Édité le 16 avril 2021
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Alors regardez ça : les dirigeants de Pfizer ont parlé d'augmenter le prix des vaccins après la fin de la pandémie. Ils ont été pris en flagrant délit disant que la pandémie ne va pas s'arrêter.
Elle va devenir endémique, et quand elle le sera, ils vont se faire un paquet d'argent avec le vaccin qu'ils ont fabriqué.

On les a pris en train de dire ça. Laissez-moi vous lire l'histoire, puis nous examinerons les implications de cette affaire, car une grande question que beaucoup d'entre nous devraient se poser est de savoir ce qu'est le vaccin. Je veux dire, l'avez-vous créé dans l'intention de mettre fin au Covid ? ou l'avez-vous créé dans l'intention de GAGNER du temps, afin de pouvoir continuer à en produire DAVANTAGE sans qu'il ne guérisse vraiment quoi que ce soit ?

Mais il suffit de dissiper certaines choses et de se demander ce que c'est, ce à quoi on joue ici.
Il est dit qu'un cadre supérieur de Pfizer a laissé entendre aux investisseurs la semaine dernière, que le prix de son vaccin covid19 pourrait AUGMENTER après la pandémie.
Donc non seulement ils sont enthousiastes à l'idée que le Covid va perdurer encore et encore, pour toujours, pour toujours - c'est ce que signifie une endémie, elle sera là pour toujours - mais ils disent également qu'ils vont augmenter le prix du vaccin !

La remarque soulève des questions quant à savoir si un médicament développé à la demande du gouvernement fédéral, pour répondre à une crise mondiale, puisse être rentable pour une entreprise.
Cette possibilité a été évoquée par Carter Lewis Gould, analyste principal de la recherche sur les actions biopharmaceutiques chez Barclays, lors d'une conférence virtuelle sur les soins de santé mondiaux, organisée par la banque. Gould a fait référence à des commentaires émis par des cadres de Pfizer au cours de l'été, il a demandé si la société pharmaceutique envisageait toujours de pratiquer des "prix plus élevés" alors que "nous passons d'une phase pandémique à une phase endémique".
Selon une transcription éditée de la conversation, Gould a déclaré : " Il est clair qu'on a beaucoup parlé dans les couloirs, et en particulier à propos de certains de vos commentaires sur la possibilité d'augmenter les prix ", et il a ajouté, concernant la suggestion faite par Pfizer au cours de l'été : " Je pense que l'une des choses que les gens mettent en avant est à la fois l'aspect objectif de la chose, et une partie de leur expérience du marché de la grippe.
Maintenant, c'est tout à fait différent, mais j'espérais que vous pourriez peut-être approfondir un peu plus vos pensées ici et sur une tarification potentiellement plus élevée par la suite".

Alors, qu'en pensez-vous, vous savez, sur l’augmentation de prix dans le futur ?
Ecoutons, écoutons ce que vous avez à dire !

En réponse, Frank A. D'Amelio, Directeur financier et Vice-Président exécutif de la distribution mondiale de Pfizer, a déclaré que la société anticipe une " opportunité significative " pour son vaccin sur la question des prix, alors que nous passons d'une situation pandémique à une situation endémique. Il dit : " Donc, si vous regardez comment la demande actuelle et les prix actuels sont déterminés, il est clair qu'ils ne sont pas déterminés par ce que j'appellerais les conditions normales du marché. Les conditions normales du marché sont en fait déterminées par l'état de pandémie dans lequel nous nous trouvons. Et les besoins des gouvernements de sécuriser les doses auprès des différents fournisseurs de vaccins", a expliqué M. D'Amelio : "Nous pensons donc, ce que je pense, c'est qu'au fur et à mesure que nous passons d'une situation de pandémie à une situation d'endémie, les conditions normales du marché vont commencer à se renforcer. Et des facteurs comme l'efficacité, la disponibilité, la capacité de rappel, l'utilité clinique deviendront très importants. Et nous voyons cela comme une opportunité significative pour notre vaccin du point de vue de la demande, du point de vue des prix, étant donné le profil clinique de notre vaccin.
Donc, clairement, il y a encore beaucoup de choses à venir, mais nous pensons qu'en passant de la pandémie à l'endémie il y a là une opportunité pour nous".

C'est donc ce qu'a dit le dirigeant de Pfizer et cela soulève de nombreuses questions. La première question est : ont-ils vraiment pensé qu'ils allaient guérir la maladie ou pensaient-ils plutôt qu'ils allaient simplement la maintenir ? Peut-être qu'ils peuvent atténuer un peu la maladie et ensuite, plutôt que de la guérir, ils pourraient peut-être mettre un vaccin au point.

