Édité le 29 juillet 2021
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Del Bigtree
Je pense que le prochain invité, spécialiste et ancien membre de l'OMS nous apportera un éclairage que nous n'avons pas encore eu. Nous nous sommes rendus dans les hôpitaux, nous avons rencontré les créateurs de vaccins, mais nous ne savons pas ce qui se passe dans les conversations à l'OMS et comment cela fonctionne. C'est pourquoi je suis très enthousiaste. J'ai vu une vidéo du Dr Astrid Stuckelburger, qui faisait partie du comité d'examen éthique de la recherche à l'OMS. C'est juste un avant-goût de la vidéo que j'ai vue auparavant. Nous l'avons contactée et lui avons dit que nous aimerions aller plus loin. Jetez un coup d'œil à ceci.

Astrid
La pandémie est organisée au niveau international de manière systémique. Ce que je vois de l’OMS maintenant c'est qu'ils ne communiquent pas. Ils dictent une volonté de ne pas communiquer. Ils font des présentations en direct, très générales, généralisant, changeant les mots, changeant les définitions, ne donnant pas de données précises, ne donnant pas de science précise. Et ce qui est très choquant, c'est que tous les médias du monde entier disent la même chose, les mêmes mots dans les journaux. Ils paient les médias pour produire ce qu'ils veulent. Le groupe de travail et les scientifiques qui ont été créés pour diriger cette pseudo-pandémie contribuent en fait à la rhétorique de la presse, à la façon dont veut la presse, à la façon dont veut le gouvernement. Et nous n'avons pas de débat.

Nous avons la censure. La censure est le premier signe d'une dictature. Ils censurent les médecins, ils censurent les traitements qui marchent. Ils vont dans les pharmacies et ils prennent tous les stocks d'Ivermectine qui marche très bien.
Ils empêchent les scientifiques de faire une bonne collecte de données, en disant que ce n'est pas valide. Et ils mettent leurs propres données qui sont complètement en conflit d'intérêt. Donc l'OMS avec les médias, les principaux médias, ont très bien analysé le système ainsi que leur chef de l'Agence Internationale des Télécommunications. Vous pouvez faire le lien, ils ont tout le système dans leurs mains.

Clairement, ils veulent détruire la population. Ils essaient de verrouiller les libertés des gens. La liberté des gens les dérange vraiment. Ils veulent anéantir toute pensée, toute émotion et toute cognition. Alors j'appelle juste les gens à se réveiller et à reprendre leur santé en main. Ne croyez pas votre gouvernement. Ils sont en train de créer une pandémie perpétuelle.

Del Bigtree
Une vidéo brillante réalisée par les gens de Planet lockdown. Vous pouvez la consulter. Le canal YouTube est Worldwide Truth Channel. Jetez un coup d'œil à cette interview. C'est brillant, mais je voulais entrer dans plus de détails, alors j'ai l'honneur d'être rejoint maintenant par le Dr Astrid Stuckelberger qui nous vient de Genève, en Suisse. Dr Stuckelburger, merci de nous accorder du temps.

Astrid
Merci de m'avoir invitée.



Del Bigtree
Pour commencer, lorsque nous entendons dire que vous avez travaillé pour l'OMS, pouvez-vous nous décrire votre affiliation ?

Astrid
Eh bien, il y a toujours eu des contrats temporaires, des consultations ou des expertises dans différents comités. Mais j'ai commencé par faire mon Master dans la division de la santé mentale avec le Dr Norman Sartorius sur le diagnostic interculturel. C'était vraiment fascinant, j'avais 28 ans et j'étais déjà à l'OMS. J'étais donc fascinée par le fait que tous les pays pouvaient essayer de résoudre un problème ensemble. Ce dont je suis désillusionnée aujourd'hui.

Del Bigtree
L'OMS est donc là pour résoudre un problème, les problèmes du monde, l'Organisation mondiale de la Santé. Vous êtes également membre d'un comité d'examen, qu'est-ce que cela implique en matière d'éthique, en fait, le côté éthique de la chose, qui je pense est une énorme question en ce moment. Quelle est la position éthique ? l'OMS et son effet sur le monde ?

