Ca s'appelle le passeport vert, on ne nous dit pas de le porter, mais ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont en gros créé du jour au lendemain une citoyenneté de seconde zone, un véritable apartheid médical. C'est-à-dire, interdire à des citoyens sains, respectueux de la loi et qui payent leurs impôts, d'entrer dans leurs lieux de culture, s'ils ne participent pas à cette expérience.
C'est aussi simple que ça. On nous a dit qu'il y a littéralement des gens qui ont été expulsés de leurs chorales, hors de leurs piscines, hors de leur salle de gym.
Je ne sais pas qui va entendre le message que nous envoyons, je ne sais pas ce qu'il va advenir de ça.
Je sais qu'il n'y a pas d'autre option que de donner chaque fibre d'énergie et de force pour lutter contre cela. Parce qu'il n'y a pas d'autre option, il y a tout à perdre et il y a tout à gagner.
Et je pense qu'en fait ça n'a jamais été aussi simple, à certains égards, et je crois que... je crois tout simplement que, nous avons le privilège d'avoir cette vérité, il y a une vérité qui, à mon avis, est un dénominateur commun contre... entre toutes ces personnes différentes, différents pays, différentes langues, et nous voyons et disons tous une vérité très claire. Et je pense que cette vérité est un cadeau absolu, mais c'est une obligation, et il ne nous a pas été donné de nous asseoir à la maison et avec cette apathie et espoir pour le meilleur, nous devons tous nous rassembler. Parce que vraiment c'est ainsi que nous gagnons.
C'est en établissant ces liens entre nous, pays après pays, c'est la seule chose dont ces gouvernements ont peur. Ils ont la richesse d'empires derrière eux, mais quand les gens se rendent compte que nous sont le nombre, et qu'ils ne sont qu'une poignet, ils n'ont rien, ils n'ont rien, et je ne pourrais jamais abandonner cet espoir, que nous allons construire cette force, et reprendre nos vies.
Parce que, je l'ai déjà dit, j'ai l'impression que le ballon est en l'air, que c'est comme le volleyball et c'est une question de savoir qui le frappe. Nous ne retournons pas en arrière, il n'y a pas de retour arrière. Il y a à avancer et nous avons une formidable opportunité, et nous avons une formidable opportunité de se rassembler en tant qu'humains, sans sans les questions de religion, ils nous poussent tellement loin qu'ils effectuent cette réinitialisation complète, nous ne sommes en fait que des humains dans une si belle manière, aussi douloureuse que ces divisions qu'ils ont faites, nous pouvons en fait nous rassembler, d'une manière, c'est comme ça que ça doit être. C'est mon avis.
Ilana Rachel Bienvenue à black box studio, hier j'ai écouté une sorte de fichier audio déroutant de votre part venant de Jérusalem...
"C'est une très mauvaise situation ici, ils obligent les gens à porter un bracelet électronique, c'est absolument fou. Mais en attendant, nous continuons à nous battre, nous battre autant que nous le pouvons. Donc nous avons besoin de l'aide de tout le monde, car tout ce qui se passe ici, arrivera partout, arrivera partout. Alors nous nous battons pour nous-mêmes et nous nous battons pour le monde entier. Mais nous avons besoin d'aide, nous avons besoin de tous, de tous, chaque personne sur le front."
Ca m'a donné la chair de poule, et c'est la raison pour laquelle je voulais vous parler directement, pour signaler de votre côté ce qui se passe réellement en Israël.
Ce qu'il se passe, en bref, je ne sais pas s'il existe une version courte, mais, notre premier ministre benjamin netanyahu, a pris l'initiative de nous inscrire sans notre consentement éclairé, pour être les... um sujets expérimentaux, pour le déploiement de la technologie expérimentale de Pfizer. Et ils utilisent la force pour cela.
En utilisant des méthodes coercitives, menacant les gens avec leurs moyens de subsistance, menaçant les jeunes enfants, des enfants de 16 ans qui ne peuvent pas passer leurs examens.
Et le déploiement de cela s'est très bien déroulé, ce plan est destiné à de nombreux pays, et dans d'autres endroits, ils vous donnent la possibilité, pour venir vous inscrire, mais ici il n'y a pas d'option. Vous devez à peu près venir et le faire, comme si la science était établie alors qu'elle n'existe même pas. Et il y a une profonde pression gouvernementale et sociale déjà pour s'y précipiter, dans cette expérience.
Et en Israël, ils n'en parlent même pas comme si c'était une expérience, bien que le reste du monde en est pleinement conscient. C'est exactement ce que c'est.
Dites-vous que les vaccins sont obligatoires en israel pour le moment ?
