Posté le 20 juillet 2013
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Je plains celui qui s'assiera sur la chaise où Rachèle la porcasse a posé ses flasques fesses dégueulasse.
C'est incroyable de voir ces freaks prendre des notes de ce spectacle comique de très mauvais goût.

Cet exposé délirant est intéressant car cela témoigne de la manière de "penser" d'une partie de nos ennemis : les freaks LGBT, ces petits soldats du satanisme.

Je demande à E&R de publier la suite du texte en bas de page.

Transcription de l'exposé sur le "post-porn" par une grosse porcasse décérébrée :

Je vais vous présenter les Aventures d'Alice au pays de Merveilles. Dans les Aventures d'Alice au pays des Merveilles, Alice rentre dans le terrier du lapin et, selon wikipédia, elle se trouve confrontée au paradoxe, à l'absurde et au bizarre.

(note : Alice au pays des Merveilles de Disney est utilisé dans les programmes de conditionnements mentaux Monarch, conditionnements par viols.)

Donc on va voir brièvement les aventures de Rachele in the sexland !

Alors, quand j'ai rencontré pour la première fois la production post-pornographique, je l'ai trouvée très intéressante parce que je voyais la concrétisation en image de tout la théorie queer. Et en particulier tout une série de références : de judit bart, leagala luben, béatrice preciado, virginie depentes, izia dzirga, pour passer de foucault, etc.... (elle débite trop vite, pas compris la moitié)

Alors la base de la post-pornographie c'est le féministe pro-sexe. Le féminisme pro-sexe, le féminisme qui la célèbre "sex-war" qui commençait aux usa dans les années 90 et qui voyait opposées les féministes abolitionnistes et celles qui portaient l'attention sur la sexualité et l'alliance avec les putes, etc.
Annie sprinkle fut une des premières qui a porté l'attention sur une revendication d'une sexualité d'un point de vue fémnine. Elle était une actrice porno mainstream et elle devient productrice de ses propres films, éducatrice sexuelle et elle développe tout un discours sur la sexualité et le désir, le plaisir et la joie du sexe.
Elle disait "la solution à une pornographie de mauvaise qualité n'est pas l'abolition de la pornographie mais c'est produire une pornographie de bon qualité", c'est-à-dire la pornographie qu'elle veut, qu'on désire.
En 1991, annie sprinkle fait une show que dans lequel elle fait une performance qui s'appelle "the public service annoucement". Dans cette performance, elle rentre sur scène et elle prend, comme si elle était dans le salon de sa maison, et puis elle prend des petits pancartes, dans ces petits pancartes étaient dessinés les organes féminines.
Et donc elle demande à tout le monde de dire "voilà les trompes de fallope ! alors répétez avec moi ! trompes de fallopium !"
Et puis, elle montre, elle montre dans la deuxième partie de la performance, elle prend un speculum et elle met le speculum dans son vagin et euh elle invite tout le monde à aller regarder dans son vagin. Alors cette performance-là, c'est la première performance appelée "post-porn", à l'intérieur d'un show qu'elle avait appelé "post-porn show", et que après devient le titre de son bouquin "post-porn models". Pourquoi on voit tous les éléments du post-porno ? alors déjà parce que euh elle voulait dire "alors vous voulez voir la chatte ? alors voilà la chatte ! vous pouvez la voir, je vous la montre !". Elle utilise le le le pouvoir performatif du langage au moment que elle demande à tout le monde de répéter des noms. Et donc, à travers la répétition des noms, elle fait exister ces éléments là. Et puis il y a une rupture de l'idée du public et de la performance. Et elle utilise des instruments, des outils comme le speculum, qui était un outil assez significatif dans le féminisme, mais aussi lié à la médicalisation. Donc pour elle c'était déjà porter l'idée de la réappropriation du corps et de la réappropriation du discours médical laissé aux experts. Elle dit, quand les gens passent, "bienvenue", donc c'est comme si elle accueille dans une maison.