Peut-être, vous savez, ce serait un véritable scandale, n'est-ce pas, si nous découvrions plus tard que toutes ces sociétés Big Pharma dans lesquelles nous avons mis tant de confiance, nous avons eu tant de confiance dans les sociétés Big Pharma.... Grosse erreur d'ailleurs ! vous savez, en particulier tous ces progressistes anti-establishment qui, pendant des années, se sont attaqués à Big Pharma en disant qu'ils étaient tous corrompus et qu'ils avaient acheté notre gouvernement, et que tout cela n'était qu'un gros racket, et puis soudain la pandémie frappe et ils disent tous : "oh, sauvez Big Pharma, sauvez Big Pharma !
Et maintenant, nous y voilà. C'est pourquoi vous ne pouvez jamais leur faire confiance, parce qu'ensuite ils arrivent et disent, vous savez quoi ? ouais ok, il ya une pandémie en ce moment et donc vous savez que nous sommes en bons termes avec ces gouvernements. Mais ! une fois que ça devient endémique comme cela l’est avec la grippe, on peut faire de l'argent avec ça, comme avec le vaccin contre la grippe. Et on peut investir beaucoup d'argent, augmenter les prix, augmenter le coût. Car il ne s'agit pas de sauver des vies, il ne s'agit pas de mettre fin au Covid. Il s'agit d'opportunités. Et donc c’est ce qu'ils considèrent ici, ils admettent qu’ils ont une opportunité avec ce virus. Et ils vont en tirer profit.

Et ça nous interroge, et c'est le cas pour beaucoup de choses.
Pourquoi n'y a-t-il pas de remède au cancer ? Nous sommes capables de produire de nombreuses choses incroyables et innovantes, mais nous n'avons pas de remède au cancer.
Il est intéressant de noter que nous n'avons pas non plus de remède pour le SIDA. Quelqu'un devrait s'interroger, enfin beaucoup d'entre nous se posent ces questions, mais quelqu'un devrait poser directement la question à ces chercheurs et à ces compagnies pharmaceutiques, le Congrès devrait vraiment le faire, c’est son travail, mais bien sûr il ne le fait pas.
Et ils disent, en fait vous savez ils soutiennent ces gens-là. Ils les placent sur un piédestal comme nos sauveurs, les grandes entreprises pharmaceutiques, les grands sauveurs du jour, les voilà.
Ils vont trouver un remède pour le Covid et on va tous devoir le prendre.
Et nous aurons aussi ces passeports vaccinaux, car si nous voulons revenir à la normale, on va devoir se faire vacciner.
Et nous allons tous devoir le faire collectivement, vous savez, c'est ce que nous entendons encore dans les médias.

Et ils, ils ont essentiellement promu cela, non-stop, pour découvrir maintenant que même les grandes entreprises pharmaceutiques disent qu'elles ne pensent pas que cela va s'arrêter. En fait, elles espèrent que ce ne sera pas le cas, pour pouvoir en tirer un maximum d'argent. 'Nous n'avons AUCUNE envie de le guérir’… Ils n'ont aucune envie de guérir le SIDA, ils n'ont aucune envie de guérir le cancer et ils n'ont aucune envie de guérir le Covid.
Et cela paraît manifeste à tous ceux qui pensaient le contraire, qui pensaient que, pour une raison ou une autre, Big Pharma allait être le grand sauveur.
Malheureusement, c'est un peu comme une claque en plein visage, cela n'aurait jamais dû, cela n'aurait jamais dû être le plan, jamais, avec cette histoire. Parce que nous aurions tous dû savoir que le scénario était écrit noir sur blanc avec ces sociétés pharmaceutiques. Elles nous ont montré qui elles sont, encore et encore. Et soudain, vous voudriez croire qu'il y a quelque chose de différent, cette fois ? Parce que oui, mais cette fois c'est différent, parce que c'est un mauvais virus qui tue beaucoup de gens.
Et ils n'agissent pas différemment qu'avec n'importe quelle autre chose qui tue beaucoup de gens.
Ils voient une opportunité, ils voient des billets verts et ils n’ont aucun état d’âme à augmenter le prix du vaccin. Une fois qu'on aura atteint ce qu'ils appellent l'état endémique, qui est en fait juste que nous nous en remettons et réalisons que la maladie ne va pas disparaître.
Et nous devons tous vivre avec, nous devons tous sortir de nos maisons, nous devons tous commencer à vivre normalement.
Et il n'y a rien que nous puissions vraiment faire, se cloîtrer ne va pas résoudre le problème. Cela ne va pas disparaître et une fois qu'on aura atteint ce point, on sera en phase endémique.
Et ça restera là pour toujours, comme une endémie, comme la grippe. C'est juste là, ça vient, ça part, ça vient, ça part. Nous sommes tous habitués à ça, et certaines personnes se font vacciner, et la moitié d'entre elles, je pense, entre 30 et 50 %, se font vacciner. C'est donc ce que nous constatons. Ici.