Astrid
Oui. Dans chaque recherche que vous faites, vous avez normalement un comité d'éthique, mais comment l'OMS peut-elle avoir un comité d'éthique ? J'ai été surprise d'être convoquée parce que j'avais déjà fait de l'éthique auparavant. Et donc le fait est que certains chercheurs essaient d'obtenir un parrainage ou au moins d'avoir l'étiquette que l'OMS les soutient dans leurs recherches dans le monde et cela peut aller du traitement dans les soins primaires au traitement des adolescents. Il y a un comité de révision et ils ont besoin d'un expert indépendant. Ils ont eu des problèmes d'éthique, car il y avait un membre indépendant du comité d'éthique.
Ils étaient inquiets à ce sujet. C'était donc très bien organisé. Mais nous avons dû lire les articles, il y en avait beaucoup, puis remplir un formulaire vide pour faire état de ce que nous voyions comme étant éthique ou non éthique. Et finalement, j'ai obtenu de l'argent pour l'éthique de l'OMS, pour faire un livre de cas de formation internationale à l'éthique de la recherche. C’était avec l'école de médecine de Harvard. Cette formation était très intéressante parce que vous pouvez très bien voir que... ce n'est une très belle photo.
Quoi qu'il en soit, c'était la journée internationale des personnes âgées. Vous pouvez voir Margaret Chan

Del Bigtree
Que la photo soit bonne ou pas, c'est juste pour prouver que vous y êtes, parmi tous nos meilleurs amis du High Wire. Alors dites bonjour à tout le monde là-bas de ma part.

Astrid
J’avais à peine dormi
​
Del Bigtree
Klaus Schwab, je t'aime, mec.


Astrid
Oh, mon Dieu, c'est horrible. En tout cas, Margaret Chan était très gentille. Elle est venue me voir à la fin en me disant : je peux vous aider ? Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait m'aider, mais je pense qu'elle avait désespérément besoin de personnes éthiques, car maintenant que j'ai lu l'histoire, je vois qu'elle était impliquée en tant que Taïwanaise qui a réussi, elle a vraiment réussi à gérer ce covid, car Taïwan n'a connu que 200 cas ou décès. Donc elle était là, sous la Chine, parce que Taiwan est très très lié avec la Chine.

C'était une belle personne, vraiment. Mais le comité d'éthique avait un rôle à jouer à l'époque. Et les quatre principes de l'éthique, je le rappelle aux gens, sont de faire le bien, de ne pas faire de mal, de traiter tout le monde de manière égale, et ici c'est très important, d'avoir l'autonomie de décision. Vous êtes toujours en mesure de choisir avec votre libre arbitre, quoi qu'il vous arrive sur le terrain et s'il y a une recherche, vous êtes censé avoir un consentement éclairé, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. C'est que nous ne sommes pas du tout informés, parce qu'ils dévient tous les discours.

Ils n'informent pas les gens. Ils cachent la vérité. Ils cachent la définition, ils sont frauduleux dans leur analyse et dans les conflits d'intérêts, ce qui était l'un des paramètres du comité d'éthique. Vous ne pouviez pas avoir de conflit d'intérêts. Les chercheurs qui étaient sponsorisés par l'industrie pharmaceutique étaient hors-jeu.
Et je pense qu'aujourd'hui, il n'y a pas de comité d'éthique. Je sais qu'Abha Saxena a démissionné, elle est partie avec son mari, qui est le directeur de la division de la santé mentale.

Vous voyez donc beaucoup de choses de ce qui se passe éthiquement qui ne correspondent pas à ce que l'OMS dit, par exemple, que vous devez rendre aux gens les résultats de la recherche très rapidement. Et dans le cas du vaccin, je viens de l'entendre tout à l'heure, on sait par exemple, en Europe, il y a déjà, confirmé à 100% par Edra Vigilance au moins 18 000 décès liés directement au vaccin. Dans une recherche normale, on arrêterait immédiatement. Et il y a un entre 800,000 et 1 million de cas graves. Et ce n'est que 1 à 10 %, selon Reiner Fuellmich et d'autres scientifiques, de ce qui se passe réellement sur le terrain. Parce qu'en tant que médecin, vous devez remplir un grand formulaire. Cela prend du temps. Vous devez être sûr qu'il y a cause à effet avec un vaccin, comme une mort immédiate, après que le vaccin ait eu lieu.