Et, chose assez important, elle casse avec la division entre une pratique publique et une pratique de la sphère privée, qui est censée être reliée la sexualité. Donc voilà certaines caractéristiques de ses performances. On a aussi le speculum comme prothèse, que ça deviendra une partie fondante du post-porn, comme vous avez vu dans la vidéo que je vous ai montré, une autre chose importante c'est l'usage de l'ironie, mais surtout c'est le renversement des perspectives, le renversement des perspectives qui va avec la question de la rupture des binômes qui caractérisait le queer. Et donc de tous les binômes : public-privé, sujet-objet, spectateur-actrice, culture élevée-culture populaire, théorie-pratique. En plus, ça c'est clair, le corps est au centre de la performance, donc le corps célèbre l'organe du féminisme "mon corps est un champs de bataille", ça devient l'outil de résistance... (coupé en post prod)

La mise en valeur, la visiblité des corps considérés hors-norme, les corps que vous avez vus dans le vidéo tout à l'heure, c'était très difficile, si on veut vraiment là se mettre faire "alors là on va voir c'était qui les femmes et les hommes dedans, et qui les trans dedans ?" Tu pouvais pas vraiment faire la différence parce que tous les corps dans la performance est cassé avec ces gens de binôme, et en plus il y a l'idée de la réappropriation du corps, et le fait d se réapproprier dans l'espace urbaine des corps considérés out-of-play, donc c'est-à-dire mis à l'écart de la norme et de l'espace hétéro-normé. Diana Pornoterrorista que elle est une des représentant de la société post-porno en particulier espagnole, elle dit "à la violence de la société, je réponds avec le "porno-terrorisme"".

Il y a une critique très très forte du capitalisme. Là vous pouvez voir une performance d'une groupe qui s'appelle "video arms idea", c'est une performance faite là à Rome, c'est un groupe d'origine italienne qui vivent à Barcelone, maintenant ça s'appelle "arms idea", et au centre de leur combat il y a la critique directe du capitalisme. Alors la critique du capitalisme et à la base du mouvement post-porno parce que le mouvement post-porno vient du mouvement anarcho-queer, anarcho-punk, etc. Mais dans ce groupe-là il y a une traduction de l'image et une corporéisation on va dire de tout le combat sur le capitalisme. Il y a l'usage de technologies, là vous pouvez voir le fait que beaucoup de performances sont faites à travers la technologie donc il y a tout un réappropriation de la technologie et de les médias, qui sont en même temps le médium pour porter le message mais le message vient en fait avec la technologie. C'est pas un hasard quebeaucoup de performeuses sont aussi des blogueuses, des réalisatrices, etc.
L'usage de prothèses, le (?) est lié comme vous pouvez voir par exemple dans l'esthétique là-bas à une image du sado-masoquisme et en particulière du bdsm, pourquoi du bdsm ? parce que euh bdsm avec le bondage, domination, etc. parce que le bdsm était toujours vu comme une pratique dégénérée donc il y a eu une appropriation de la pratique bdsm à travers une esthétique du bdsm mais une esthétique du bdsm qui prend en considération aussi une critique de la classe, et donc on a une bdsm Do-it-yourself ! vous pouvez voir que tous les habits sont faits carrément.

La division entre spectateur et publique vient éliminée, là vous pouvez voir une performance oÙ tous les spectateurs sont nus, et là Diane qui fait une performance de son, c'est-à-dire elle montre comment son corps peut devenir une caisse de raisonnance en mettant une micro dans la chatte, et avec ce micro elle invite les gens à la jouer (fait un geste de tambourinage sur tam-tam) pour montrer comment elle sonne."

Il y a une critique de la médicalisation, donc dans le post-porno il y a toute une mise en valeur du corps trans, là vous voyez une performance de "las loperma", là je veux pas m'attarder parce que "las loperma" je sais pas si elle est très contente que je la mette dans le post-porno, mais quand même pour moi il va bien là-dedans.
Il y a une refus des expertises et aussi une base do-it-yourself que devient toujours plus important.