Vous savez, je pense que beaucoup d'entre nous devraient poser les quelques questions clés suivantes : ces grandes entreprises pharmaceutiques ont-elles même essayé de guérir le Covid pour y mettre fin ? Ont-elles seulement essayé ? Est-ce que c'était prévu dans leur programme ? Parce que lorsque cela a commencé, qu'avons-nous tous entendu ? Immédiatement ! immédiatement, nous avons commencé à entendre, ‘oui, mais vous allez toujours devoir porter votre masque, peut-être même deux ou trois’.
‘Tu devras toujours appliquer la distanciation sociale’. ‘Tu ne peux toujours pas t'approcher de qui que ce soit, c'est parce que tu peux toujours le propager, même après avoir été vacciné’ !
Donc, parce que vous pouvez toujours le propager, vous ne protégez personne. Vous ne protégez que vous-même. Parce que c'est censé vous aider à ne pas ressentir les effets de la maladie si vous l'avez.
C'est censé aider à atténuer la maladie. Donc ce n'est pas vraiment un vaccin, mais plutôt un médicament.
Ou vous savez, je veux dire, ça dépend de votre définition, ils ont un peu modifié la définition des vaccins au fil des ans, mais en gros, ils disent que vous pouvez toujours potentiellement transmettre le virus.
Vous n'êtes pas nécessairement en sécurité, et ils disaient ça, et beaucoup de gens se demandaient : "Attendez une minute, qu'est-ce qu'on a fait ? Je pensais qu'on attendait et qu'on se mettait à l'abri parce que vous aviez dit que vous alliez sortir un vaccin et que ce vaccin nous permettrait alors de revenir à la normale ? Mais maintenant vous nous dites que même avec le vaccin, on ne peut pas revenir à la normale. On doit toujours faire toutes ces choses. En fait, nous devons redoubler d'efforts.
Et ensuite, vous découvrez que ces cadres sont assis là à se demander ce qu'ils peuvent faire pour gagner beaucoup d'argent avec ça.

Alors, on se demande s'ils ont au moins essayé de mettre fin à cette situation, d'écraser le virus ? Comme le disait Nancy Pelosi, "nous allons écraser le Covid". Ont-ils au moins essayé d'écraser le Covid ? Ou se sont-ils juste dit, vous savez, aidons un peu et, en passant, déployons-le à un moment où toutes les statistiques montrent qu'il est déjà en régression.

Donc peu importe où, ou combien de vaccins ont été administrés par rapport à la population en pourcentage, tout se passe de la même façon. Vous savez, vous regardez un pays comme Israël, qui a vacciné presque 100% de sa population, et vous regardez un pays comme le Portugal, qui a vacciné environ 10% de sa population.Et regardez leurs courbes, identiques en termes de décès et de propagation.
Et nous voyons cela partout dans le monde. Peu importe les pourcentages, il n'y a pas de corrélation avec un recul de la maladie.
Et donc, nous ne saurons pas, vous savez, nous ne saurons pas, chose intéressante, nous ne saurons pas à quel point ils ont été efficaces.
Je pense qu'ils le sont probablement un peu, je pense qu'il y a une certaine efficacité, c'est sûr, mais nous ne saurons pas dans quelle mesure, vous savez, ils nous donnent en quelque sorte différentes estimations et puis ils les changent. Vous savez, nous assistons en quelque sorte à cette fluctuation constante des estimations.

