Posté le 12 octobre 2013
Télécharger | Reposter | Largeur fixe

Hommage des Jeunesses Nationalistes à Joseph Darnand par Florian Rouanet
Paris, 12 octobre 2013



Aimée-Joseph Darnand est né le 19 mars 1897 dans la région du Rhône-Alpes, il est issu d'une famille imprégnée des valeurs catholiques, une famille modeste, son père était cheminot, et J. Darnand a été un travailleur aura touché un peu à tout : boulanger puis ébéniste, ou encore vendeur-décorateur, transporteur, avant d'être volontaire et d'avoir une carrière militaire au sein de l'Armée française et de l'État français.

La Grande Guerre :
Alors que le capitaine Ch. De Gaulle s'était fait capturer par le lieutenant allemand Casimir Albrecht après sa honteuse reddition du 12.03.16 au fort de Douamont ; Darnand participa héroïquement à la Grande Guerre, comme l'illustre Philippe Pétain il en est un de ses héros ; décoré, il est fait Chevalier de la Légion d'honneur pour ses faits d'armes glorieux. Il reçoit la Médaille militaire en juillet 1918 des propres mains du général Pétain, qui deviendra Maréchal au mois de novembre. Dès lors, ces deux hommes se voueront un attachement sans borne.

L'entre deux guerres :
Darnand a été très politique : il commence en 1925 comme adhérant à l'Action française de Charles Maurras, il rejoint les Croix de Feu du colonel de La Rocque en 1928, puis il intégra la Cagoule comme cadre responsable à Nice, et enfin en 1936 il adhéra au Parti populaire français, mouvement fondé par Jacques Doriot.

La Seconde Guerre mondiale :
En 1939 il s'est encore illustré au combat, cette fois avec le grade de lieutenant, il sera nommé ensuite Premier Soldat de France ainsi qu'Officier de la Légion d'honneur, toujours pour ses glorieux faits d'armes et à nouveau face aux Allemands.
Il aura toujours été un grand militaire, et Georges Bernano affirme lui-même qu'il regrettait qu'il n'y est pas eu plus de Joseph Darnand en 40.
Darnand jugeant la Légion française des combattants trop modérée crée dans les Alpes-Maritimes en 1941 le Service d'ordre légionnaire : un mouvement paramilitaire, chargé de combattre pour la Foi, pour une France française et contre la destruction cosmopolite, que nous vivons encore les effets aujourd'hui et même au moins depuis 1789. Son mouvement est reconnu par l'État français sous Pétain puis le S.O.L. deviendra ensuite la Milice française nommée autrement la Nouvelle Chevalerie en 1943, un projet appuyé par P. Laval. La Milice été chargée d'apporter son soutien à la population française, à la Révoltion Nationale, et été chargée de défendre la France face aux terroristes, et a l'ennemie, à savoir : l'héritage IIIe République, le judaïsme politique, la F.M., les gaullo-communistes...
À l'instar de la Marine Nationale et même du Maréchal , Darnand était un fervent partisan de la collaboration franco-allemande, cela malgré son âme de patriote, et malgré les multiples interpellations de ladite Résistance qui tentait de lui faire rejoindre leur combat en l'ayant contacté à plusieurs reprises et dont il hésita à répondre positivement.
Il refusa, car il comprit que l'invasion intellectuelle ayant mené la France sa désagrégation était la grande responsable de la défaite et de l'invasion physique, l'invasion qui seulement secondé la première. Son pragmatisme faisait de lui un authentique nationaliste, il fut pour cela un homme d'une grande lucidité, conscient des priorités qui, sachant que s'il s'alliait aux Républicanistes et autres communistes, tout ce qu'il ferait revenir chez nous ne serait que le règne judéo-maçonnique sur la France. Il avait compris que le rapprochement franco-allemand était plus louable dans l'immédiat, car cela donner lieu a une collaboration faite entre nationalistes et non avec des démocrates anglos saxons qui sont la négation même du nationalisme.
D'où les multiples rapprochements aux côtés de la Waffen-SS : structure militaire dans laquelle est entrée J. Darnand en 44 prêtant serment à A. Hitler, comme il intègrera aussi la Division Charlemagne après la bataille de Sigmaringen la même année.
Durant ladite Épuration, arrêté par les "Épurateurs", Darnand eu lors de sa détention, pour aumônier son ancien subalterne des Corps Francs, le Père Buckberger, qui décrira plus tard la conversion de Darnand en le déclarant "mort en paix et muni des sacrements", le même qui s'écria avec sanglot lors de "l'enterrement" de Darnand, lorsque le corps fut jeté : "S’il y avait eu dix mille hommes comme lui, jamais les Allemands ne nous auraient vaincus !".
Beaucoup de ses hommes ont été tués, et nous savons que certains d'entre eux ont eu comme dernier cri sur le peloton d'exécution "Vive Darnand !" comme quoi il était aimé de ses hommes, il faisait l'unanimité.
Darnand lui-même lors de sa condamnation à mort, au moment de l'exécution, entonné le refrain du Chant des Cohortes : "À genoux, nous fîmes le serment, de mourir en chantant, s'il le faut, pour la France Nouvelle...etc.".
Il est fait fusillé le 10 octobre 1945...

Conclusion :
Nous devons faire en sorte que ses grands hommes qui nous ont précédés soient un exemple de courage pour nous, nous devons de les commémorer afin de restaurer le lien sacré entre "La terre et les morts" selon l'expression nationaliste de Maurice Barrès.
Nous devons marcher sur leurs pas et honorée leurs mémoires, c'est aussi une manière de faire comprendre à nos ennemis que nous aussi nous avons une mémoire, et que nous n'apprêtions que modérément que l'on y touche... !
Chers camarades, en digne héritier du nationalisme, continuons le combat pour la France Nouvelle et de toujours.

x
Éditer le texte

Merci d'entrer le mot de passe que vous avez indiqué à la création du texte.

x
Télécharger le texte

Merci de choisir le format du fichier à télécharger.