Édité le 30 mai 2021
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FAUSSE PANDÉMIE H1N1
Une tentative échouée de dépeuplement et de Gouvernement Mondial Unique
CHAPITRE UN
Il avait 64 ans. Il naquit à Mexico et il fut considéré comme l’un des plus grands experts du monde sur la civilisation aztèque. Il fut conservateur du Musée national et il fut choisi pour offrir un tour guidé au Président des Etats
Unis nouvellement élu, Barack Obama, lors de sa première visite d’Etat au Mexique le vendredi 16 avril 2009.
Ses mains esquissèrent des gestes d’une manière vivante; ses chaussures martelèrent le parquet ciré. Entouré par des fonctionnaires, il accompagna Obama ainsi que Felipe Calderon, le Président du Mexique, jusque dans la chambre 7, le Hall du Mexique ou “Sala Mexica”, où le plus célèbre de tous les trésors aztèques est gardé.
La “Pierre du Soleil”, éclairée par quelques lampes douces, émergea de l’obscurité. Pesant 25 tonnes et faisant 12 pieds de diamètre, la pierre finement sculptée en basalte, montée très haut sur une dalle monolithique, illustre des aspects de la cosmologie aztèque.
En pointant vers le haut, l’archéologue Felipe Solis expliqua le concept aztèque du temps comme un médium qui permet aux choses de croître de façon organique, pour évoluer et se développer dans toute leur étendue, semblable à la façon dont une fleur ou un arbre nécessite une certaine période de temps pour croître, en plusieurs étapes consécutives, à partir d’une graine avant d’atteindre la maturité. Plus important encore, il discuta également de la signification que l’on pourrait donner au 21 décembre 2012, lorsque la terre se positionnera dans un alignement rare avec le centre galactique.
Serait-ce le début d’une ère nouvelle ?
Peu de temps après, il ressentit une vive douleur dans sa gorge et la poitrine. Il pensa que c’était juste la grippe ordinaire, et continua à travailler sur son projet en cours.
Il préparait une exposition qui serait lancée le mois suivant, en mai, appelée : “Teotihuacan, Cité des Dieux”. Il voulait transmettre toute son admiration pour ce que les Aztèques avaient accompli, et démontrer la pleine gloire de leur Empire, détruit par les envahisseurs espagnols, en une présentation unique et novatrice avec de nombreuses informations de fond sur la dimension idéologique et politique des sites cérémoniaux où des sacrifices rituels avaient eu lieu, car l’empire aztèque avait un côté brutal ; un grand nombre d’êtres humains étaient sacrifiés pour apaiser les dieux.
Le lendemain matin, il se leva et dit à sa famille qu’il avait du mal à respirer. Il avait les poumons en feu. Son état se dégrada rapidement. Ce même jour, le samedi, il alla à l’hôpital. Il fut admis directement dans une unité de soins intensifs. Ses médecins diagnostiquèrent une pneumonie virale, aggravée par le diabète. Il tomba dans le coma, eut un léger mieux, mais de nouveau perdit connaissance.
Le jeudi 23 avril, à 7 h, Felipe Solis mourut. La cause clinique annoncée fut une crise cardiaque, selon un rapport publié dans “El Notre” sous le titre: “Sert Obama et meurt au bout de 7 jours” ; “Atiende a Obama y muere a los 7 días. ”
A ce moment là, le Mexique était déjà en état d’alerte élevée dû à une épidémie de grippe porcine qui coïncida avec la visite d’Obama. A l’extérieur de l’hôpital où Solis se trouvait en soins intensifs, les soldats distribuèrent des masques dans les rues au fur et à mesure que l’hystérie s’empara de la capitale sud-américaine. Le même jour où Solis mourut, la cité de Mexico fut placée en quarantaine pendant cinq jours. Pendant cinq jours, 20 millions de personnes furent obligées de rester à la maison, ce qui a transformé la deuxième ville du monde en une ville fantôme. Commerces, écoles et universités ont été fermées; des manifestations ont été interdites. Des soldats portant des armes patrouillaient dans les rues.
Ces mesures draconiennes furent mises en œuvre alors que l’Organisation
Mondial de la Santé (OMS), chien de garde quant à la santé mondiale des Nations Unies, n’avait confirmé que 9 morts de la grippe porcine au Mexique à ce moment là.
Bien que la première victime de la grippe porcine, une préposée au recensement nommée Maria Adela Gutierrez, décéda le 13 avril, comme cela fut rapporté plus tard, c’était la nouvelle de la mort de Felipe Solis qui fut d’abord télégraphiée dans le monde entier à travers les médias.
Le samedi 25 avril, “Bloomberg” signala que Solis était décédé le jour même après avoir rencontré Obama, peut-être de la grippe porcine, en associant dès le début l’origine et la trajectoire de la pandémie avec la personne et les mouvements du président des Etats-Unis.
“Obama fut reçu au Musée d’Anthropologie du Mexique à Mexico par Felipe Solis, archéologue de renom, qui mourut le jour suivant de symptômes similaires à la grippe,” signala le journal “Reforma”. “Le journal ne confirma pas si Solis avait la grippe porcine ou non”, écrit Thomas Black de “Bloomberg”.
En fait, sans la présence de la presse internationale qui accompagna Obama lors de sa visite au Mexique, les nouvelles de la grippe porcine n’auraient pas atteint un aussi large public aussi rapidement.
La rapidité avec laquelle la grippe porcine éclata aux yeux du monde est soulignée par le fait qu’il n’était nulle part sur l’écran radar des médias lorsque Obama et Calderon tinrent une conférence de presse conjointe le 16 avril.
En quelques jours, toutefois, la grippe porcine explosa sur la scène médiatique mondiale en tant que pandémie à part entière, dominant les écrans de télévision par câble, les titres des journaux et les sites d’informations sur Internet. Les grands médias présentèrent la grippe porcine comme une menace à une échelle différente de toutes les autres maladies, comme un nouveau virus tueur qui était devenu un danger pour le monde entier dans un laps de temps très court, et depuis ce jour les médias grand public ont joué un rôle clé, en formant la perception et l’attitude des gens envers le virus de la grippe porcine.
Un garçon de cinq ans à La Gloria, un village reculé de 3000 personnes dans les collines de la Sierra Madre, où de nombreux agriculteurs utilisent encore des charrettes tirées par des chevaux, a été contrôlé positif au virus de la grippe porcine ou au A/H1N1 virus, selon une déclaration du gouvernement, lorsqu’un échantillon fut envoyé à des laboratoires aux États-Unis et au Canada. Le gouvernement de Calderon déclara que Edgar Hernández, qui récupéra rapidement, avait eu la maladie plus tôt ce mois-là et qu’il était probablement à l’origine de la flambée de la grippe porcine.
Mais tandis que le test d’Edgar Hernandez s’avéra positif à la grippe porcine, il fut le seul villageois à l’avoir attrapé à La Gloria.
En outre, et ce n’est pas clair, comment un seul petit garçon vivant dans un village éloigné où les déplacements à pied, à vélo et à cheval sont encore les principaux moyens de transport, aurait-il pu propager la grippe porcine à tant de personnes dans un laps de temps aussi court pour que l’ensemble du Mexique - et même le monde entier – soit potentiellement menacée dans quelques jours ? La mère du garçon, Maria del Carmen Hernández, ajouta au mystère.
“ Je ne sais pas d’où est venu le virus, et je ne pense pas que quelqu’un d’autre le sache non plus”, dit-elle, selon un reportage du journal “Financial Times” le 12 mai 2009.
Il fut rapporté que le virus avait pour origine une ferme d’élevage de porcs qui se trouvait à proximité. Mais des responsables qui inspectèrent les porcs de l’usine appartenant à la société Granjas Carroll de Mexico, dont 50 pour cent est détenu par la compagnie américaine Smithfield, constatèrent qu’aucun des animaux n’avait été infecté par le virus de la grippe porcine.
Pourtant, selon le récit de l’OMS et des grands médias, le virus de la grippe porcine provenant de cet élevage de porcs infecta un petit garçon et se propagea depuis un village reculé du Mexique jusqu’aux Etats-Unis, ainsi qu’en Europe et vers le reste du monde en l’espace de quelques jours. Le mercredi 29 avril 2009, l’OMS signala des cas de grippe porcine dans 9 pays.
