Édité le 2 avril 2021
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Salut, je suis Mateo. Bienvenue sur ma chaîne. Eh bien, aujourd'hui, je ne vous parle pas en tant que Mateo mais en tant que Président de l'association des "Policiers pour la Liberté". Pourquoi est-ce que je parle? Pourquoi je parle sur cette chaîne ? Parce que notre canal de "Police pour la liberté" a été fermé pendant quelques jours, parce que nous disons des choses qui ne sont pas bien vues par les médias de manipulation et parce qu'elles ne sont pas bien vues dans les dictatures. Je veux m'adresser à vous aujourd'hui citoyens et citoyennes, pour vous dire que nous sommes avec vous, que vous n'êtes pas seuls, que la "police pour la liberté" se bat pour défendre vos droits, pour défendre vos libertés, pour défendre la démocratie, pour défendre la constitution et je veux aussi m'adresser à vous, collègues des Forces et des Corps de Sécurité aussi bien dans l'état, les communautés autonomes, les municipalités, à vous collègues et aussi aux responsables, vous me faites vraiment beaucoup de peine. Dans les circonstances dans lesquelles nous vivons, tout est en train de tomber, la population est de plus en plus au chômage. Je crois que nous sommes au taux de chômage le plus élevé de l'histoire de l'Espagne, avec des libertés restreintes, comme s'il s'agissait d'une dictature sous une forme déguisée avec des lois, avec des décrets qui sont anticonstitutionnels, le peuple souffre avec le mal qui est en train de se passer, on ferme des magasins, on ferme des entreprises. Le gouvernement prend des mesures qui n'ont rien à voir avec la santé, il s’agit de coercition, de restrictions des droits et libertés des personnes. Vraiment, collègues, allez-vous vraiment continuer à collaborer avec eux, avec les politiciens, avec tous ces gens qui coulent le pays, qui coulent vos amis, vos voisins, vos parents? Vous pensez qu'après eux ce ne sera pas votre tour ? Quand les gens vont avoir faim et qu'ils vont se battre, quand ils vont commencer à voler, contre qui vont-ils se battre? Contre vous ! Allez-vous vraiment collaborer à tout cela ? Et vous, les commandants, je ne comprends vraiment pas, allez-vous collaborer avec tout cela, êtes-vous des chefs de police ? Vous êtes chefs des gardes civils, ou vous êtes simplement des politiciens qui obéissez, vous obéissez aux ordres même s'ils sont illégaux, ou même s'ils ne sont pas clairement légaux. Lorsqu'un fonctionnaire fait quelque chose qui vous semble mauvais, vous déposez un dossier, vous faites remonter, vous regardez , vous les jugez.... vous pensez vraiment que vous allez collaborer avec tout cela et qu’ensuite vous allez dormir sans problème. Les gens commencent à gêner, ces personnes qui se promènent dans les rues, qui ouvrent leurs commerces avec l'excuse qu'à quatre on n'est pas contagieux, à six on l'est, debout oui, assis non, dans les bars oui, sur la chaise non, mais s'il vous plaît, on voit toutes les incohérences qui nous sont imposées . Dans certains endroits on peut être en contact à partir de 8 heures, mais avant 8 heures non, dans d'autres endroits c'est à partir de 10 heures. Ce que l'on fait a-t-il un sens, si ce n'est que nous sommes en train de devenir une dictature, de manière sournoise? Nous avons autrefois juré ou promis de protéger, de défendre et de servir les citoyens devant les organes de Sécurité . Nous allons collaborer pour soumettre les citoyens à une dictature. Vous proposez vraiment de faire ça ? Gratuitement ? N'êtes-vous pas capable de réfléchir un peu, d'avoir un peu de sensibilité ? Je ne comprends vraiment pas. Je voulais dire aux citoyens de ce pays que nous sommes avec vous, que nous nous battons pour vous défendre. Nous voulons être votre police, la police du peuple, la police qui défend les libertés, la police qui défend les gens, qui poursuit les criminels, mais ne poursuit pas ceux qui veulent ouvrir un commerce et qui, et non ceux qui essaient de maintenir toutes les mesures de sécurité farfelues qui nous ont été imposées. Nous sommes la police qui veut défendre les libertés et poursuivre les criminels. Je voulais également me référer à vous, les juges, pouvez-vous vraiment dormir la nuit, pouvez-vous vraiment dormir la nuit, pouvez-vous simplement vous endormir et c'est tout et rien ne se passera ? Vous qui êtes le pouvoir judiciaire, qui devez garantir l'état de droit, qui avez un des contrôles que le gouvernement a, que le pouvoir législatif a, entre vous trois vous devez vous contrôler mutuellement et où est notre contrôle, où est-il ? Vous ne contrôlez rien. Vous laissez les gouvernements d'Espagne et des communautés autonomes faire ce qu'ils veulent et nous priver de nos libertés, limiter nos libertés, des libertés fondamentales qui ne peuvent être restreintes que dans un état de siège et dans cet état d'alarme, elles sont limitées. Et tu ne dis rien ! Nous nous en soucions. Vraiment, je suis très désolé et je suis très heureux avec tous les camarades qui s'associent de plus en plus á "police pour la liberté".

Parce que nous sommes, nous voulons être, et je pense que nous faisons partie des collectifs qui luttent pour garantir la liberté et pour garantir qu'il n'y ait pas d'abus de la part des législateurs, de la part de la police et de la part des juges. Je vous laisse ci-dessous, sous la vidéo, mon canal télégramme si vous voulez nous rejoindre, cette vidéo sera sur YouTube, je vais également la télécharger sur une autre plate-forme et depuis ce canal Telegram vous aurez accès à l'autre plate-forme . Et je voudrais que cette vidéo soit diffusée et que les citoyens puissent voir que nous, "la police pour la liberté", sommes avec vous et que nous sommes très désolés, très désolés parce que tant de collègues, tant de chefs de police, tant de juges collaborent avec cette hypocrisie, avec ce mensonge, avec cet état d'autorité caché, avec cette dictature.

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