Punition de yannmoix par MagnaVeritas

Tiens, salut fils de pute.

Je ne savais même pas que tu tenais un blog. Tu deviens toujours plus ridicule, mon pauvre. Après avoir pissé sur ton partenaire judoka et sur toi-même, tu n'as rien trouvé de mieux à foutre que tremper ta plume dans de la pisse pour écrire des torchons. J'avais cru que ça te passerait, mais non, rien n'y fait avec le laideron que tu es. Tu aurais mieux fait de pisser sur ta pute de mère, comme tu le décris dans ton torche-cul, ça nous aurait épargné toutes ces émanations méphitiques d'ammoniaque. Oui, petit moix, tes verbiages sont littéralement nauséabonds. yann moix, la dame pipi de la littérature française...

Toi qui aimes tant lécher le trou d'arrabal, tu devrais te souvenir de sa pièce grotesque et minable, comme le reste de son oeuvre, intitulée le ciel et la merde : lorsque je ne sais quel personnage demande à lilit de le laisser bouffer la merde des amants de cette dernière. Ce personnage, c'est toi, bien évidemment. Ce vieux sapin moisi d'arbre à balles a eu la chance d'avoir un bouffe-diarrhée comme toi en guise de disciple.
Si tu écris avec de l'urine, c'est parce que tu es un mange-merde. Un vampire des étrons qui pisse partout quand on l'encule. Scatophaga stercoraria devrait être ton nom de plume : scatophage, comme son nom l'indique, et victime potentielle des enculeurs de mouches. Une mouche à chiasse, comme ton pote asensio, que j'ai déjà assassiné. Le seul pistolero du verbe et de l'écrit, c'est moi. Mais même sans moi, vous demeureriez rien à jamais car vous êtes victimes et bourreaux, de vous-mêmes dans les deux cas, tout à la fois ; vous êtes et des tapettes et des mouches, en somme, c'est très curieux. Qui oserait le nier ? sûrement pas toi qui te prends les couilles de BHL sur le front pour te prosterner devant taubéira la néo-nazi qui a fait passer de forces des lois illégitimes (car les votes étaient truqués, renseigne-toi, fils de gourgandine) malgré les soulèvements populaires monumentaux ! Cent fois plus importants que mai 68, et je pèse mes mots.

Tu es soumis. Seulement, à partir d'aujourd'hui, il faudra te faire à la nouvelle donne : celui qui te domine, c'est moi. Continue d'écrire pour ta clique de décadents malavisés. Eux aussi sont des soupeurs, car ils bouffent les excréments que tu as dans le bide. Ils attendent tes prochains livres le bec grand ouvert, sauf que ce que tu vas leur dégueuler dans le gosier, c'est de la merde. Profite bien de l'argent de tes petits prix littéraires gagnés sur le plagiat de Nabe dont tu es amoureux, mais sache que le compte à rebours a commencé. Les idiots instruits dans ton genre subiront tous le même sort : une humiliation historique, en bonne et due forme.

Allez, ciao fils de pute, oublie de t'inscrire à des cours de français ;)

MagnaVeritas