Le premier décès de la grippe porcine aux Etats-Unis fut également signalé le 29 avril : un enfant âgé de 23 mois au Texas fut diagnostiqué comme ayant succombé à la grippe porcine par le Dr Richard Besser, directeur par intérim du centre de contrôle et de prévention des maladies (“Center for Disease Control and Prevention” ou “CDC”), le partenaire américain de l’OMS.
À cette date, les cas confirmés de grippe porcine aux États-Unis avait déjà été rapportés au nombre de 66 dans 6 Etats, avec 45 cas de grippe porcine à New York, 11 en Californie, six au Texas, deux dans le Kansas et un dans l’Indiana et l’Ohio. Le commissaire à la santé de New York déclara que des centaines d’écoliers étaient souffrants à l’école et confirma que certains étudiants avaient la grippe porcine.
La frénésie de la presse atteignit son paroxysme : des victimes de la pandémie furent mentionnées aux nouvelles du soir à travers le monde.
“La mort vole à travers l’air”, (“Der Tod fliegt durch die Luft”) fut un titre type dans le journal allemand “Die Süddeutsche Zeitung” du 27 avril.
Environ 6 semaines plus tard, le 11 juin, l’OMS signala des cas dans 74 pays, et le 1er juillet des infections furent confirmées par l’OMS dans 120 pays.
Quelle que soit la rapidité de la propagation de la grippe porcine, elle tua toutefois peu de personnes.
Le 7 juillet, seulement 429 personnes étaient mortes de la grippe porcine, selon les chiffres propres à l’OMS. Cela représente une fraction des 36.000 personnes qui meurent chaque année de la grippe saisonnière, rien qu’aux EtatsUnis, d’après les estimations du CDC.
Il ne serait pas exagéré de dire que la pandémie de grippe porcine est purement un événement médiatique, dans la mesure où il y a eu peu de décès réels par rapport à d’autres maladies. En dépit de cela, les réseaux ont saturé les ondes avec des séquences vidéo, des rapports et des images qui suggèrent que la population du monde est en danger imminent à cause du virus de la grippe porcine.
Des séquences vidéo de personnes portant des masques et qui attendent dans les couloirs de l’hôpital des thérapies médicales rares, ou d’enfants sur des respirateurs ont donné un degré de support visuel à l’affirmation que le monde est en proie à la pandémie dangereuse de la grippe porcine qui n’a absolument aucun fondement dans les faits.
Mais à partir de l’émergence de la pandémie de la grippe porcine, à la fin du mois d’avril, les médias façonnèrent et cadrèrent un récit à leur goût, présentant l’histoire d’un virus facilement transmissible, qui faisait rage à travers le Mexique, en tuant des masses de personnes, ce qui est hors de toute réalité. La simple quantité de clips vidéo et d’images de victimes présumées de pandémie, d’élevages de porcs et de soldats avec des masques, contribua effectivement à cacher le fait objectif que la grippe porcine est bénigne et qu’elle a tué très peu de gens, même d’après les propres chiffres de l’OMS.
Toutefois, le véritable objectif de la couverture médiatique n’a pas été de donner des informations factuelles sur la nature du virus de la grippe porcine. L’objectif de la couverture a été de susciter la crainte dans le public, pour le conduire à courir acheter le vaccin contre la grippe porcine.
Car, dès le moment même où le virus de la grippe porcine jaillit sur la scène médiatique mondiale comme un scélérat, le vaccin contre la grippe porcine fit son apparition comme un héros et un sauveur dans ce drame mondial. Et ceci, en dépit du fait vérifiable et objectif que le vaccin pandémique contre la grippe porcine n’a pas été suffisamment testé et contient du mercure ainsi qu’un adjuvant, le squalène, connu pour causer des maladies auto-immunes.
L’OMS donna immédiatement des instructions pour que le CDC et les sociétés pharmaceutiques commencent à se préparer à développer un vaccin contre la grippe porcine.
Les actions des sociétés Baxter, Novartis, GlaxoSmithKline, Sanofi et CSL, les cinq principaux fabricants de vaccins, grimpèrent car on s’attendait à ce qu’ils gagnent des milliards grâce aux commandes de vaccins pandémiques.
Des projets avaient été mis en place en 2005 afin de vacciner des milliards de personnes dans le cas d’une urgence pandémique. La plupart des gouvernements du monde entier, y compris tous les gouvernements de l’Europe ainsi que les gouvernements des USA, du Canada et de l’Australie, avait scellé des contrats avec des sociétés pharmaceutiques qui devaient fournir des vaccins contre la pandémie de grippe aviaire en 2005. Ces contrats pour des vaccins contre la pandémie commencèrent à être activés en avril 2009.
Le gouvernement des États-Unis scella des contrats avec Novartis, Sanofi Pasteur, GlaxoSmithKline, CSL et MedImmune pour produire le vaccin contre la grippe porcine. La France achèta 94 millions de vaccinations individuelles de Baxter, Sanofi, GlaxoSmithKline, et Novartis pour un coût de 869 millions d’euros, et le Canada plaça une commande pour 50,4 millions de doses de GlaxoSmithKline pour un coût de 400 millions de dollars, pour ne citer que deux exemples.
Sans perdre de temps, l’OMS ordonna le 24 avril que son bureau de contrôle pandémique (“Pandemic Control Room”), conçu pour suivre la propagation d’une pandémie à travers le monde et donc équipé de superordinateurs liés aux forces de sécurité des États membres de l’ONU, soit pourvu 24 heures par jour, sept jours par semaine pour la première fois, comme un prélude à la déclaration d’une pandémie d’urgence de niveau 6, le plus haut niveau d’alerte sur la planète, niveau qui déclenche la mise en œuvre des plans existants de vaccination en masse par les gouvernements du monde entier.
De sombres prédictions d’une pandémie de grippe aviaire qui pourrait provoquer la mort de millions de personnes dans le monde ainsi que l’effondrement des infrastructures économiques et sociales ont été émises ces dernières années, et amplifiées par la couverture des médias grand public, en dépit du fait qu’il n’existe pas de base scientifique pour ces prédictions.
En fait, le monde frôla de près une pandémie de grippe aviaire en février 2009, seulement 10 semaines environ avant l’épidémie de grippe porcine pandémique au Mexique. Une pandémie de grippe aviaire fut presque déclenchée lorsque la compagnie pharmaceutique Baxter --- dont le siège social est près de Chicago à Deerfield (Illinois), où Obama a son siège au Sénat --- contamina 72 kilos de matière vaccinale de grippe saisonnière avec le virus vivant de la grippe aviaire dans ses équipements à Orth an der Donau, puis procéda à la distribution de ce matériel par le biais d’une société appelée “Avir Green Hills Biotechnology” à Vienne vers 16 laboratoires en Autriche, Slovénie, République Tchèque et en Allemagne.
Un laboratoire de référence de l’OMS fournit le virus de la grippe aviaire que Baxter utilisa pour contaminer la matière vaccinale, selon un porte-parole de Baxter cité dans les médias.
La raison pour laquelle Baxter avait le virus de la grippe aviaire dans ses installations en premier lieu n’est pas claire. Le virus de la grippe aviaire est considéré comme l’un des virus les plus mortels connus de l’humanité, avec un taux de 60% de mortalité. Il fut génétiquement modifié dans des laboratoires d’armes américaines à partir du virus de la grippe espagnole, selon un rapport d’octobre 2005 dans “Der Spiegel”.
Le laboratoire Baxter lui-même dit que la contamination des 72 kilos de matériel vaccinal fut un accident. Toutefois, la société ne voulut pas se prononcer sur la séquence d’actions effectuées à l’intérieur de ses installations qui pourraient avoir entraîné la contamination accidentelle d’une aussi grande quantité de matériel vaccinal ni expliquer comment tant de matériaux contaminés pourraient avoir quitté ses installations sans être détectés.