Une autre caractéristique très important c'est la réappropriation de l'insulte à travers un langage peformatif, et à travers cette langage performative il y a la création d'une autre réalité. Donc on a un usage voilà de mots comme "gouine" pour ce qui concerne le post-porno en France, "pute, "fuck my brain" par exemple c'était une (?) qui était organisée en France par Emmanuelle (?) "salope", "chienne", "perra", etc. donc il y a tout une identification, une réappropriation de ce genre de langage : quand on parle français, la chatte on l'appelle "chatte", et la bite on l'appelle "bite".
Tout passe par le corps, le corps devient le centre car il y a une appropriation du corps, mais aussi il y a cette appropriation du corps ça passe à travers certaines pratiques, comme celle de le squirting, donc de l'éyaculation féminine, vu comme le fait de cacher que même une femme peut éyaculer , c'était selon le discours dupost-porn, une violence faite par la patriarcat, le fait d'effacer cette possibilité des femmes, donc il y a une réappropriation de ça. Et surtout, une chose très importante, il y a attention sur l'anus comme laboratoire de pratiques démocratiques parce que l'anus est vu comme un espace où il n'y a pas une différenciation femme-homme, et en plus il y à travers la pratique sexuelle de l'anus ça se casse cette idée que la pénétration soit quelque chose hétérosexuelle, hétéronormée et patriarcale. Donc il y a un travail sur l'anus qui a tout un base théorique dans les travaux de "preciado" et en particulier (incompréhensible) dans un texte qui s'appelle "terreur anale".

Alors voilà certaines des protagonistes de la scènes post-porno actuelle. Je mets juste quelques exemples, je prévienne, j'ai pas pour l'instant travaillé directement sur la scène post-porno en amérique latine, donc là ce sont des exemples que j'ai pu toucher directement.
Donc : Diana Pornoterrorista, son livre vient de sortir en français, d'ailleurs il fera une présentation à Bordeaux le 18 février. Donc je cite de la couverture de son livre : "ce travail n'est pas la simple élucidation d'un concept ou d'une théorie, il veut aller plus loin, nous faire connaître une façon d'être, de vivre. Le porno-terrorisme est quelque chose de latent, qui gicle et dérange. Une impulsion née de désir et d'imagination. Ce livre a récit biographique est une réflexion sous le sexe et les pratiques sexuelles, la morale, la politique. Une appel à briser les tabous dominants de notre société, une attentat aux conventions, un acte terroriste contre les normes. Y a-t-il fusion plus belle que celle des mots "porno" et "terrorisme" ?"
Alors, dans tout ça il y a une perspective féministe et queer très très forte avec la formation du nouveau sujet politique : le corps devient un laboratoire social et un outil de résitance. Un outil de résistance qui devient très concrète à travers la pratique des ateliers. Alors dans le post-porno c'est très important la transmission (note du transcripteur : "conditionnement" serait-plus véridique), donc là je vous ai ammené quelques exemples d'ateliers post-porno et de pratiques de contra-sexualité. Aussi des autres, là c'est un atelier de bondage, de contra-sexualité, de post-pornographie et de éjaculation. Juste quelques exemples parmi beaucoup.
Et, il y a certaines performances qui envahissent l'espace publique. Là c'est l'exemple de Ocagna (?) que je vous ai déjà montré. Là vous voyez des exemples différents. Là c'était à la Muestra Marrana (cf. infra pour plus de détails sur cet "événement" assez important pour montrer les pratiques de ces gens-là), le festival post-porno qui a lieu chaque année à Barcelone.
L'invasion de l'espace publique et aussi une réapropriation d'une espace publique, une réapropriation de certains espaces de la ville. Là je vous ai montré un projet que j'aime beaucoup, qui s'appelle "corpo lesbianos", oÙ certains espaces délaissés de la ville ont été réappropriés à travers la sexualité. Alors cette idée du travail entre la sexualité et l'espace publique et en particulier la ville, je le trouve très intéressant parce que une espace qui est considéré délaissé, triste, etc. vient envahit de l'amour et de la joie et de l'euphorie de la sexualité et de la sexualité non-normatif. Sexualité non-normatif ça veut pas dire forcément sexualité... (suite coupée en post-prod).

