(VF-VOSTFR) Qui aurait pu y croire ?
Gunnar Kaiser, écrivain et professeur de littérature Allemand, enchaîne les éléments d'une réalité à laquelle personne n'aurait cru si elle n'était devenue la nôtre.
Une question...Si je vous avais dit il y a un an. Qu’on allait déclarer une pandémie, et ce, sur la seule et unique base d’un test PCR, dont la validité reposera sur une seule étude, validée en 27 heures, rédigée par des chercheurs aux conflits d'intérêts manifestes, qui ne pourra ni faire la différence entre les infections actives et passées, ni détecter la moindre maladie, et qui aura un taux d'erreur très élevé au-delà des 35 cycles, sachant que cette histoire de cycles ne sera contrôlée nulle part, pas plus que le nombre de séquences génétiques testées, et qui, reposant sur l'hypothèse d'une infection asymptomatique, hypothèse qui ne reposera, elle, sur aucune preuve, et qui n'aura pas pu être confirmée au cours de cette année, mais qui aura fait passer, à elle seule, la simple idée devenue possibilité, d'un effondrement complet du système des soins de santé, un fait qui ne se produira d'ailleurs nulle part, au contraire, les unités de soins intensifs tourneront à leur capacité normale, mais qui, à lui seul, justifiera des confinements quasi en boucle, ce qui, selon l'épidémiologiste le plus renommé au monde, non seulement ne servira à rien, mais entraînera de sérieux dégâts, et ce, par crainte d'une maladie relativement inoffensive pour 99 pour cent des gens, et pas mortelle pour 99,77 % des personnes dont le test aura été positif, et pour ceux qui en meurent, la date de décès correspondra exactement à la moyenne de leur espérance de vie, sachant qu’aucune distinction n'aura été faite entre ceux qui sont morts "du" et ceux qui sont morts "avec" le Corona, et qui, eux, ne seront pas autopsiés pendant longtemps à cause de la résistance considérable de la part des organismes officiels, et qu'il n'y aura pas de surmortalité significative, même dans les pays qui n'auront pas ou peu pris de mesures, et que tout comme dans les pays qui n'auront que peu ou pas pris de mesures, il n'y aurait pratiquement plus de cas de grippe, ce qui justifiera alors des restrictions sans précédent de nos libertés fondamentales, de notre autonomie et de nos vies privées, et une récession économique mondiale qui provoquera la division de la société, qui engendrera des services psychiatriques pour enfants et adolescents complètement débordés, et dans la foulée, impliquera vraisemblablement un traitement régulier par thérapie génique qui, elle, impliquera une vaccination de masse avec un carnet de vaccination numérique, lequel confirmera votre vaccination avec un vaccin expérimental qui ne garantira même pas une immunité stérile, qui ne sera même pas au point, mais qui en revanche causera des effets secondaires inquiétants, et avec lequel on pourra alors vous accorder de nouveaux privilèges, autrefois appelés droits fondamentaux, et ce, pour l'éternité...ou pas. Si je vous avais dit ça il y a un an, qu’est-ce que vous m'auriez répondu ?