Comme Baxter est obligé d’utiliser le niveau 3 des règlements de sécurité biologique lors de l’expérimentation sur le virus de la grippe aviaire, une contamination accidentelle peut, en effet, être pratiquement exclue. Les normes de protection d’un virus classé parmi les armes biologiques les plus dangereuses au monde sont très différentes de celles pour les travaux sur des matériaux inoffensifs dans un laboratoire standard. Ils incluent l’obligation de travailler dans un environnement de laboratoire scellé accessible seulement en utilisant uniquement des codes électroniques, des portes doubles, des sas et aussi la nécessité pour le personnel de porter des vêtements de protection spéciale et des masques.
La contamination du matériel vaccinal fut découverte seulement après qu’un technicien du laboratoire tchèque de BioTest ait injecté le matériau à les furets, qui devinrent malades et durent être détruits. Biotest sonna l’alarme et les mesures d’urgence de contrôle de pandémie commencèrent à être mises en œuvre le vendredi 6 février 2009.
En conséquence, 35 membres du personnel de laboratoire d’Avir en Autriche
et de BioTest en République Tchèque, qui étaient entrés en contact avec les matériaux contaminés, durent être traités de façon préventive contre la grippe aviaire à l’hôpital, ce qui souligna le danger que ce matériel - destiné à être utilisé dans des vaccins - posa aux personnes exposées, même dans un environnement de laboratoire.
Le “Times of India” rapporta que Baxter avait presque déclenché une pandémie mondiale de grippe aviaire.
“Le mélange des virus par le laboratoire aurait pu entraîner une pandémie” fut un titre du 6 mars 2009.
Cet incident en Autriche en février 2009 suggère fortement l’idée que les sociétés pharmaceutiques travaillent activement pour tenter de déclencher les mêmes pandémies dont ils tireront bénéfice, étant donné qu’ils ont scellé des contrats lucratifs à l’avance pour fournir des vaccins pandémiques.
Bien que la police autrichienne ait ouvert une enquête après que j’aie déposé une plainte au bureau du Procureur d’État de Vienne le 8 avril, l’enquête fut abandonnée en septembre 2009, peu avant que Baxter ait demandé l’autorisation finale de mise sur le marché à l’échelle européenne pour son vaccin contre la grippe porcine, CELVAPAN.
Les raisons à la base de la décision d’abandonner l’enquête ne sont pas claires.
Baxter eux-mêmes ont dit que la contamination du matériel vaccin a été un accident. Toutefois, la société n’a pas expliqué exactement quelle séquence d’actions a été effectuée à l’intérieur de son laboratoire de biosécurité qui aurait pu aboutir à une telle contamination accidentelle de 72 kilos de matière vaccinale contre la grippe saisonnière.
Panasonic et d’autres sociétés comme IBM ont fait leurs propres plans internes au sein de l’entreprise pour faire face à une urgence pandémique, indiquant qu’ils peuvent avoir une certaine connaissance d’initié.
Il y a également des indices que le virus de la grippe porcine fut génétiquement modifié dans des laboratoires. Le virologue australien, Adrian Gibbs publia une étude dans le “Virology Journal” en novembre 2009 qui démontra que le virus de la grippe porcine fut vraisemblablement le produit de trois souches provenant de trois continents qui échangèrent des gènes dans un laboratoire ou une usine de fabrication de vaccins.
Un vaccin contre le virus H1N1 de la grippe porcine fut breveté en 2007 par Baxter - et pourtant le virus fut présenté comme étant tout à fait nouveau par l’OMS. C’était la nouveauté de ce virus qui fut censée être la raison pour laquelle les personnes n’avaient pas d’immunité, et donc la justification de la campagne de vaccination en masse en premier lieu.
Il y eut aussi une épidémie de grippe porcine en 1976, qui aboutit à une campagne de vaccination en masse aux Etats-Unis qui dut être abandonnée parce que plus de personnes moururent du vaccin que de la grippe bénigne.
Néanmoins, en 1994, Laurie Garrett, membre distinguée et responsable de la santé mondiale (Senior Fellow for Global Health) au Conseil sur les Relations Etrangères (Council on Foreign Relations - CFR) publia un livre intitulé “La Peste Future” (“The Coming Plague”), en laissant entendre qu’une pandémie mortelle fut inévitable, sans avancer aucune base scientifique pour justifier une telle affirmation. Garrett fut également parmi les premiers à préconiser la mise en place d’un système global de réponse pandémique axée sur l’OMS.
En juin 1996, l’Armée de l’Air des Etats Unis publia une étude intitulée “Air Force 2025”, en décrivant l’émergence d’une pandémie de grippe mortelle en 2009 comme un éventuel “scénario d’avenir” dans un contexte de conflit.
En 2003, Garrett intensifia la rhétorique, avec l’avertissement “la catastrophe peut surgir” (“doom may loom”) avec “l’émergence d’un virus capable d’infecter 40 pour cent de la population humaine dans le monde et de tuer un nombre inimaginable”.
“Les ravages qu’une telle maladie pourrait provoquer sont communément comparés à la dévastation de la grippe espagnole de 1918-19, qui tua 50 millions de personnes dans 18 mois. Mais la grippe aviaire est beaucoup plus dangereuse.. ...l’humanité pourrait bien être confrontée à une pandémie qui ne ressemble à aucune autre que l’on ait jamais vu”, Garrett a écrit dans un rapport de 2003 intitulée “La prochaine pandémie” (“The Next Pandemic”) pour une publication du Conseil sur les Relations Etrangères (CFR).
En 2005, le coordonnateur des Nations Unies pour la grippe aviaire, David Nabarro, indiqua qu’une pandémie de grippe pourrait tuer entre 5-150 millions de personnes, et qu’une catastrophe pandémique pourrait survenir à tout moment, sans fournir aucune preuve scientifique pour une telle prédiction.
La Banque Mondiale (World Bank) a estimé en 2008 qu’une pandémie
de grippe pourrait tuer 71 millions de personnes dans le monde et plonger l’économie mondiale dans une récession “mondiale majeure”, qui coûterait plus de 3 billions de dollars.
Des gouvernements contribuèrent à fomenter la peur d’une pandémie.
Michael Chertoff, le secrétaire de la Sécurité Intérieure des Etats Unis jusqu’en janvier 2009, prédit dans un essai publié dans n° 51 du trimestriel “Joint Force Quarterly” en 2008, qu’une “grave pandémie de grippe pourrait affecter la vie de millions d’Américains, en provoquant un nombre important de maladies et de décès, et perturber sensiblement notre stabilité économique et sociale”.
En 2005, l’OMS avait étendu les réglementations existantes pour le traitement des maladies infectieuses - le Règlement Sanitaire International (International Health Regulations) - afin de créer un concept stratégique unique et fédérateur dans la manière de gérer les conséquences d’une pandémie à l’échelle mondiale impliquant la synchronisation des mesures prises par tous les gouvernements et les compagnies pharmaceutiques à celles de l’OMS dès que l’OMS aurait recensé une pandémie.
Le 7 juillet, le groupe d’experts en vaccination de l’OMS (“Strategic Advisory Group of Experts on Immunisation” ou “SAGE”) tint une réunion à Genève et recommanda la mise en œuvre d’un programme mondial de vaccination avec de nouveaux vaccins pandémiques en grande partie non testés qui seraient, cependant, admis sur le marché dans le cas d’une urgence pandémique.
Quelques jours plus tard, le 11 juillet, le Directeur Général de l’OMS, Dr Margaret Chan, approuva les recommandations du SAGE, en lançant la plus importante campagne mondiale de vaccination en masse de tous les temps, en utilisant ces nouveaux vaccins à administrer en deux doses, et formulés avec des adjuvants “huile-dans-l’eau”, ainsi qu’avec du thiomersal contenant du mercure.
Les professionnels de santé, les pompiers et la police, suivis par les bébés, les enfants et les femmes enceintes furent désignés comme les groupes à vacciner en priorité lorsque la campagne de vaccination contre la grippe porcine démarra à l’automne 2009, même s’il n’existe aucune donnée clinique sur les conséquences des nouveaux vaccins contre la pandémie sur la santé des femmes enceintes et des enfants.