Là, vous avez la projet de "urban porn" à Lille, euh je vous parle de "urban porn" parce que l'espace publique, l'invasion de l'espace publique et l'usage du post-porno pour la militance politique a été au centre de leurs travaux. Voilà quelques exemples des actions qu'elles ont fait dans l'espace publique, là c'est en vidéo, j'aime beaucoup parce vous voyez nous avons éyaculé pour la première fois dans l'espace publique le jour de les élections présidentielles 2007. Le vidéo c'est assez sympa mais je pas le temps de vous montrer donc je vous invite à aller sur le site le voir. Malheureusement elles ont terminé, enfin le site n'est plus mis à jour depuis 2011.
Euuuh maintenant, deux mots sur comment cette recherche s'est développée : en fait, cette recherche est euh veut être une euh ça veut être une recherche et une compréhension du milieu post-porno et de tous ses déclinaisons et ses potententialités. Dans mon cas, je souis géographe, j'étais intérressée beaucoup de la rupture de l'ordre hétéro-normatif de l'espace publique donc la visibilisation de l'hétéronormativité dé l'espace poublic. Mais c'est, si vous voulez aussi, un travail d'expérimentation, de contamination des milieux de vie, des pratiques, mais aussi des supports pour le message. Parce que le post-porno essaie dé montrer le paradoxe d'une production de la connaissance toujours à travers lé binôme. Donc une production de la connaissance haute et légitimée, donc qui est censée être celle qui provient du milieu académique et des académiciens, et celle, militante, qui est censée être, pour les académiciens, de série B ou quand même pas objective, etc. et qui, par contre, a tout une valeur importante pour la compréhension de certaines dynamiques. Et surtout, euuh je tienne à porter l'attentionne finale sur le fait que si à travers le post-porno on a une pratique de la rupture entre la théorie et la pratique, on a aussi l'idée que l'accent, je voudrais mettre l'accent sur le fait que souvent les performeuses produisent un travail écrit, un travail de recherche, un travail qui vient traduit dans des blogs oudans les supports comme des blogs ou des livres, et parfois les académiciens, les scientifiques, produisent des performances.

Questions (reformulé) :
-C'était quelle date la première performance de alice prinkoln ?
-[...] 1991.
-Alors on peut parler de post-porn à partir de ce moment-là ou pas ?
-Alors moi je voudrais te dire oui, mais comme je sais que cette vidéo va être sur internet, je vais te dire non ! Parce que c'est problématique de dire qu'il y a un moment de début du post-pornographie ! Mais pour moi c'est quand même une date significatif, parce qu'il y a l'usage du mot post-porn, enfin le mot post-porn ne vient pas de alice sprinkle, elle reprend d'un hollandais qui était utilisé dans un autre contexte, donc elle l'utilise pour ça. Et puis c'est le moment où elle sort de façon plus fort le discours sur la pornographie de ce pointd e vue.
-Donc juste pour être sûre, les contours de ce qu'on peut appeler la pornographie c'est la réappropriation de l'espace publique pour des pratiques sexuelles ?
-Pas seulement l'espace publique, moi c'est que je suis obsédée par l'histoire de l'espace publique parce que je suis géographe, mais non, pas seulement dans l'espace publique, souvent les performances sont faites dans des lieux fermés. Moi je trouve que pour parler du post-porno, la division entre publique et privé n'est pas une grille de lecture très bon, pas très utile pour ça, je pense que c'est mieux de parler d'espaces de porosité, comme en prenant la définition de porosité des espaces de "inverebo ?" et je préfère à la limite parler des espaces intimes et des espaces extimes, avec une contamination continue de ces espaces et un continuum des espaces intimes, de la maison par exemple, des espaces communes associatives ou d'agrégations on va dire en général, et puis l'action de l'espaces publique, et là le dénominateur commune est le corps que tu emmènes avec toi, comme le premier lieu, à la micro-échelle, si on veut.