Et nous ne le saurons pas vraiment SANS qu'ils fassent la seule chose qu'ils ne font pas vraiment, étonnamment…. La seule chose à faire pour tester si ça marche ou pas, est évidente. Et c'est de commencer à piquer tout le monde dans le Sud, dans l'hémisphère Sud. Parce que c'est l'été en ce moment. Beaucoup de gens se sont dit : "Regardez l'Australie, la Nouvelle-Zélande. Ils s'en sortent bien, c'est parce qu'ils sont en été. Et ils sont tous dehors, à profiter du soleil. Mais ils vont bientôt entrer dans la période hivernale et leur hiver est durant notre été. Donc, ils entrent en hiver et quand ils entrent en hiver, c'est là que la propagation commence.
C'est donc logique. L’Afrique du Sud, l’Amérique du Sud, oui, l’Afrique du Sud, l’Amérique du Sud, l’Australie, ces régions, la Nouvelle-Zélande.
Il est logique que si vous voulez tester et être sûr de l'efficacité de ces produits, vous ne vous attaquez pas à une population qui est déjà en phase de régression. Vous vous attaquez à une population qui n'a pas encore connu de vague. Mais vous savez que la vague arrive, alors vous vous occupez d'eux, non ? Oh mais, devinez ce qu'ils font, oh c'est drôle, ils disent qu'on ne peut pas parce que, devinez quoi, il s'avère que ces régions du Sud comme la Nouvelle-Zélande commencent maintenant à, ils disent, oh non, on pourrait avoir le, euh, variant sud-africain. L'Afrique du Sud a évidemment un variant sud-africain...Maintenant, ils disent : "Oh, mais ils ont tous ces autres variants et nos produits ne fonctionnent pas sur eux".
Ils ne vont donc pas dans ces régions pour les vacciner alors qu'ils en auraient besoin en amont de la vague. Alors pourquoi ne le font-ils pas ? Pourquoi ne le font-ils pas ? Et bien, vous savez, je pense que vous pouvez déduire pourquoi ils ne le font pas….
Mais c’est le cas et, on peut se demander pourquoi. Et puis on se retrouve à penser à ces cadres de Pfizer qui sont assis autour d'une table et qui se disent que ça va continuer, continuer, continuer et ils vont se faire alors beaucoup d'argent avec ça.

Ouais ! alors pourquoi quelqu'un leur a fait confiance au départ pour qu'ils soient la clé de cette opération, la clé, la clé qui ouvre les portes pour qu'on puisse s'en sortir ?
Big Pharma, les entreprises qui veulent juste se faire un paquet d'argent et qui ne guériront rien. Qui obtiennent que leur soient attribué des sommes d'argent considérables et c'est juste une autre chose qui est incluse dans le programme. Donc nous ne saurons pas vraiment, vous savez et encore une fois, comme je l'ai dit, je ne suis pas du tout une anti-vax, je ne suis pas quelqu'un qui dit de ne pas prendre ce produit. Je pense que c'est une décision très personnelle et vous faites ce que vous pensez être le mieux pour vous et votre famille, vous savez. Connaître les données, se renseigner sur la recherche, connaître la réalité, et prendre une décision pour vous-même. Et donc, c'est ce que vous faites. Vous savez, c'est ce que vous faites en fin de compte.
Dans ma famille, grand-mère a 94 ans, elle va avoir 94 ans ce mois-ci. Elle a sa deuxième injection aujourd’hui, et dans deux semaines nous serons ravis de pouvoir être ensemble en famille. Parce qu'elle est la plus vulnérable, nous espérons qu'elle sera protégée, au moins c'est mieux que rien et pour nous, elle a 94 ans, ! je veux dire... les effets secondaires à long terme ne sont pas nécessairement quelque chose qui la préoccupe pour le moment, ce sont plus les effets secondaires à court terme.

Donc, vous savez, tout le monde doit penser à ça, mais écoutez, quand ils sont assis ici et disent que vous allez devoir vous faire vacciner encore et encore, que ce sera essentiellement un vaccin comme celui contre la grippe, alors qu'en savez-vous ? alors qu'est-ce que cela signifie exactement ?
Et la moitié des gens, voire plus de la moitié, ne se font pas vacciner contre la grippe, parce qu'ils n'ont pas l'impression que la grippe est particulièrement dangereuse pour eux. Et je pense que pour beaucoup de gens, c'est exactement ce que ce virus a été.
Peut-être que les nouveaux variants signifieront quelque chose de différent pour les différents groupes d'âge, nous ne le savons pas. Cela reste à voir. Tout peut changer, tout peut arriver. Mais je voulais juste partager cela avec vous, que ces grandes entreprises pharmaceutiques font ce qu'elles veulent, et nous avons maintenant plus de preuves de cela, qu'elles font exactement ce qu'elles font pour l'argent et pas pour la santé. Et c'est la réalité.

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