Le vaccin
Je viens partager avec vous les raisons pour lesquelles il faut se méfier de ces "vaccins" à ARN messager.
Pour ceux qui auraient du mal à lire les sources, je vous conseille d'installer l'extension Google Traduction pour traduire vos pages en un clic.
I - Dernières infos
D'après cette étude publiée le 13/09/21, l'incidence de la myocardite après injection serait de 0,1% (1 cas sur 1.000) et non 0,001% (1 cas sur 100.000 d'après Pfizer). L'âge médian est de 33 ans et les plus touchés sont des hommes auparavant en bonne santé. La FDA et l'Agence de la santé publique du Canada ont décidé d'ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna) soulignant le risque d'inflammation du muscle cardiaque. Il est précisé qu'il est possible que les chiffres qu'ils citent soient une sous-estimation de l'incidence pour le groupe d'âge 18-30 ans.
Voici une vidéo d'analyse de chiffres du ministère israélien, datant du 13/09/21 :
- On remarque une surmortalité chez toutes les tranches d'âge au moment des injections. Par exemple, les plus âgés ont reçu massivement des injections en janvier, on y voit donc un pic de mortalité. Chez les plus jeunes, la surmortalité se présente à partir de février, date de début des injections pour eux. (8:55)
- Sur ce graphique, la mortalité chez les 20-29 ans est totalement exceptionnelle, seule la Guerre de Gaza en 2014 présente une mortalité aussi élevée. (12:07)
- Il y a un plus grand nombre d'appels aux urgences, largement supérieur aux années précédentes pour des arrêts cardiaques. (12:54)
- Les cas positifs concernent beaucoup moins ceux qui ont reçu deux injections puisqu'ils ne sont pas obligés de faire de tests pour accéder aux lieux publics. On ne peut donc pas mesurer l'efficacité à partir de ces données. (18:42)
Dans cette étude publiée le 07/09/21, des scientifiques japonais confirment grâce aux comparaisons des protéines Spike que le variant Mu, déjà présent dans plus de 39 pays, est le plus résistant aux anticorps neutralisants induits par le "vaccin". Il est donc encore plus résistant que le variant bêta, considéré comme le plus résistant. Ils ont donc démontré une inefficacité des "vaccins" contre cette protéine S.
Grâce à cette étude publiée le 30/08/21, on a pu établir le taux d'effets indésirables cardiaques chez les adolescents de 12 à 17 ans avec des vaccins à ARNm. Seuls les adolescents ayant des signes de lésion cardiaque sont comptés sachant qu'il est possible d'être asymptomatique, ce qui peut ultérieurement causer une insuffisance cardiaque, connue pour être irréversible. Chez les jeunes garçons de 12 à 15 ans, le risque d'avoir des maladies cardiovasculaires est 3,7 à 6,1 fois plus élevé que le risque d'hospitalisation covid-19. Des recherches supplémentaires sur les séquelles à long terme sont donc justifiées.
Dans cet article du National Institutes of Health publié le 30/08/21, on apprend que certaines femmes ont signalé des menstruations irrégulières ou manquantes, des saignements plus abondants que d'habitude et d'autres changements menstruels après avoir reçu les vaccins COVID-19, le NIH a donc décidé de financer des études pour évaluer les effets potentiels de la vaccination contre le COVID-19 sur la menstruation.
Dans cette étude chinoise publiée le 25/08/2021, on nous explique qu'il y a un risque de résurgence du virus malgré le programme de vaccination de masse en Chine, dont la couverture vaccinale d'au moins une dose atteint 95,87%. Ils l'expliquent par la diminution de l'immunité ainsi que des preuves de l'existence de l'ADE, un phénomène qui fait que les anticorps précédemment induits par le vaccin pourraient aider les variants à infecter vos cellules. De plus, les variants sont de plus en plus transmissibles, on ne peut pas donc pas totalement dépendre du vaccin.
D'après cette étude publiée le 19/08/2021, le taux d'anticorps chez les vaccinés diminue de 40% chaque mois contre moins de 5% chez les convalescents (précédemment infectés). Les niveaux d'anticorps initiaux sont plus élevés chez les vaccinés mais diminuent de manière exponentielle. Nous remarquons donc que le risque d'être inférieur au seuil de séroposivité est 67% plus important six mois après deux injections que 9 mois après infection.