En vertu des règlements d’urgence spéciaux en période de pandémie, les fabricants de vaccins ne doivent cependant pas fournir des données cliniques démontrant que leurs vaccins sont sûrs ou efficaces. Le processus d’essai rapide autorisé en vertu d’une urgence pandémique réduisit certains des essais cliniques à aussi peu que 5 jours. En outre, ces essais courts et rares furent limités essentiellement à des adultes en bonne santé.
Le gouvernement français dévoila des plans pour mettre en place 1100 centres de vaccin spéciaux à travers le pays pour effectuer la plus grande campagne de vaccination dans toute son histoire. Le CDC aux Etats-Unis annonça que 90.000 points de vente de vaccins contre la grippe porcine serait mis en place à travers les USA. Des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni s’apprêtèrent à appliquer des plans d’utilisation des stades de football pour la campagne de vaccination.
Mais en janvier 2010, l’ambitieuse campagne de vaccination en masse lancée par l’OMS fut réduite “en lambeaux”. Le gouvernement français avait pour objectif de faire vacciner 100% de sa population avant fin janvier 2010. Mais le gouvernement fut contraint d’abandonner son programme au début de janvier en raison du refus de la grande majorité des gens à recevoir les vaccins et des protestations croissantes au cours de la campagne.
A l’encontre des attentes de l’OMS et des gouvernements nationaux, seule une petite proportion de la population en Amérique du Nord et en Europe reçut le vaccin contre la grippe porcine, en laissant les gouvernements assis sur des stocks excédentaires gigantesques.
En outre, des enquêtes avaient commencé afin de déterminer si l’OMS avait communiqué un contenu objectivement faux sur le danger de pandémie de la grippe porcine et également sur la sécurité des vaccins contre la grippe porcine.
C’est un fait vérifiable et documenté que l’OMS, les gouvernements nationaux et les principaux médias exagérèrent de manière cohérente et systématique les dangers du virus de la grippe porcine et la menace d’une mutation létale. C’est un fait vérifiable et sans ambiguïté que le vaccin contre la pandémie de grippe porcine, d’autre part, fut présenté comme sûr, testé et efficace, même si il y avait des données cliniques insuffisantes pour appuyer ces affirmations. C’est un fait que des fausses déclarations furent énoncées sur l’utilité du vaccin pour les enfants et les femmes enceintes, et qui n’étaient absolument pas fondées sur des résultats d’essais cliniques.
Aux USA, ce sont les médias alternatifs et les stations de radio qui permirent à des faits concernant le vaccin contre la grippe porcine de se propager rapidement. Des personnes comme le Dr Rebecca Carley, le Dr Robin Falkov, le Dr Joseph Mercola, Dr Ghislaine Lanctôt et Mike Adams aidèrent à diffuser l’information sur les dangers du vaccin que les grands médias avaient supprimée. Des émissions de radio comme le Projet Camelot, Rumor Mill News et Coast to Coast jouèrent un grand rôle en avertissant la population des risques du nouveau vaccin ainsi que sur les lois autorisant la vaccination forcée et la quarantaine.
En Europe, où les médias alternatifs sont moins développés et où il y a beaucoup moins de stations de radio indépendantes, les informations circulèrent au moyen de rapports sur les blogs tels que “Alles Schall und Rauch” en Suisse.
En France, l’information sur le vaccin galvanisa Internet. Christian
Cotten, militant français, déclara qu’il n’avait jamais vu autant d’activité sur Internet dans toute sa vie comme pendant les sept mois précédents où les gens discutaient des avantages à recevoir le vaccin contre la grippe porcine sur Internet. Raymond Haugustine en Belgique, Vicky Chrysou en Grèce, Claire
Knox en Ecosse, Joanna Karpasea-Jones en Angleterre, Jagoda Savic en Bosnie,
Marek Podlecki en Pologne, Jean-Jacques Crèvecœur au Canada, Dr Marc Girard, Dr Marc Vercoutere et Danka Derifaj furent parmi les personnes qui consacrèrent du temps et de l’énergie à mettre les informations en circulation.
En Espagne, la vidéo d’une religieuse, Teresa Forcades, aida à répandre le mot en même temps que les traductions de Claudia Calvo. Penny Bright, Jon Eisen, l’éditeur de “Uncensored” et le cinéaste Brian Dodd aidèrent à diffuser le mot en Nouvelle-Zélande.
Ce sont principalement des citoyens individuels qui se servirent d’Internet qui permirent aux informations non filtrées concernant le vaccin contre la grippe porcine de circuler en Europe. Des faits concernant le vaccin contre la grippe porcine qui avaient été occultés par l’OMS, les gouvernements et les compagnies pharmaceutiques furent diffusés par courrier électronique, par des clips sur “YouTube” et “Facebook” et sur les sites d’information indépendants. Les blogueurs gardèrent pour l’information du public des questions telles que le danger du médicament antiviral “Tamiflu” ainsi que du squalène, l’adjuvant, alors que cette information fut constamment occultée par les médias dominants.
La nouvelle que des centaines de personnes, notamment des infirmières
en Suède - le premier pays en Europe à mettre en œuvre le programme de vaccination en masse contre la grippe porcine - étaient devenues gravement malades ou même étaient morts peu après avoir reçu le vaccin GlaxoSmithKline Pandemrix en octobre, fut diffusée rapidement.
De même quant à la nouvelle que l’armée allemande avait refusé le vaccin CELVAPAN de Baxter en septembre après que ses médecins avaient émis une recommandation contre l’obligation pour Baxter de laisser tomber le squalène dans le but de trouver un marché.
Ce qui était crucial, c’est que le Ministre de la Santé polonais, Ewa Kopacz, médecin de famille, refusa d’acheter les vaccins contre la grippe porcine à la fin d’octobre parce que les vaccins n’avaient pas été suffisamment testés, une nouvelle qui se propagea rapidement aussi à travers le monde grâce à Internet.
Les faits objectifs concernant les dangers potentiels du vaccin contre la grippe porcine furent également présentés par des sections des grands médias, comme France 24 par exemple, qui donna une plate-forme à Dr Marc Girard, ce qui contribua à l’érosion du soutien à la vaccination de la grippe porcine.
À la fin de janvier 2010, seulement environ 30 millions de personnes en Europe, dont 218.000 femmes enceintes, sont vaccinées contre la grippe porcine en dépit de la campagne sans précédent d’alarmisme par l’OMS, les gouvernements et les médias sur la menace de la grippe porcine. Selon une estimation du CDC, 61 millions d’Américains furent vaccinés contre la grippe porcine ou environ 20% de la population américaine. Aux Etats-Unis aussi, l’écrasante majorité des personnes rejeta les vaccins.
Dans un discours au Conseil Exécutif de l’OMS le 18 janvier, le Directeur Général, le Dr Margaret Chan a déclaré que l’organisation n’avait pas prévu que les gens refusent de recevoir le vaccin contre la grippe porcine. Elle attribua ce refus à la croissance des technologies nouvelles de la communication et de l’information, qui avaient en effet permis aux gens d’accéder aux informations, aux documents et aux faits concernant le vaccin contre la grippe porcine qui avaient été occultés par l’OMS et les sociétés pharmaceutiques ainsi que par les principaux médias.
Internet a aussi prouvé être un outil puissant et même révolutionnaire, en obtenant le soutien des enquêtes critiques sur “l’arnaque” de la grippe porcine
Le 26 janvier, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (PACE) tint
une audience publique en urgence pour déterminer si l’OMS avait exagéré le danger de la pandémie de la grippe porcine en vue de forcer les gouvernements à acheter des vaccins et ainsi enrichir les compagnies pharmaceutiques.
Ancien membre du SPD (Parti Social-Démocrate) du “Bundestag” (Assemblée parlementaire) allemand et président du comité de santé à PACE, le Dr. Wolfgang Wodarg, qui est épidémiologiste et spécialiste du poumon, présenta la résolution d’une enquête sur ce qu’il appela un des “plus grands scandales médicaux du siècle”.