Les vaccins ne sont pas obligatoires en Israel, mais... ce vaccin contre le covid 19, eh bien, c'est juste un raccourci, ce qui signifie qu'ils disent que ce n'est pas une nécessité et que vous n'êtes pas forcés, mais la réalité sur le terrain est que les gens perdent leurs emplois s'ils sont dans le secteur de la santé, s'ils exercent toutes sortes de professions liées à la santé.
Il y a beaucoup d'endroits différents où on dit aux gens "vous vous vaccinez ou vous partez"
Vous m'avez dit quelque chose avant dans ce fichier audio à propos des personnes portant une sorte de bracelet autour de leurs poignets, un laisser passer ou quelque chose comme ça, qu'est-ce que c'est que tout ça ?
Ca s'appelle le passeport vert, on ne nous dit pas de le porter, mais ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont en gros créé du jour au lendemain une citoyenneté de seconde zone, un véritable apartheid médical. C'est-à-dire, interdire à des citoyens sains, respectueux de la loi et qui payent leurs impôts, de entrer dans leurs lieux de culture, s'ils ne participent pas à cette expérience.
C'est aussi simple que ça. On nous a dit qu'il y a littéralement des gens qui ont été expulsés de leurs chorales, hors de leurs piscines, hors de leurs gymnases, comme je l'ai dit, il y a une pression sociale incroyable, pression et division entre les familles, et cette...... illusion de science, que vous ne participez pas, donc vous devenez cette menace portant le virus pour le reste d'entre nous, même si bien sûr, il n'y a tout simplement pas d'études de sécurité existantes.
Donc c'est vraiment..... au nom de la science ils font en fait quelque chose qui n'est vraiment qu'une illusion.
Que se passe-t-il avec des personnes de l'étranger entrant en Israël ? Par exemple par avion ? Que doivent-ils faire, pour participer à nouveau à la société ?
C'est l'une des pires manifestations de ce qu'il se passe que vous verrez à l'aéroport, je viens de lire ce matin le compte rendu personnel, de quelqu'un à son retour à la maison, et ses parent étaient des survivants, des survivants de l'holocauste, et il a littéralement senti qu'il était dans une sélection, c'était très clair.
Ceux qui ont été déjà vaccinés, ou viennent juste de l'être, sont mis à gauche, les autres, de l'autre côté et sont forcés d'aller s'asseoir dans ces hôtels... pour qu' on leur fasse passer un test PCR. Et puis c'est la roulette russe, les règles changent du matin au soir.
Mais il y a aussi apparemment pour certains, une possibilité de porter une sécurité, un véritable bracelet électronique de sécurité, comme s'ils étaient prisonniers dans leur propre maison. Et vous devez payer 2000 shekels pour le privilège de le faire, et c'est ce qu'ils font à leurs propres citoyens qui ont l'audace de voyager.
Donc, ce que je comprends, c'est que le bracelet électronnique est en fait un moyen d'avoir une quarantaine libérale à la maison ?
Oui, c'est la version libérale, c'est correct. Ce que l'on voit ici, ceux d'entre nous en Israël, nous comprenons, que nous sommes utilisés comme modèle pour le reste du monde.
Et donc, et à cause du plan qui dépasse cette injection pour le reste du globe, et le plan plus grand que les gouvernements ont est de prendre le contrôle, ce qui dépasse largement ce qu'ils nous ont imposé. Il y a le sentiment que ça doit marcher, ils ne nous laissent pas le choix, parce que nous sommes le modèle pour montrer à tout le monde à quel point cette nouvelle version de la vie est fantastique.
Nous sommes donc confrontés à des forces extraordinaires, nous connaissons l'infini richesse des entreprises pharmaceutiques, et nous connaissons les gouvernements du monde entier.
Mais cette année d'implémentations politiques extrêmes, culminent toutes ici en Israël en ce moment, avec le déploiement de ce programme. Donc comme je l'ai dit alors que dans d'autres pays il y a encore un choix, ici la seule raison pour laquelle ils ne le font pas, à mon avis, la seule raison pour laquelle ils ne nous forcent pas physiquement, c'est parce qu'il y aurait une trop grande indignation. Mais ils font de manière détournée.
C'est la même vieille histoire, c'est l'autre, c'est cette version, c'est l'idée que cet autre va mettre en danger mon... ma zone de confort. Et c'est ce que ces gens qui ne veulent pas participer à cette expérience sont devenus.
Y a-t-il une résistance en Israël à ces événements ? Je veux dire, si vous regardez cela dans un contexte historique et dans une perspective religieuse, vous pourriez dire après ce qui est arrivé aux juifs, à travers l'histoire, et ils ont enfin leur terre promise, c'est un peu cynique ce qui se passe maintenant avec les juifs en Israël.