Le 18/08/2021, Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection :
- L'Islande a plus de cas que jamais alors qu'elle a vaccinée plus de 90% de la population. (01:14)
- La mortalité est beaucoup plus faible quand on traite les gens, quel que soit l'âge. (11:17)
- Les charges virales sont plus importantes chez les personnes vaccinées.(18:42)
- Moins de décès et d'hospitalisations avec le variant delta. (19:42)
- Nous n'avons pas de données qui démontrent que le vaccin diminue la gravité à cause de la petitesse de nos échantillons. (21:28)
Voici la vidéo.
Une étude publiée le 14/08/21 nous montre que la dose de rappel provoque une perte relative de réactivité avec le variant alpha (B.1.1.7). On remarque aussi que c'est le cas chez les individus précédemment infectés puis vaccinés. Cette perte de reconnaissance des variants commence dès 15 jours après les premières doses et s'aggrave avec le temps. Les résultats suggèrent qu'une troisième dose ne permettra probablement pas d'augmenter l'immunité face aux variants.
Dans ce document datant du 11/08/21, l'Agence européenne du médicament annoncent trois nouveaux effets secondaires possibles suite à une injection Pfizer/Moderna : L’érythème polymorphe, la glomérulonéphrite, le syndrome néphrotique.
Un problème de sécurité facilitant l'infection par des anticorps (ADE) est un risque potentiel pour la vaccination massive, cela signifie que les anticorps du vaccin peuvent faire entrer le virus dans les cellules, le vaccin fait alors le contraire de ce qui était prévu. L'ADE a été confirmé chez des personnes recevant des vaccins basés sur la souche Wuhan puis exposée au variant Delta. Avec l'arrivée de nouveaux variants, le vaccin peut permettre une virulence et une infectiosité accrues.
Voici l'article du 09/08/21 : https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00392-3/fulltext
Malgré une troisième injection, 14 israéliens sont positifs au covid, deux d'entre eux sont hospitalisés le 09/08/21, voici l'article.
Le directeur de l'hôpital Herzog à Jérusalem, le Dr Kobi Haviv, sur Channel 13 affirme le 05/08/21 que 95% des formes graves concernent les doublements vaccinés, voici la vidéo.
La Suisse reconnaît le 03/08/21 que les vaccinés transmettent autant que les non vaccinés, les vaccinés doivent alors se faire tester et être soumis aux mêmes restrictions (masques, isolements...) que les non vaccinés, voici la vidéo (de 6:40 à 7:15).
Selon cette étude sur le variant Delta le 30/07/21 par le CDC, alors que 63,9% sont complètement vaccinés au Massachusetts, on constate que durant le mois de juillet :
- 74% des cas sont survenus chez des personnes complètement vaccinées (346 sur 469).
- 80% des personnes hospitalisées sont complètement vaccinés (4 sur 5).
Les valeurs du Ct PCR montrent que les échantillons de 127 patients complètement vaccinés sont similaires à celles des 84 patients n'étant pas vaccinés, donc la charge virale est à peu près la même, or le risque de transmission du virus est directement lié à la charge virale. Les résultats suggèrent qu'un vacciné contamine autant qu'un non vacciné. Donc quel que soit le status vaccinal, des mesures de prévention seront appliqués, il n'y aura donc aucun avantage pour les personnes entièrement vaccinées.
Le calcul de l'efficacité du vaccin pose problème, pour Pfizer on nous indiquait 95% comme chiffre pour qu'il paraisse impressionnant alors qu'en réalité, ce chiffre devait être 0,87%. Ils ont utilisé la réduction relative du risque (RRR) au lieu d'utiliser la réduction absolue du risque (ARR), c'est-à-dire la différence entre les taux d'attaques avec et sans vaccin. Selon une étude du Weill Cornell Medicine au Qatar, l'efficacité de l'infection naturelle contre la réinfection a été estimée à 95%. L'étude a montré qu'il n'y avait aucune diminution de l'immunité protectrice contre la réinfection sur une période de plus de 7 mois. On remarque bien que l'immunité naturelle est bien meilleure et reste constante contrairement au vaccin dont :
- D'après Pfizer (voir page 7), l'efficacité diminue de 6% tous les deux mois, on passe de 95% à 83,7%.