Le texte de la motion de Wodarg constata : “Afin de promouvoir leurs médicaments et vaccins brevetés contre la grippe, les compagnies pharmaceutiques ont influencé les scientifiques et les organismes officiels chargés des normes de santé publique afin d’alarmer les gouvernements dans le monde entier et leur faire gaspiller les ressources de leur budget de santé déjà serré sur les stratégies de vaccination inefficaces et elles ont exposé inutilement des millions de personnes en bonne santé au risque d’une quantité inconnue d’effets secondaires des vaccins insuffisamment testés. La campagne contre la grippe aviaire de 2005-2006 combinée avec la campagne contre la grippe porcine de 2009-2010 semblent avoir causé beaucoup de dégâts non seulement pour certains patients vaccinés et pour les budgets de la santé publique, mais aussi pour la crédibilité et la responsabilité des agences de la santé internationale importantes. ”
Le conseiller spécial de l’OMS sur la grippe pandémique, le Dr Keiji Fukuda, accompagné d’un représentant de fabricants européens de vaccins, cadre supérieur de Sanofi, le Dr Luc Hessel, se trouvèrent en butte aux critiques sévères lors de l’audience publique, mais nièrent les accusations de battage publicitaire autour de la grippe porcine pour se faire de l’argent.
“Le monde traverse une pandémie réelle. La description de celle-ci comme une fausse pandémie est erronée et irresponsable. Nous accueillons tout processus d’examen légitime qui peut améliorer notre travail”, déclara M.
Fukuda après l’audience.
Mais beaucoup d’experts de l’OMS qui avaient prétendu être indépendants se révélèrent avoir des liens financiers aux mêmes entreprises pharmaceutiques qui profitèrent le plus de leurs recommandations.
Le journaliste danois, Louise Voller, signala des membres du groupe
SAGE ayant des liens financiers avec des sociétés pharmaceutiques. Il s’agit notamment du Professeur Juhani Eskola, directeur du programme finlandais de recherche sur les vaccins (THL) dont l’institut reçut près de 6,3 millions d’euros de GSK (GlaxoSmithKline) pour la recherche sur les vaccins en 2009, selon des documents acquis grâce à la loi danoise de la liberté de l’information (“Freedom of Information Act”), ce qui indique que GSK est la principale source de financement de l’institut.
C’est sur la recommandation de l’institut national de santé finlandais, “THL” (Terveyden ja hyvinvoinnin laitos), et de SAGE que le gouvernement finlandais acheta des millions de doses du vaccin Pandemrix de GSK.
Eskola ne révéla pas son conflit d’intérêts, comme ce fut le cas avec d’autres spécialistes des vaccins de l’OMS. Le Dr Neil Ferguson reçut un financement de Baxter, GlaxoSmithKline et Roche ainsi que des compagnies d’assurance qu’il conseilla sur les pandémies, mais ce fut révélé par l’OMS seulement après que le journal danois ait fait connaître les faits. Le Dr. Friedrich Hayden, consultant pour MedImmune et Sanofi Pasteur, reçut également de l’argent de la part de Roche, RW Johnson et SmithKline Beecham. Ces intérêts ne furent pas déclarés sur le site Internet de l’OMS.
D’autres experts de l’OMS ont des liens avec les fabricants de vaccins, dont le professeur Malik Peiris de l’Université de Hong Kong, qui a reçu de l’argent de Baxter, de GSK et de Sanofi Pasteur. Le Dr Peter Figueroa, professeur à l’Université des Indes occidentales, a reçu de l’argent de Merck. Le Dr Arnold Monto est conseiller auprès de Chiron, GlaxoSmithKline, MedImmune, Roche, Novartis, Baxter et Sanofi Pasteur. Le Dr Albert Osterhaus, chef des scientifiques européens dans la lutte contre la grippe (“European Scientists
Fighting Influenza”), est financé par Baxter, Crucell, Novartis, Hoffmann-La
Roche, MedImmune, Nobilon, Sanofi Pasteur MSD, Glaxo SmithKline et Solvay.
En outre, des dizaines de directeurs appartenant à des sociétés pharmaceutiques assistèrent à la réunion de SAGE du 7 juillet qui recommanda une campagne de vaccination mondiale avec des vaccins contre la pandémie, mais avec le statut officiel d’“observateurs”. On ne sait pas quel rôle ces cadres pharmaceutiques appartenant à des entreprises comme Novartis et Baxter jouèrent dans la création de la décision par SAGE de recommander les vaccins car l’OMS refusa de publier les minutes, en affirmant qu’aucun compte rendu ne fut rédigé.
Ce manque de transparence a suscité des inquiétudes, à savoir que les compagnies pharmaceutiques ont joué un rôle clé dans les coulisses de l’OMS, également de manière à obtenir la modification des critères de pandémie, ce qui était cruciale, pour permettre la déclaration d’une pandémie d’urgence de niveau 6 vis-à-vis d’une grippe porcine bénigne.
En fait, pour être tout à fait en mesure de déclarer un état d’urgence pandémique, l’OMS dut modifier les critères. L’OMS changea sa définition d’une pandémie sur son site Internet à la fin de mai 2009, en abandonnant la nécessité qu’“un nombre considérable de personnes ait contracté la maladie ou la mort” pour qu’une pandémie soit déclarée. Au lieu de cela, un virus qui se propagea dans deux zones de l’OMS fut jugé suffisant.
Le changement dans les critères permit une déclaration de pandémie de niveau 6 qui fut finalement réalisée par l’OMS le 11 juin sur la recommandation d’un comité d’urgence dont l’OMS refusa de divulguer les noms afin qu’aucune évaluation de leurs liens avec des entreprises pharmaceutiques ou de leurs conflits d’intérêts ne soit possible.
L’OMS se défendit en disant qu’elle n’avait pas changé les critères de pandémie, mais était tout simplement revenu à la définition d’origine, qui était plus souple.
Par définition, une pandémie est, cependant, un événement ponctuel et qualitativement différent d’une infection de grippe de type saisonnière.
Définir une pandémie de grippe en incluant chaque type de grippe, même un type aussi bénin que la grippe porcine, consiste à déformer le sens même du mot “pandémie” au-delà de la reconnaissance.
La nouvelle définition de pandémie de l’OMS est si floue qu’elle pourrait s’appliquer à n’importe quelle grippe, ce qui compromet totalement la raison d’être d’un système de gestion des urgences de pandémie mondiale.
Fukuda affirma à l’audience publique du Conseil de l’Europe que la définition de pandémie de l’OMS fut le résultat des travaux de 135 experts. Si tel est le cas, l’OMS doit être tenu pour responsable de l’embauche, et de l’écoute, de ces experts qui sont aussi incompétents.
“Des conseils rationnels, scientifiques et indépendants devraient être la priorité suprême, mais il y avait un impératif derrière ceci qui était financier”, déclara Paul Flynn, député britannique, à l’audience du Conseil de l’Europe.
Le 10 juillet, ajoutant à l’impression que l’OMS manipulait des données pour justifier la déclaration d’une pandémie, l’organisation cessa d’enregistrer les cas d’infection de la grippe porcine et dit aux gouvernements qu’ils devraient cesser les essais pour vérifier si les gens avaient la grippe porcine.
Alors qu’il n’y avait aucune preuve que le virus de la grippe allait muter en un virus mortel, l’OMS maintint qu’il s’agissait d’un scénario probable.
Un virus mortel est seulement susceptible d’émerger, en réalité, si un scientifique ayant des liens étroits avec l’OMS, le professeur Bruno Lina, réussit à mélanger la grippe porcine avec le virus de la grippe aviaire dans un laboratoire à Lyon, comme le signala la revue scientifique Nature.
Les préoccupations au sujet de l’influence que les organisations pharmaceutiques ont sur l’OMS sont renforcés par le fait que 81% du budget de l’organisation pour 2008-2009 proviennent de contributions volontaires, selon une estimation du budget sur le site Internet du CFR (Conseil sur les Relations Etrangères). Les Etats membres de l’OMS ont donné juste 958 millions de dollars alors que trois fois plus - 3,2 milliards de dollars - proviennent de dons volontaires du secteur privé, des gouvernements nationaux, des ONG et des fondations privées, telle que la Fondation Rockefeller.
Parce que l’OMS n’a pas répondu à mes demandes pour l’accès à ses comptes annuels budgétaires au moment où j’écris, il n’est pas possible de voir quelles sociétés pharmaceutiques contribuent à l’OMS en utilisant quels canaux. Les associations de l’industrie pharmaceutique sont classées comme des ONG dans le budget de l’OMS.