Vous savez, je ne sais pas si c'était prévu dès le départ de commencer ici, je sais qu'il y a des raisons logiques pour lesquelles ils ont déployé ce programme ici en Israël.
Mais le fait que les gens ont traversés l'holocauste, et vous avez en fait des personnes âgées qui sont des survivants de l'holocauste, actuellement testés dans leur pays d'origine, notre lieu de refuge. Par la même entreprise, qui ne fait que changer de nom, vous ne pouvez vraiment pas, vous ne pourriez pas avoir fait une plus grande trahison. Parce que la vérité est que c'est censé être notre refuge, et nous sommes maintenant à l'avant et au centre, dans un danger que personne ne peut définir.
Nous connaissons bon nombre des problèmes de santé immédiats, mais les problèmes de fertilité, nous avons déployé un programme, peu importe le fait que le seul groupe de personnes qui ait jamais risqué de mourir, avec des exceptions, de ce virus ont 65 ans et plus âgés, et ceux qui ont des comorbidités.
Ils ont mis un tel sentiment de peur, qu'ils ont déployé ce programme expérimental même chez les femmes enceintes, ils ont fait pression sur les enfants à partir de 16 ans et les femmes enceintes, des messages à la radio "venez, venez vous faire vacciner, vous sauverez votre bébé" et la nuit avant qu'ils déploient le programme, pour la première fois dans l'année, ils ont mis des articles de presse qui disent "nous avons soudainement 30 femmes enceintes dans des conditions critiques à l'hôpital".
C'est tellement évident, et les gens y croient, ils semblent juste y croire, ils semblent oublier, non seulement la science fondamentale, mais, mais leur propre expérience, la seule grâce salvatrice dans ce virus est que les enfants sont épargnés.
Et au lieu de cela, nous faisons semblant qu'une femme enceinte a besoin d'aller prendre une technologie ARNm dans son corps. J'ai vécu en Israël depuis près de 24 ans, et jamais je n'aurai pu... Jamais je ne me serai imaginée que nous ferions ces choses, je n'aurais jamais pu imaginer.
Mais le truc c'est que nous savons, que ce n'est pas un secret, il y a un contrat, il existe un contrat physique réel entre pfizer et notre gouvernement, nous n'avons vu qu'une version censurée, ce que nous savons est qu'il y a une clause de pénalité, ils doivent en ce moment... le gouvernement israélien agit de manière complétement désespérée, parce qu'ils ont une sorte de quota de personnes qu'ils doivent atteindre, qu'ils doivent injecter.
Je ne sais pas ce que cette clause de pénalité implique, de toute évidence ce doit être quelque chose de plus terrible que de risquer la santé des générations à venir de tout votre peuple, mais nous savons que cela existe, et nous savons qu'ils sont dans une situation où ils ressentent beaucoup de pression.
Et donc ils agissent bêtement, et plus extrêmement. Vous savez qu'ils envoient des messages, offrant aux gens une tranche de pizza pour obtenir une injection ! C'est juste un total crépuscule.
Et ce qui est encore plus douloureux, ce n'est pas seulement à quel point c'est extrême, parce que c'est si évident pour quiconque est prêt à admets, mais qu'il y a tellement de gens qui, pour diverses raisons pour lesquelles c'est vrai, mais pour tant de gens qui ont toujours confiance en notre gouvernement et prétendent que tout cela pourrait encore être à propos d'un virus.
Ils sont bouillis vivants dans cette marmite, et prétendent que ce n'est pas si chaud.
Et c'est très douloureux, ces gens que nous aimons et respectons, nos voisins, parents et qui agissent toujours comme si c'était... comme si c'était ce qu'il se passe vraiment.
Ilana, aux Pays-Bas, nous serons confrontés à de nouvelles élections très bientôt, et il y a un politicien qui a en fait une maison en Israël, elle s'appelle Sigrid Kaag, et elle a travaillé pour les nations unies, et elle donne Israël en exemple aux Pays-Bas, disant dans les journaux que nous devrions regarder le succès qu'a eu israël.
"Nous les Hollandais, devrions prendre exemple sur Israël, où les gens vaccinés ont de nouveau accès à une vie sociale."
Que voudriez-vous lui dire ?