- D'après Israël, l'efficacité passe de 95% à 39%, on constate une différence de 25 points de pourcentage en seulement deux semaines, ce qui contredit l'étude de Pfizer.
On peut donc en déduire que ce chiffre qui était à 0,87% est encore plus faible.
Voici l'étude : https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(21)00141-3/fulltext
Voici comment interpréter l'efficacité (RRR/ARR) : https://www.thelancet.com/journals/lanmic/article/PIIS2666-5247(21)00069-0/fulltext
Le directeur de l'hôpital Herzog à Jérusalem, le Dr Kobi Haviv, affime le 27/07/21 que la majorité de ses partients ont plus de 70 ans, plus de 90% d'entre eux sont vaccinés alors que la couverture vaccinale en Israël n'est que de 58,9%. Il explique donc qu'il faut déjà une troisième dose car ce vaccin est déjà inefficace face au variant, voici article.
II - Destruction du système immunitaire inné
Le Dr Geert Vanden Bossche, créateur de vaccin mondialement reconnu a envoyé des lettres aux professionnels concernés (WHO, NIH, CDC, Bill & Melinda Gates Foundation, GAVI, CEPI, FDA, EMEA, Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca, J&J, Novavax, GSK) pour leur dire qu'il faut stopper le programme de vaccination immédiatement.
Il est certainement l'un des plus talentueux, voici une toute partie de son parcours :
- Directeur de projet des vaccins contre la grippe chez Solvay
- Agent principal de programmes de santé mondiale et de découverte de vaccins chez Bill & Melinda Gates Foundation
Pour en savoir plus, voici son LinkedIn.
Voici ce qu'il explique :
Les anticorps spécifiques à longue durée de vie (du vaccin) concurrencent nos anticorps à faibles spécificité (naturels). Ces anticorps naturels vous fournissent une large protection, qui n'est pas spécifique aux variants, c'est à dire qu'ils vous protégeront de tous les variants. Cependant, les anticorps du vaccin ne vous protègent pas de tous les variants, il suffit donc que le virus soit assez différent pour qu'ils en deviennent inefficace. Il s'avère que les anticorps du vaccin sont dominants, ils reviennent à chaque fois que vous attrapez un coronavirus et vous ne pourrez donc jamais supprimer cette sorte de programme installée en vous lors de votre vaccination. Les conséquences sont graves, imaginez-vous, lorsque nos anticorps naturels voudront intervenir pour éliminer un variant, c'est nos anticorps induits par le vaccin qui vont intervenir pour dégager nos anticorps naturels, ils laisseront alors passer le virus car ils sont inefficaces contre les variants. Pour conclure, chaque personne se faisant vacciner détruit son système immunitaire inné, ce qui donne lieu à un problème mondial qui rend ce virus de plus en plus infectieux.
Voici la vidéo d'explication :
https://odysee.com/@Covidbel:5/Geert:7
III - Liste des effets secondaires
Les effets secondaires du vaccin en octobre 2020 ont été partagés par le U.S Food And Drug Administration pendant une fraction de seconde, ils ne voulaient surtout pas montrer ça durant la présentation. On se rend compte que c'est exactement ce qui est observé aujourd'hui, ils savaient donc ce que ce vaccin pouvait probablement causer et pourtant personne n'avait été prévenu avant l'injection, sans oublier les médias qui n'en ont même pas parlé. On peut voir sur le document : narcolepsie, thrombocytopénie, thromboembolie veineuse, arthrite et arthralgie, des morts, syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique, syndrome de Guillain-Barré, myocardite, convulsions, problème de grossesse, de naissance, etc.
Vérifiable sur Youtube, voici la vidéo (mettre au ralenti à 2:33:39).
IV - Que devient votre sang ?
