
-         Le problèmes tu voie, c’est que tu n’as pas le choix en fait.
Un petit sourire dessiner sur son visage, Léo se leva pour passer au autres maudit ou rebelles parmis les prissonier.
-         A plus tard Blondin.
-         Va te faire e…
-         Oh j’ai failli oublier !
Léo bayona avec difficulter le jeune insolant, avant de continuer la ranger, prenant les nom et les dates de naissances. Ampelios se promis au fond de lui, d’un jour le tuer. Il machona son baillon, essayant de le déchiré, en oubliant le gout infecte de bave, qui devait certainement venir d’autres maudit à la grande bouche. Ou d’animaux… Le jeune blond oublia tout ça, préférant continuer de machoner le foulard.
De l’autre coté, Sagittarus prenait le nom de Jude et Altaïr, leur donnant des collier, comme quoi il devait être épargné. Il serra les dents. Les quatres garçon qu’ils avaient capturé avec Léo, devait certainement être amis, ou au moins ce connaitre un minimum. Sinon, pourquoi deux valide trainerais avec des maudit ? Cela lui fendu le cœur. Si quelqu’un tuait Léo, même si parfois, il voulait le faire lui-même, il ne serait pas si il resterais vivant longtemps.
Malgré ces airs de rustre, et d’insensible, Léo était quelqu’un de profondement gentille… Juste, que, le caché était pour lui une forme de force. Il était un peu idiot aussi sur les bort. Et très orgeuilleux.

Enfin, le Sagittaire s’assit en face du dernier maudit de sa ranger. Un petit brun, serrant un taureau blanc entre ces bras, les yeux vidé. Le jeune archer souffla. Il devait rester fort. Ces personne était tué pour la vie de millier d’autre personne… Mais à quel prix ? Tuer des veillard, ou des enfants, lui semblait illégitime… Mais comme le disait souvent les autres Protecteur, surveiller tout le monde serait beaucoup trop compliquer et fastidieux. Les tuez c’était bien plus simple non ? Quel idée simpliste et cruel. Il n’y avait bien que les humains pour prendre de telle decision.

Il commença alors ces question..
-         Bien, ton signe du zodiaque ?
-         Taureau… Articula difficilement le jeune garçon bronzé.
-         Merci… Fit Sagittarus en simple politesse, Ta date de naissance ?
-         Le 8 mais 1418… Répondu le taureau las
-         Le nom et ton taureau et le tiens ?
-         Je m’appelle Tenshi, et mon taureau s’appelle Aldébaran.
Le silence s’installa d’un seul coup. Le visage légèrement bronzé de l’archer devint soudain livide. Tenshi ne comprit rien. Qu’avait-il dit pour avoir une telle réaction de la pars du Protecteur ?
Le brun cligna des yeux plusieurs fois abasourdi. Ces yeux était devenue rond, de l’éttonnement, son cœur cognant contre sa poitrine avec une force folle. Il se leva alors, en appellant son ami, la voix tremblante par le choc. Il tremblait doucement, continuant de vixer Tenshi avec une peur qu’il ne masquait pas.
Le jeune taureau ne comprenait rien. Que ce passait-il ? Que lui valait-il cette réaction de la pars du jeune sagittaire ?
Léo le rejoingnis, lui demandant de lui expliquer la situation, tout en essayant de le calmer. Visiblement, le fait d’avoir dit son nom avait confue le pauvre arrowien.

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