Je voudrais lui dire que les données ne sont pas collectées, nous donnons à ces personnes, ces citoyens israéliens, zéro consentement éclairé, zéro capacité à faire une analyse bénéfice/risque, il n'y a même pas une opportunité pour les gens de comprendre à quoi ils s'inscrivent. Et non seulement ça, ce qu'il se passe, c'est qu'on leur donne l'injection, ils restent assis pendant 15 minutes, 15 minutes, puis reprennent leur chemin, il n'y a pas de papier, il n'y a pas de liste d'effets secondaires à surveiller, il n'y a pas de numéro pour appeler, les données ne sont pas collectés.
Un certain nombre d'efforts citoyens ont été déployés pour enregistrer ce que notre ministère de la santé n'enregistre pas, uniquement les choses les plus extrêmes sortent dans les nouvelles et ils ont arrêté même cela. Lorsque les premiers cas de paralysie de Bell, les premières personnes âgées décédées d'une insuffisance cardiaque, dans l'heure, et puis... les titres changent le lendemain.
"oh il n'y a pas de relation, il n'y a pas de relation avec l'injection qu'ils ont reçue"
Je connais personnellement des personnes qui travaillent dans des établissements médicaux, qui observent une personne âgée de 40 ans mourir d'insuffisance cardiaque deux jours après l'injection, et ils ne sont pas autorisés à le dire, ils ne sont pas autorisés à dire que ça avait quoi que ce soit à voir avec ce vaccin, c'est une menace absolue, si vous prenez une balle dans la tête, mais que vous avez un test positif pour le covid, vous êtes mort du covid. Mais si vous décédez d'une insuffisance cardiaque, dans les deux semaines, après avoir reçu l'injection il n'y a aucune corrélation.
Nous vivons dans un monde de rêve, et nous méritons mieux, nous méritons tous mieux, et ce n'est absolument pas précis, ce n'est pas scientifique, et nous savons, toute l'idée d'appeler cela un vaccin, même si nous savons qu'il s'agit en fait d'un traitement génétique expérimental, l'utilisation du mot vaccin, consiste à utiliser une partie de votre cerveau qui ne pense pas du tout, qui n'a que cette réaction instinctive, parce que nous savons automatiquement que les vaccins sont censés être sûrs et efficaces, vérifiés depuis des décennies.
Vous savez, c'est cette idée que les gens ont. Ils utilisent donc ce mot vaccin, sans parler des défauts dans ce récit, mais celui qu'ils utilisent maintenant est si plein d'imperfections, c'est insultant de l'avoir poussé, dans n'importe lequel de nos discours, et le fait est que nous savons que tout vaccin prend au moins 10 ans, et l'idée que nous avons poussé cette technologie qui a des décennies de problèmes, qui n'est jamais sortie des laboratoire avant, qui n'a jamais depassé les essais sur les animaux, furets, lapins, chats, singes, tous sont morts pendant les essais sur les animaux, et maintenant nous le collons dans tout le territoire national israélien, il n'a jamais été testé.
La seule fois où l'ARNm a été utilisé est dans les cas les plus extrêmes, aucun des traitements réels que nous connaissons depuis l'année dernière a été donné, ils n'ont pas été donnée, pour que nous puissions utiliser cette technologie.
Revenons aux droits de l'homme, qu'arrive-t-il réellement à la société israélienne ? Sentez-vous toujours que vous vivez dans une société libre et ouverte ?
Non, absolument pas, je pense que... vous entendez les gens parler à propos de où ils pourraient aller, les gens sont absolument terrifiés, par rapport à ce qui va arriver, d'un jour à l'autre, pour ce qu'il adviendra dans le futur, pour nos enfants, les divisions sont si extrêmes, sont si déraisonnables, et je pense que même les gens qui se sont inscrits et ont pris cette injection, commencent à le voir.
Parce que c'est si extrême, et le gouvernement agit si désespérément, mais vous savez maintenant si vous sortez sans masque, c'est la même chose que les histoires que vous entendez partout, il y a des gens qui sont prêts à vous crier dessus dans la rue. Ce n'est qu'un début, et ils ont réussi, à imposer ce récit disent que vous êtes un risque, un risque rempli de germes, si vous rentrez dans le magasin de quelqu'un sans prendre cette injection, qui bien sûr n'a pas la possibilité d'arrêter la transmission, ce n'est pas ce pour quoi il a été fait.
J'ai compris que vous dirigez également un parti politique en israel, réussissez-vous ?