Dans une seule dose de vaccin, il y a 14 milliards de molécules d'ARN messager injectés dans le bras, or seulement 25% restent dans le bras. Ils circulent alors dans votre sang pour ensuite être absorbés dans vos cellules entourant vos minuscules vaisseaux sanguins, les paquets s'ouvrent alors et le corps se met à lire l'ARNm. Il va alors se mettre à fabriquer des milliards de protéines Spike car dans une seule dose il y a 100 microgrammes d'ARNm codant pour cette protéine. Le but est que cette protéine soit reconnue comme étrangère et que votre corps fabrique des anticorps pour vous protéger contre le covid. Mais il y a un problème, cette protéine se trouve sur la paroi du virus (capsule virale), elle fait alors désormais partie de votre paroi cellulaire. Ces cellules censées être lisses pour que votre sang circule sans problème ont alors des petits bouts hérissés qui dépassent (d'où le nom spike). Les plaquettes sanguines détectent les vaisseaux comme étant endommagé et doivent alors bloquer le vaisseau sanguin pour stopper le saignement. Il est alors inévitable que des caillots de sang se forment pour bloquer ces vaisseaux. De plus, ces protéines sont pleines de substances cancérigènes, il est donc prévisible qu'elles causent des cancers.
Le Dr Charles Hoffe en parle (de 0:00 à 3:02) :
https://odysee.com/@FlowerPower:b/Avertissement-Du-Dr-Charles-Hoffe:e
Le Dr Robert Malone, l'inventeur de la technologie à ARN messager dans les années 90 lorsqu'il était au Salk Institute vous met en garde contre cette protéine cytotoxique. Des chercheurs ont créé un pseudovirus entouré de protéines spike et ont constaté que l'exposition de ce pseudovirus a entraîné des dommages aux poumons et aux artères d'un modèle animal, prouvant que la protéine spike suffisait à elle seule à provoquer la maladie, ce qui pourrait expliquer les AVC. Pourtant c'est cette protéine que votre corps fabrique en quantité démesurée suite au vaccin, voici l'étude.
Le Dr Ryan Cole a partagé les résultats de ses autopsies devant des médecins et avocats, il confirme dans une vidéo publiée le 03/08/21 que cette protéine spike circule dans le sang et atterrit dans les organes. De plus, il explique que l'injection de la spike provoque les mêmes maladies que celle du covid (pulmonaire, vasculaire, cardiaque et cérébrale). La spike est la toxine, ce qui cause la maladie avec le virus. On y voit des inflammations dans le cœur, le système immunitaire attaque nos propres tissus, il ajoute qu'une cellule cardiaque endommagée l'est pour toujours et se remplace par une cicatrice. D'ailleurs, il appelle cela une injection de caillot sanguin, car c'est tout ce que l'on voit : des cellules pulmonaires, cardiaques, etc... endommagées.
V - Les dégâts du vaccin sont vérifiables
Le Dr Charles Hoffe explique que le seul moyen de savoir qu'une personne a coagulé est de faire une analyse sanguine, ce test s'appelle le D-dimère et il est très bien car il ne montre que les nouveaux caillots, cela vous dit donc si le mécanisme de coagulation a été activé. Dans son cabinet, il demande aux gens de faire ce test dans la semaine après leur injection. L'étude est donc en cours dans son cabinet et pour le moment il a 62% de résultats positifs à ce test, ce qui signifie que les caillots sanguins ne sont pas rares comme on essaie de vous le faire croire. Les petits caillots se produisent chez la majorité des vaccinés ! Pour ceux qui penseraient que ce n'est pas grave, un vaisseau obstrué par un caillot est endommagé de façon définitive. Le cerveau, la moelle épinière, le coeur et le poumon ne peuvent pas se régénérer, à chaque injection les dommages s'additionneront. Les maux de tête, nausées, vertige et fatigue peuvent être un signe de thrombose cérébrale au niveau capillaire à cause de milliers et milliers de petits caillots dispersés dans votre cerveau qui ne se verront pas au scanner mais qui vous donnent exactement ces symptômes. Concernant la tolérance réduite à l'effort, il est fort probable que ce soit ces mêmes caillots qui se trouvent en quantité démesuré dans le poumon. Le Pr Sucharit Bhakdi constate que c'est la même chose de son côté, ils ont les mêmes observations et prévoient les mêmes conséquences. Personne n'a encore démontré que ces hypothèses sont fausses alors qu'il aurait suffi d'effectuer des analyses sanguines.