Du financement à lui seul, il peut être vu que derrière l’OMS se tiennent de puissantes entreprises pharmaceutiques, et, finalement, des banques, et ces entités sont également les principaux bénéficiaires de toute déclaration d’urgence contre une pandémie de grippe porcine ainsi que de toute campagne de vaccination en masse.
L’audition publique de Fukuda et Hessel au Conseil de l’Europe ne fut qu’une des nombreuses enquêtes qui furent lancées afin de déterminer si l’OMS avait exagéré la menace du virus de la grippe porcine afin d’enrichir les compagnies pharmaceutiques. En France, une enquête parlementaire sur la gestion gouvernementale de la campagne de vaccination contre la grippe porcine fut annoncée en janvier.
En 2009, le parlement néerlandais enquêta sur les conflits d’intérêts de l’expert auprès de l’OMS et conseiller auprès du gouvernement néerlandais, Albert Osterhaus. Osterhaus fut également président du groupe européen de travail scientifique sur la grippe (“European Scientific Working group on Influenza” - “ESWI”), qui est entièrement financé par Baxter, Novartis, GlaxoSmithKline, MedImmune, Roche et d’autres compagnies pharmaceutiques qui font des milliards d’une déclaration d’urgence pandémique.
Beaucoup de scientifiques agissant à titre de conseillers auprès de gouvernements nationaux se sont révélés avoir des liens avec les fabricants de vaccins. Le conseiller contre la grippe porcine auprès du gouvernement britannique et membre du groupe SAGE, Sir Roy Anderson, siège au conseil d’administration de GSK, par exemple.
L’Agence Européenne des Médicaments, le régulateur des vaccins de l’UE, est de deux tiers financée par des entreprises pharmaceutiques.
Aussi graves que soient les allégations que les compagnies pharmaceutiques cherchèrent à tirer parti d’une fausse pandémie, il existe des preuves solides pour appuyer l’idée que la campagne de vaccination en masse fut une tentative de causer des dégâts et la mort à des millions de personnes.
Si les vaccins contre la grippe porcine avaient seulement été conçus dans un but lucratif ou dans le cadre d’une arnaque de brevets, les compagnies pharmaceutiques auraient pu insérer quelque substance inoffensive comme de l’eau sucrée.
Mais les vaccins contre la grippe porcine contiennent du mercure, connu pour causer des dommages neurologiques et l’autisme chez les enfants. En outre, ils contiennent des adjuvants, dont le squalène. Il existe un important corpus de preuves scientifiques qui montrent que le squalène contribua au syndrome de la Guerre du Golfe parmi les anciens combattants américains et britanniques.
Ces deux vaccins sont classés comme des médicaments stockés pour la biodéfense (biodefense stockpile drugs) par l’Union Européenne et les régulateurs des États-Unis en fonction de bases de données Biopharma. Ils sont, par conséquent, des armes biologiques. Cette classification par les régulateurs du gouvernement est la raison pour laquelle les vaccins contre la grippe porcine de GSK et de Novartis furent stockés dans des casernes militaires dans des pays comme la France et la Suisse avant d’être distribués aux centres de vaccin.
Un employé de l’ONU basé en Suisse fut convoqué à une base militaire pour recevoir son vaccin contre la grippe porcine.
Ces vaccins ne peuvent pas être administrés aux personnes dans des circonstances ordinaires, parce que les essais cliniques prouvant qu’ils sont sûrs n’ont pas été réalisés.
Cependant, dès que l’OMS apporte une déclaration de pandémie niveau 6, de nouvelles normes pour les vaccins et les médicaments anti-viraux entrent en vigueur.
Des médicaments antiviraux tels que le Tamiflu, qui est associé à des effets secondaires graves, furent autorisés à être utilisés des mois après leur date d’expiration.
Selon les procédures spéciales d’approbation d’urgence de pandémie, les vaccins contre la pandémie n’ont pas à être prouvés pour être sûrs ou efficaces avant qu’ils ne soient administrés à la population.
Les fabricants de vaccins sont seulement tenus à effectuer une étude pour vérifier si les vaccins ont des effets secondaires graves après que les vaccins ont été administrés.
GSK mène actuellement une étude sur le vaccin contre la grippe porcine “PANDREMIX” au Royaume-Uni.
Les gouvernements ne sont obligés de procéder à aucune étude pour déterminer si les vaccins ont des effets secondaires indésirables.
La Ministre de la Santé polonaise et médecin de famille, Ewa Kopacz, rejeta les vaccins contre la grippe porcine pour la Pologne, justement parce qu’ils ne furent pas adéquatement testés.
Les vaccins contre la grippe porcine de GSK et de Novartis contiennent tous les deux du squalène, ce qui peut conduire à une maladie auto-immune. En outre, le “CELVAPAN” de Baxter fut fabriqué en utilisant les reins malades des singes verts africains, la culture de cellule qui donna au monde le SIDA.
“FOCETRIA”, le vaccin contre la grippe porcine de Novartis, contient le MF59, un adjuvant contenant du squalène et du polysorbate 80, deux ingrédients qui ont été liées à des maladies.
Le Pandemrix de GSK contient le squalène fASO3 ainsi que le polysorbate 80.
Ces armes biologiques / vaccins ambigus purent être accordées aux populations civiles seulement parce qu’une déclaration d’urgence pandémique par l’OMS déclenche de nouvelles normes pour l’approbation du vaccin dans l’UE. L’inocuité et l’efficacité des vaccins n’ont plus besoin d’être prouvées en vertu des directives de l’Agence européenne des médicaments (“European Medicines Evaluation Agency” ou “EMEA”) sous le prétexte de l’urgence de la gestion d’une pandémie mortelle.
Il est vrai que le squalène est une molécule d’huile qui se trouve naturellement dans le corps humain, mais administré par voie intraveineuse, il incite le système immunitaire à détruire tout le squalène naturel dans le corps, y compris du squalène qui avait été injecté dans la circulation sanguine.
Le Dr Joseph Mercola explique:
“On a démontré que des adjuvants de vaccination à base d’huile comme le squalène produisent des réponses immunitaires concentrées sans relâche sur de longues périodes de temps. ”
Une étude de 2000 publiée dans le “American Journal of Pathology” a démontré qu’une injection unique de l’adjuvant squalène administrée à des rats déclenchait “une inflammation chronique à médiation immunitaire et spécifique aux articulations, également connue comme la polyarthrite rhumatoïde”.
Votre système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule d’huile originaire de votre corps. Elle se retrouve partout dans votre système nerveux et votre cerveau. En fait, vous pouvez consommer le squalène dans l’huile d’olive et non seulement votre système immunitaire le reconnaîtra, mais vous pourrez également profiter des avantages de ses propriétés antioxydantes.
La différence entre le “bon” et le “mauvais” squalène est la voie par laquelle il entre dans votre corps. L’injection est une voie d’entrée anormale qui incite le système immunitaire à attaquer tout le squalène de votre corps, et pas seulement l’adjuvant du vaccin.
Votre système immunitaire va tenter de détruire la molécule partout où il la trouve, y compris dans des endroits où elle se produit naturellement, et où elle est vitale pour la santé de votre système nerveux.
Des vétérans de la guerre du Golfe atteints du syndrome de la Guerre du Golfe (“Gulf War Syndrome” ou “GWS”) ont reçu des vaccins contre l’anthrax contenant du squalène. Le MF59 (l’adjuvant squalène de Novartis) était un ingrédient non autorisé dans les vaccins expérimentaux contre l’anthrax et il a été lié depuis à des maladies auto-immunes dévastatrices subies par les anciens combattants innombrables de la Guerre du Golfe.
Le Ministère de la Défense a tout fait pour nier que le squalène était en effet un contaminant ajouté dans le vaccin contre l’anthrax administré au personnel militaire - déployé et non déployé - de la Guerre du Golfe persique ainsi qu’aux participants du programme plus récent de vaccination contre l’anthrax (“Anthrax Vaccine Immunization Program” - AVIP).