Sur la "muestra marrana" (littéralement "spectacles/exhibitions de salopes", les hispanophones confirmeront) :
Voici des images des affiches de ces "événements" pour dégénérés :
(attention, certaines images sont choquantes)
http://4.bp.blogspot.com/-TlwVzVu5Lto/ThYRrzRAPZI/AAAAAAAAFEg/B9TixR9VFsQ/s640/cartel_mm4-1024x723.jpg
Note : virginie despentes, que Soral a soumis dans ses écrits, était invitée.
lh5.ggpht.com/_PEQVM1LQGu0/SsdK1E2p8AI/AAAAAAAABPQ/a4ih5_M_Nd8/s512/cartelLogoHangar.jpg
muestramarrana3.files.wordpress.com/2010/05/muestramarrana3_flyer_4.png?w=393&h=620
http://4.bp.blogspot.com/-md2WrioIdh0/Timn1twvEMI/AAAAAAAABSY/M6nO51jvff8/s400/muestra+marranaIV2.jpg

Chaque jour est intitulé : "Do-it-yourself" (DIY, c'est comme les meubles en kit ou certains trucs de bricolage, je comprends pas trop l'idée de caser ça là), "Akelarre Postporno" et "Zombie-Difunto-Trash"
Et chaque jour, des événements aux titres tels que "ma sexualité est une création artistique", Oink oink (le cri du cochon en anglais), Porno Capitalismo, Public Cervix, Mother of pearl (je suppose qu'il s'agit d'un jeu de mots : en anglais, mother-of-pearl est le nom de la nâcre... j'ai vu la performance sur le net, c'est abject : une folle qui "joue" avec un calamar mort entre ses cuisses), Shock Value, Cinéma Abattoir, Otto or up with dead people, Espantoso Midori: show de los freaks, Nekromantik, Stupra Purgata (stupre = débauche, donc vu le titre on suppose qu'ils imaginent une purification par la débauche), Querruption, et enfin "l'objet de ton amour", certainement un mauvais jeu de mots sur la polysémie du mot "objet".

"Un autre porno est possible" :
http://alogono.files.wordpress.com/2010/03/afiche_1.png

Une entrée à 2000$ :
http://cortosmarranos.files.wordpress.com/2010/03/afiche_11.png

Encore une affiche qui montre que nos ennemis sont de grands esthètes aux capacités artistiques hors-norme :
http://muestramarrana.org/wp-content/uploads/2012/08/MM5_imagen_WEB.jpg


Un aperçu du genre de "collectifs artistiques" (LOL) formés par ce genre de pourris :
http://colectivod-genera.blogspot.ch/2011/02/gendertek.html
Notez l'image du foetus.
Un autre article sur le rapport entre architecture et sexualité dans playboy (magazine de promotion du corps comme marchandise et dont certains membres étaient probablement des proxénètes et des pédocriminels) : http://colectivod-genera.blogspot.ch/2010/05/pornotopia-arquitectura-y-sexualidad-en.html
Si vous fouiller vite fait le site, vous verrez que ces monstres s'amusent à blasphémer, à confondre volontaire extase mystique et extase sexuelle, etc.

Un aperçu du genre de performances dont parle cette ordure : http://www.youtube.com/watch?v=OiB28d2iRP4
C'est tellement dégueulasse que je ne recommande à personne de regarder, alors je vous le décris : en gros, il y a une folle qui en attache une autre avant de lui agrapher un mouchoir ou je ne sais quoi sur la poitrine. Puis elle même prend une dague et se l'enfonce à travers la joue.
Ces gens ne promeuvent pas le corps puisqu'ils le mutilent et le détruisent, seul moyen qu'ils ont de se le "réapproprier". Une bande de freaks, c'est tout.
Et ne cherchez pas, ce genre de "performances" sont subventionnées à 100% à coup sûr.
Le féminisme de ces tarées : voir deux putes s'écorcher la gueule entre elles.

Voilà l'affiche d'un show avec les mêmes putes : http://muestramarrana.org/wp-content/uploads/2011/07/tiger_antares_web.png
3e l'entrée seulement, ils n'avaient pas assez de budget pour donner plus aux spectateurs.