Nous faisons des scores incroyables malgré une censure totale, malgré.... vous savez ils ont enlevé nos pages facebook de 60000 personnes, et ils révoquent la licence médicale du chef de notre parti, ils font tout ce qu'ils peuvent pour nous délégitimer, mais bien sûr ça ne réussit pas, ça les rend seulement... cela ne fait que rendre plus évident le fait que les petits partis israéliens ont historiquement eu un énorme défi, ils ne nous permettent même pas d'ouvrir un compte bancaire pour recevoir des dons, ils font tout ce qu'ils peuvent, pour nous faire taire, parce que nous nous opposons à leur récit unique, ca qui les met en danger, ces oppositions gauche-droite cela n'a pas d'importance pour eux, nous sommes les seules les personnes qui se lèvent et disent que c'est inacceptable, c'est absurde, c'est déraisonnable.
Vous savez que le peuple israélien s'est assis et a vécu le confinement pendant cinq mois, à rester confinés dans nos petits appartements, israel est un tout petit pays, nous n'avons pas de grands jardins, c'est absurde. Des enfants avec des masques, avachis devant ces appels de zoom sans fin, vous avez vraiment un peuple qui a été si affaibli, que... du coup de nombreuses personnes, selon le gouvernement, prennent cette injection, "oh ça va, cela ne semble pas juste mais d'accord je vais le faire, laissez-moi juste sortir de ça, ils me disent que c'est la solution, et même si mon instinct me dit que ce n'est pas bon".. combien de personnes vont prendre les mesures supplémentaires pour rechercher la vérité, pas assez.
Comment imaginez-vous l'avenir pour Israël dans les quatre ou cinq prochaines années ? Que pensenz-vous qu'il va se passer ?
Donc je vais vous dire, je n'ai absolument aucune idée, l'avenir n'a jamais été aussi opaque, je pense que c'est vrai pour tellement d'entre nous à travers le monde en ce moment, et je sens que... ce n'est pas être cliché mais un peu de lumière expulse beaucoup d'obscurité, et c'est juste un pas, un pas que je fais me mène à l'étape suivante, nous amène à l'étape suivante, je ne sais pas ce qui va se passer même ces élections sont censées avoir lieu le 23 mars, c'est tellement long dans le monde dans lequel nous vivons en ce moment.
[Je ne sais pas qui va entendre le message que nous envoyons, je ne sais pas ce qu'il va advenir de ça.
Je sais qu'il n'y a pas d'autre option que de donner chaque fibre d'énergie et de force pour lutter contre cela. Parce qu'il n'y a pas d'autre option, il y a tout à perdre et il y a tout à gagner.
Et je pense qu'en fait ça n'a jamais été aussi simple, à certains égards, et je crois que... je crois tout simplement que, nous avons le privilège d'avoir cette vérité, il y a une vérité qui, à mon avis, est un dénominateur commun contre... entre toutes ces personnes différentes, différents pays, différentes langues, et nous voyons et disons tous une vérité très claire. Et je pense que cette vérité est un cadeau absolu, mais c'est une obligation, et il ne nous a pas été donné de nous asseoir à la maison et avec cette apathie et espoir pour le meilleur, nous devons tous nous rassembler. Parce que vraiment c'est ainsi que nous gagnons.
C'est en établissant ces liens entre nous, pays après pays, c'est la seule chose dont ces gouvernements ont peur. Ils ont la richesse d'empires derrière eux, mais quand les gens se rendent compte que nous sont le nombre, et qu'ils ne sont qu'une poignet, ils n'ont rien, ils n'ont rien, et je ne pourrais jamais abandonner cet espoir, que nous allons construire cette force, et reprendre nos vies.
Parce que, je l'ai déjà dit, j'ai l'impression que le ballon est en l'air, que c'est comme le volleyball et c'est une question de savoir qui le frappe. Nous ne retournons pas en arrière, il n'y a pas de retour arrière. Il y a à avancer et nous avons une formidable opportunité, et nous avons une formidable opportunité de se rassembler en tant qu'humains, sans sans les questions de religion, ils nous poussent tellement loin qu'ils effectuent cette réinitialisation complète, nous ne sommes en fait que des humains dans une si belle manière, aussi douloureuse que ces divisions qu'ils ont faites, nous pouvons en fait nous rassembler, d'une manière, c'est comme ça que ça doit être. C'est mon avis.]
Merci Ilana pour votre bravoure, pour votre honnêteté, je pense que ce que vous dites est tout à fait juste et c'est très dérangeant d'entendre ce qu'il se passe en israel, mais nous voyons un peu les mêmes choses en Europe et aux Pays-Bas, et pour moi, ça ressemble à un cauchemar dans lequel nous sommes toujours, et j'espère chaque jour que l'on se réveille de ce terrible rêve que ce n'est pas la vérité. Donc je veux vous remercier pour cet appel de Jérusalem, je n'ai jamais parlé à qui que ça soit de Jérusalem, de la terre promise, et ça ne devrait pas être comme ça, merci Ilana.
Merci Fabio merci.