Toutefois, l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (“Food and Drug Administration” ou FDA) a découvert la présence de squalène dans certains lots des produits du AVIP. Un test a été élaboré pour détecter les anticorps anti-squalène chez les patients GWS, et un lien clair a été établi entre le produit contaminé et tous les malades du GWS qui avaient été vaccinés avec un vaccin contenant du squalène.
Une étude menée à la Tulane Medical School et publiée dans le numéro de février 2000 de “Experimental Molecular Pathology” inclut ces étonnantes statistiques:
“ ... la grande majorité (95%) des patients déployés qui souffraient de la maladie GWS déclarée avaient des anticorps au squalène. Tous (100%) les patients GWS vaccinés pour le service de Bouclier du désert/Desert Storm qui ne se sont pas déployés, mais qui présentaient les mêmes signes et les symptômes que ceux qui se sont déployés, présentaient des anticorps au squalène.
En revanche, aucun (0%) des Vétérans du Golfe Persique déployés qui ne présentaient pas les signes et les symptômes de GWS avaient des anticorps au squalène. Ni les patients présentant une maladie auto-immune idiopathique, ni les témoins sains présentaient des anticorps sériques au squalène détectables. La majorité des patients GWS symptomatiques avaient des anticorps sériques au squalène. ”
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D., ancienne chercheuse principale pour le gouvernement de l’Australie:
«... cet adjuvant [squalène] a contribué à la cascade de réactions
appelée “syndrome de la Guerre du Golfe”, chez les soldats concernés par la Guerre du Golfe.
Les symptômes qu’ils ont développé incluent l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadénopathie, des éruptions cutanées, des éruptions cutanées photosensibles, des éruptions malaires (érythèmes papillon), la fatigue chronique, des maux de tête chroniques, la perte anormale de cheveux du corps, la non guérison des lésions cutanées, les aphtes, les étourdissements, la faiblesse, la perte de mémoire, les convulsions, les changements d’humeur, des problèmes neuro-psychiatriques, les effets antithyroïde, l’anémie, élévation de la VS (vitesse de sédimentation ou ESR), lupus érythémateux disséminé, la sclérose en plaques, la SLA (sclérose latérale amyotrophique), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjörgen, les diarrhées chroniques, les sueurs nocturnes et des fébricules (fièvres légères). ”
Une étude sur 39.000 Allemands qui reçurent un vaccin FLUAD avec du squalène en 2000 ne contribua guère à clarifier les conséquences à long terme du squalène parce qu’aucune étude de suivi ne fut effectuée pour savoir si les sujets développèrent des maladies auto-immunes sur une période de temps plus longue.
“Il faut souvent des années pour diagnostiquer des maladies auto-immunes comme ceux observés dans le syndrome de la Guerre du Golfe à cause de l’imprécision des premiers symptômes. Les plaintes comme des maux de tête, la fatigue et des douleurs chroniques sont les symptômes de nombreuses maladies et pathologies différentes”, note le Dr Mercola.
Le Dr Jürgen Seefeldt calcula que 850.000 personnes seraient décédées du vaccin contre la grippe porcine en 15 ans si le gouvernement allemand l’avait donné aux 50 millions de personnes, comme prévu. Il basa ses estimations sur le nombre de jeunes soldats américains en bonne santé qui moururent du cancer et des maladies auto-immunes 15 ans après avoir reçu des vaccins contre l’anthrax contenant du squalène pendant la Guerre du Golfe.
En 1991, un total de 696.841 soldats américains reçurent des vaccins contre la fièvre charbonneuse (anthrax) contenant du squalène et du mercure. Dès 2005, 11.620 de ces soldats étaient morts, de maladies auto-immunes et du cancer pour beaucoup.
256.000 soldats demandèrent à être indemnisés et 196.000 d’entre eux reçurent des dommages et intérêts. Seules 29.000 demandes furent rejetées, 31000 sont encore à l’étude.
D’après l’échelle de ces chiffres, on peut estimer qu’environ 20 millions d’Allemands auraient souffert d’effets secondaires graves à la suite de la piqûre.
Seefeldt l’appela “le crime le plus grand depuis l’Holocauste” et a réclama la démission du ministre de la Santé ainsi que de la Chancelière allemande Angela Merkel.
Cependant, ses calculs du nombre de personnes ayant subi un dommage par les vaccins contre la grippe porcine, pourraient être sous-estimés.
Des concentrations beaucoup plus élevées de squalène sont présentes dans les vaccins contre la grippe porcine que dans les vaccins contre l’anthrax, et elles pourraient être proportionnellement plus nocives.
Gary Jacobucci écrivit:
“La moyenne des quantités de squalène injecté sur les soldats américains à l’étranger et à la maison dans le vaccin contre l’anthrax durant et après la Guerre du Golfe était de 34,2 microgrammes par milliard de microgrammes d’eau. Selon une étude, ce fut la cause du syndrome de la Guerre du Golfe dans 25% des 697.000 militaires américains à la maison et à l’étranger. Vous pouvez trouver ce tableau des analyses de la FDA à partir des lots de la guerre du Golfe sur le site Internet : “The Military Vaccine Resource Directory”
a.. AVA 020 - 11 ppb squalène (parts par milliard)
b.. AVA 030 - 10 ppb squalène
c.. AVA 038 - 27 ppb squalène
d.. AVA 043 - 40 ppb squalène
e.. AVA 047 - 83 ppb squalène”

Ces valeurs furent confirmées par le Professeur R. F Garry devant la
Chambre des Représentants des Etats-Unis (House of Representatives). Le Prof
Garry fut l’homme qui découvrit les liens entre le syndrome de la guerre du Golfe et le squalène.
Selon ses conclusions, le syndrome de la Guerre du Golfe fut causé par le squalène, dont l’utilisation fut interdite au Pentagone par un Juge de la Cour Fédérale en 2004.
“Comme on le voit à la page 6 du présent document de l’EMEA, le vaccin
Pandremix contient 10,68 mg de squalène par 0,5 ml. Cela correspond à 2.136.0000. microgrammes par milliard de microgrammes d’eau, soit un million de fois plus de squalène par dose que dans le vaccin contre l’anthrax. Il y a toute raison de croire que cela va rendre les gens malades à un degré bien supérieur à celui de 1990/91. Cela me semble très meurtrier. ”
En outre, le vaccin Pandemrix contient des particules qui sont nanifiées en taille, mais les données sur la sécurité des nano vaccins sont rares.
Cependant, en août, une étude publiée dans le “European Respiratory Journal” démontra que sept jeunes femmes chinoises subirent des dommages permanents aux poumons et deux décédèrent après avoir travaillé pendant des mois sans une protection adéquate dans une usine de peinture qui utilisait des nano particules.
“Ces cas suscitent l’inquiétude, à savoir que l’exposition à long terme aux nanoparticules sans mesures de protection peut être liée à des dommages graves aux poumons de l’homme,” déclara Yuguo Song, du service des maladies professionnelles et de toxicologie clinique à l’hôpital Chaoyang de Pékin, à Reuters.
Mais le squalène n’est pas le seul ingrédient toxique.
“Le mercure, qui représente 49,6% du thiomersal, est une substance extrêmement toxique qui cause le cancer,” explique le Dr Seefeldt
“Le mercure est l’élément non- radioactif le plus toxique sur la Terre et il est toxique même en petite quantité.”
Le vaccin Pandemrix contient 5 microgrammes de thiomersal. Deux doses - deux doses ont été initialement prévues – auraient eu pour résultat que les gens auraient reçu 10 microgrammes de thiomersal.
Le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) contenant du thimérosal est censé avoir contribué à l’énorme augmentation de l’autisme chez les enfants aux Etats-Unis.
Malgré le fait qu’il n’y avait pas de données cliniques sur la manière dont ces nouveaux vaccins contre la grippe porcine contenant du mercure et du squalène affecteraient la santé des jeunes enfants et des femmes enceintes, ces groupes furent désignés comme prioritaires par l’OMS.
Des assurances furent données quant à la sécurité du vaccin en référence à l’approbation réglementaire de l’Agence Européenne des Médicaments et d’autres autorités - mais non pas en référence à des données cliniques, car il n’y a pas de données cliniques.