Les vidéos suivantes sont très malsaines et choquantes pour des individus normalement constitués.
La vidéo promotionnelle de la muestra marrana 5 : http://www.dailymotion.com/video/xtpkmc_mm5_shortfilms
Description : on y voit l'activité des gens de la fistinière, en gros : un trou du cul anonyme se faire doigter, avec des cris de porc en fond sonore (sans doute pour insulter les cochons), et une musique kitschissime. Puis, le doigt ressort, encapoté, avec de la merde qui coule, et il y a une espèce de marionnette pour doigt avec un smiley :( . C'est d'une vulgarité, d'une abjection et d'un mauvais goût assez impressionnant. Et il n'y a même pas de contrôle parental pour cette vidéo sur dailymotion, donc n'importe quel enfant peut tomber dessus.

Des "performances" :
"Pornoterror" : http://vimeo.com/67489745
Vidéo très malsaine où on y voit des gens faire de la merde avec leur sexe. Fait notable : cette même vidéo se retrouve des dizaines de fois sur les mêmes sites. Propagande ?



Enfin, pour bien montrer que ces dégénérés sont des mystiques lilithiques : http://www.oficina36.com/wp-content/uploads/2012/03/pleasure-riot-233x300.jpg

Mouvements débiles :
"Bikesmut", pour les bicyclophiles : http://www.bikesmut.com
Je ne sais pas traduire exactement "smut" en anglais mais ça se rapproche de "baise", avec une connotation "trash".

"Ecosex" : http://vimeo.com/56089611
On y voit un débile mental enfoncer sa main dans la terre et son doigt dans des fleurs. Je note qu'elle détruit la fleur au passage.

Je concluerais par un mot personnel : voilà pourquoi les "écologistes" dans leur ensemble (je ne m'intéresse pas aux rarissimes exceptions, seulement) n'ont jamais été qu'un ramassis de déchets : http://vimeo.com/26966811
Ce mouvement "ecosex" (dont voici le blog http://www.ecosex.org/), qui consiste à prétendre qu'il n'y a pas de "Mère Nature" mais une "amante nature" est monstrueux. Il est strictement anti-écologiste et anti-mystique puisqu'il enjoint à niquer la Terre (ou la Création, pour ceux qui n'auraient pas compris que l'on parle rigoureusement du même sujet).
Cela confirme mes propos précédents : vouloir niquer la Terre revient à vouloir niquer tout ce qui bouge et même ce qui ne bouge pas. Ce comportement dément et pervers ne peut émaner que d'un esprit déchu, un dégradé mental, un obsédé du cul.
Ces freaks là ont invalidé dès le départ le travail sérieux d'écologistes véritables tels que Lindeman, dont je me revendique comme successeur. Pourquoi dis-je cela ? parce que les libertaires étaient présents très tôt dans le petit mouvement écolo. Les hippies et beatnicks avec leur "flower power" n'étaient qu'une bande de sous-hommes qui n'ont rien trouvé de mieux pour draguer que jouer les idéologues new-age avec 0% d'efficacité en protection de la planète.
Ces minables ont confisqué le combat. Il s'agit d'une prise d'otages en bonne et due forme. Ils ont activement déjoué la prémunition.
C'est pourquoi : "un bon hippie est un hippie mort".

Conclusion générale :
Ne vous laissez pas avoir par le vernis intello verbeux que ces tristes sires qui suitent l'irrespect, ces êtres désenchantés enchaînés par leurs vices, ces dégénérés pitoyables, infantiles, disgracieux et malappris essaient de vous faire gober. Ils dissimulent leur vilenie derrière du jargon intello pour se donner des airs supérieurs, comme l'ont toujours fait les personnages de faible valeur morale derrière leur raffinement de façade. L'intellectualité, cette intellectualité là, d'imposture, n'a rien à voir avec celle de Soral ou de moi-même. Elle n'est qu'une mondanité, un cache-sexe pour légitimer le fait de l'exhiber.

Et enfin, le mot du Président de la Raie Publique :
"Mieux vaut être normal qu’anormal. Il vaut mieux avoir un président stable, cohérent, constant, capable de réconcilier les Français. Je ne veux pas de la France que je vois aujourd'hui, qui est divisée, heurtée, affaiblie."
http://www.europe1.fr/Politique/Le-candidat-Hollande-s-affirme-888859/

http://videos.lexpress.fr/actualite/politique/hollande-etre-normal-c-est-avoir-des-qualites-exceptionnelles_995600.html


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