Voici la vidéo où on en parle (à partir de 3:13) :
https://odysee.com/@FlowerPower:b/Avertissement-Du-Dr-Charles-Hoffe:e
VI - La fertilité chez les femmes de 18 à 42 ans
Dans cette étude Pfizer de l'EMA, vous remarquerez que le taux de concentration de lipides (particules de vaccin) présents dans les ovaires chez certains animaux augmentent suite à la vaccination, on passe de 0.104µg au bout de 0,25h à 12.3µg au bout de 48h, ce qui confirme le fait que les nanoparticules de lipides (déchets du vaccin encapsulant l'ARNm) se déplacent dans le sang et se retrouvent dans vos organes (c'est le tableau à la page 17).
Une étude va débuter, elle aura pour but de connaître l'impact du vaccin à ARNm COVID-19 (Moderna/Pfizer) sur la réserve ovarienne chez la femme, c'est-à-dire le nombre d'ovocytes présents dans les ovaires, rien de mieux pour vérifier la fertilité. Une étude est prévue sur 200 femmes, ils cherchent encore des volontaires pour commencer. Personne ne peut donc vous garantir que le vaccin n'a aucun impact sur votre fertilité, sinon à quoi bon lancer cette étude.
VII - Témoignages, âme sensible s'abstenir
Une femme de 39 ans victime de convulsions, éruption cutanée, crise d'épilepsie nocturne, faiblesse musculaire...
Une adolescente de 15 ans victime de douleur musculaire et nerveuse abdominale, gastroparésie, perte de mémoire, nausées, vomissement, brouillard cérébral, maux de tête, vertige, évanouissement, crise d'épilepsie, perte de sensibilité, faiblesse musculaire, perte du contrôle de la vessie, changement dans la vision, cycle menstruel irrégulier...
Voici la vidéo.
VIII - Contrats entre les États et Pfizer
Ces accords sont confidentiels et doivent le rester 10 ans, mais certains pays n'ont pas suffisamment protégé leurs documents, des informations ont donc fuité.
Voici ce qu'on peut lire sur ce contrat :L'acheteur accepte le fait d'être soumis à des risques et incertitudes importants.S'il existe des lois ou des règlements dans votre pays en vertu desquels Pfizer pourrait être poursuivi, vous acceptez de changer la loi pour annuler cela.Pfizer ne sera pas soumis à des pénalités de retard de livraison et n'acceptera aucun retour de produit.Si un médicament permettant de traiter le covid est trouvé, il faut qu'il soit supprimé (exemple de l'ivermectine).Les effets à long terme et l'efficacité du vaccin ne sont pas connus, il peut y avoir des effets indésirables du vaccin encore inconnus.Le pays doit offrir une protection à Pfizer contre les réclamations et les pertes, ils ne sont donc en aucun cas responsables.
IX - Solutions
D'après cette étude de l'Université de médecine de Caroline du Sud datant du 09/07/21, il est possible de déterminer avec une probabilité de 99% si un patient positif développera la maladie grâce aux taux sanguins de sphingosine. On peut donc rapidement savoir quels patients sont à risques, il est donc très simple de séparer symptomatique et asymptomatique, ce qui permettra de traiter rapidement les patients et distribuer efficacement les ressources limitées.
X - Informations complémentaires
Un vaccin à ARNm pourrait potentiellement altérer notre ADN car il existe une voie cellulaire par laquelle des extraits d'ARN viral pourraient s'intégrer à notre ADN génomique.La séquence de l'ARN du vaccin peut conduire au développement de maladies neurodégénératives. L'analyse du vaccin Pfizer a permis d'identifier deux facteurs de risque potentiels pouvant induire de la maladie à prions chez l'Homme.Pas d'autopsie chez les morts vaccinés alors que 30 à 40% des décès sont dus au vaccin.Le vaccin Pfizer reprogramme les réponses immunitaires innées, qui s'affaiblissent.35 raisons pour éviter ce vaccin, rédigé par le Dr Gary G. Kohls.Plus de 35 témoignages d'effets indésirables graves recensés en France sur ce site.Groupe Facebook "recensement d'effets indésirables" avec plus de 100.000 membres.
Il faut partager un maximum !