En fait, les quelques études cliniques, réalisées par les sociétés pharmaceutiques sur les conséquences sanitaires du vaccin contre la grippe porcine sur les femmes enceintes et les enfants, commencèrent en même temps que la réelle campagne effective de vaccination contre la grippe porcine et ces études ne sont pas concluables avant un an, au plus tard, à l’automne 2010.
La campagne massive de vaccination contre la grippe porcine est, en effet, une gigantesque expérience biologique, même si de telles expériences sont interdites par la loi.
En outre, les résultats de cette expérience ne seront jamais entièrement connus, car il n’y a pas de véritable système de pharmacovigilance en place.
Angelika Kögel-Schauz de “pour l’Information des Parents sur les Vaccins” (“für Eltern Impfaufklärungv) a décrit la manipulation de données sur les effets secondaires des vaccins par l’Institut Paul Ehrlich comme une apparente violation de la loi.
En outre, les autorités ne font aucun effort pour rechercher combien de personnes vaccinées avec le vaccin de la grippe porcine ont contracté la grippe porcine à partir de la vaccination elle-même, comme cela se produisit sur un cas en Israël. Il existe des preuves que la grippe espagnole de 1918 fut causée par la vaccination en masse des soldats.
De plus, la déclaration d’une pandémie d’urgence d’un niveau 6 a permis aux gouvernements d’accorder l’immunité globale contre toute poursuite aux sociétés pharmaceutiques pour le cas où leurs vaccins causeraient des dommages ou la mort.
Compte tenu des nombreuses autres façons sûres, testées et peu coûteuses de protéger les gens contre une infection par le virus - masques, argent colloïdal, vitamines - la décision de mettre en œuvre une campagne de vaccination en masse à l’aide de ces vaccins non testés et toxiques est d’autant plus incompréhensible si l’OMS met réellement la santé des gens en priorité.
Etant donné les dégâts que le vaccin contre la grippe porcine peut entraîner, le Règlement Sanitaire International de 2005, signé par 193 Etats, permettant la vaccination forcée et la quarantaine dans le cas d’une pandémie est particulièrement inquiétant.
Des lois autorisant la vaccination forcée et les quarantaines furent incorporées dans les plans de pandémie de chaque gouvernement national en 2005, et ces plans commencèrent à être activés à partir de avril 2009.
Un document fut divulgué en août révélant des plans par le Ministre français de la Santé, Roselyne Bachelot, visant à vacciner 100% de la population française avant la fin de janvier 2010. Les documents continrent des instructions pour l’établissement de centres de vaccin spéciaux : il y était prévu d’intégrer des éléments de sécurité dans certains de ces centres et les médecins de famille seraient expressément exclus de la campagne de vaccination contre la grippe porcine.
Plus tôt dans l’année, Bachelot avait demandé à un groupe d’experts juridiques si ce serait violer la loi que de rendre la vaccination obligatoire, et on lui avait répondu que forcer le peuple à recevoir un vaccin contre la pandémie serait conforme à la loi.
Certes, comme l’“Humanité” l’a fait remarquer dans un rapport en janvier, un plan aussi ambitieux que celui de Bachelot pour vacciner tout le monde en France ne pouvait pas s’attendre à ce que les gens reçoivent le vaccin de leur plein gré, vu qu’ils sont généralement peu enclins à se faire vacciner. Et la décision de mettre sur pied des centres de vaccination spéciaux contre la grippe porcine, en intégrant des structures sécurisés, indique que le gouvernement français envisageait en effet d’utiliser la force lorsqu’un nombre suffisant de personnes harcelées par une campagne de peur auraient déjà reçu le vaccin de leur soi-disant “plein gré”, car une vaccination forcée de 100% de la population est impossible au point de vue logistique.
Les infirmières et les médecins furent contraints par des lois de “réquisition” de travailler dans les centres de vaccination, souvent dans des conditions d’hygiène insalubres, et sans salaire.
En décembre, Bachelot annonça que le gouvernement envisageait de faire passer le pays au plus haut niveau pandémique interne, ce qui aurait permis la mise en œuvre de la loi martiale à grande échelle.
Un document divulgué à Libération en septembre montra que le gouvernement prévoyait de recourir à la pandémie de grippe porcine à des fins de répression des libertés civiles. Le plan envisageait d’étendre la période où des suspects pourraient être maintenus en détention, sans inculpation et sans audience devant un juge, jusqu’à un maximum de six mois, ainsi que la tenue de procès secrets et de procès contre des enfants dans des tribunaux pour adultes.
Le 23 octobre, Obama déclara que la grippe porcine était une urgence nationale en mettant les États-Unis au bord de la loi martiale, alors qu’il y avait à ce moment-là seulement environ 1000 décès attribuables à la grippe porcine.
Le président George Bush avait fait passer la Directive Présidentielle 51 de la Sécurité Nationale (“National Security Presidential Directive-51”) et des Directives Présidentielles de Sécurité Intérieure (“Homeland Security Presidential Directives”), en permettant l’utilisation d’une urgence catastrophique pour la santé telle qu’une pandémie comme prétexte pour déclarer la loi martiale.
Aux Etats-Unis, les dispositions relatives à la vaccination forcée avaient été incorporées dans les lois fédérales et étatiques.
Le Massachusetts est l’exemple d’un État qui avait adopté des lois particulièrement draconiennes pour l’éventualité d’une pandémie, permettant à la police de pénétrer de force dans les maisons pour vacciner les gens.
Une note d’information parlementaire du Royaume-Uni de novembre soutint que les vaccinations forcées seraient possibles dans le Royaume-Uni dans le cas d’une pandémie.
À la suite de la déclaration d’une urgence pandémique de niveau 6, des comités de crise spéciaux et secrets furent créés dans les pays du monde entier. Ces derniers opèrent sous l’autorité de l’OMS. Cela confère à l’OMS des pouvoirs sans précédent sur les gouvernements nationaux, leurs services de santé et l’armée, et également le pouvoir de les utiliser pour mettre en œuvre une campagne de vaccination en masse qui pourrait causer la mort et des blessures à des millions.
Tous ces faits pris ensemble sont la preuve que l’OMS, les gouvernements nationaux et les entreprises pharmaceutiques ont agi de concert pour instituer une crise pandémique artificielle afin de mettre en œuvre un programme de vaccination en masse avec un vaccin toxique dans le but de porter atteinte et de tuer de manière délibérée un grand nombre de personnes.
En parallèle, l’OMS a pris le contrôle des principales fonctions des gouvernements du monde entier dans ce qui est en fait un coup d’État mondial, en formant l’embryon d’un nouveau gouvernement mondial. Tout récemment, bon nombre des chefs de gouvernement qui ont appuyé le programme de vaccination contre la grippe porcine, comme la Chancelière allemande Angela Merkel et le Président français Nicolas Sarkozy, ainsi que le Premier Ministre britannique Gordon Brown, ont parlé ouvertement sur les médias au sujet d’un “nouvel ordre mondial”, et la nécessité d’un nouveau gouvernement mondial.
La mise en place d’un gouvernement mondial ne peut avoir lieu que si les États souverains nationaux sont dissous et un tel plan pourrait inclure le décès d’un nombre important de personnes, qui résisterait à la transition vers un gouvernement mondial unique de style totalitaire si c’était ce qui était proposé. La destruction de la vie et de la santé de millions de personnes pourrait être accomplie par un programme de vaccination en masse avec un vaccin toxique.
Certes, l’idée que nos gouvernements pourraient projeter activement de causer la mort et des dommages et de plonger leurs propres États dans le chaos est difficile à saisir.
Il est vrai que peu de gens en Europe ou en Amérique du Nord estiment aujourd’hui que les gouvernements représentent leurs intérêts. La corruption est devenue trop évidente. Cela est particulièrement le cas aux USA et au Royaume-Uni. Les scandales entourant la manipulation par le gouvernement de l’information pour justifier l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan, y compris les événements du 11 septembre 2001, ont érodé la confiance.
Néanmoins, la plupart des gens sont encore persuadés que leur gouvernement adhère à la règle fondamentale du droit et qu’il est régi par des institutions démocratiques qui peuvent être tenus responsables dev

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