Mais il y a beaucoup de censure. Donc, sur le plan éthique, absolument rien n’est appliqué de ce que l'OMS a promu.


Del Bigtree
Permettez-moi de vous poser une petite question, qui s'écarte un peu de ce que je voulais faire, mais comme vous l'évoquez, j'essaie de comprendre l'état d'esprit … Vous avez travaillé avec ces personnes, je veux dire que l'éthique fait partie de... vous avez eu ces conversations à l'OMS. Croyez-vous quand vous dites ce chiffre, comme un million de blessures graves et 18 000 décès ? Je veux dire, ce sont des chiffres assez importants quand on y pense, un produit injecté qui a tué ces gens, ce qui signifie qu'ils seraient en vie aujourd'hui, si tout ça n’était pas intervenu pas dans leur vie.

Les personnes qui travaillent à l'OMS et les scientifiques qui y sont impliqués se contentent-ils de dire que c'est encore un petit nombre par rapport à la population mondiale ? Est-ce le calcul qu'ils font, même si le principe de "ne pas nuire" est censé être le moteur ? Ca parait une vieille histoire. Ne pas nuire et ne nuire à personne. Sommes-nous arrivés à un point où nous pouvons nuire à 18 000 personnes pour en sauver un million ? Ou est-ce qu'ils l'ignorent tout simplement ? Ils portent des bandeaux sur les yeux et disent que personne n'est blessé parce qu'ils affirment aux journaux télévisés que personne n'est blessé, qu'il n'y a pas de décès. J'ai vu tellement de médecins répéter cela aux informations comme si... comme Fauci l'a dit cette semaine, c'est l'un des vaccins les plus sûrs que nous ayons jamais vus, il n'y a vraiment aucun danger. Il n'y a pas de mort.
Alors est-ce un mensonge ? Accepte-t ’il cette perte, ou le croit-il vraiment ? Et les gens de l'OMS, croient-ils à tout ça ?

Astrid
Je suis vraiment choquée de ce qui se passe, parce que tout ce que nous avons enseigné lorsque j'étais en mandat pendant trois ans, quatre ans avec le règlement sanitaire international ne se passe pas. J'étais en charge du cours sur la communication des risques. Et dans la communication, vous devez être transparent. Vous devez dire la vérité. C'est le minimum normalement, et vous devez écouter les gens. Vous devez vous baser sur des faits, vous devez montrer, et ça on ne le voit pas du tout. Dès le début, j'ai vu que quelque chose n'allait pas, parce que normalement, quand on détecte un agent, on analyse le risque, l'agent, la chronologie, l'effet, la toxicité.

Vous ne savez pas au début qu'il y a un progrès. Et nous n'avons vu aucun progrès dans la communication. C'est une communication standardisée depuis le début. De cette façon, ils ne sont pas éthiques dans la communication. Et ils ne sont pas éthiques dans la façon dont ils procèdent pour communiquer, parce que normalement vous avez la salle de choc, l'opération stratégique de la stratégie pandémique de la salle des opérations de santé. C'est là que se trouvent les experts, que je ne vois plus du tout, d'ailleurs. Je ne sais pas où ils sont, dans le placard, je ne sais pas.

Dans cette salle, ils ont un système très sophistiqué... ils avaient un système sophistiqué de collecte de données avec le GPHIN, le système de réseau mondial de santé publique, le GARN, le réseau mondial d'alerte et de réponse. Le GIS, le système d'information mondial. Et vous voyez Tedros et son équipe arriver comme s'ils étaient aux infos, en étant juste généraux, comme je l'ai dit dans Planet Lockdown, et ils ne donnent absolument aucun détail. Ce n'est même pas un médecin. Maintenant c'est clair que ça sort, la vérité. Et une question que vous posiez, comment font-ils pour mentir ?

Comment agir au sein des Nations Unies ? L'OMS n'est qu'un enfant des Nations Unies. Si les gens mentent...
Et je me suis toujours demandée, parce que c'est déjà arrivé, où est l'organe d'éthique et de régulation qui irait punir quelqu'un qui ne fait pas ce qu'il faut ? Et dans ce cas, il est clair que Tedros et son équipe mentent. Ils ne font pas de la science. Et qui pouvons-nous appeler pour l'arrêter ? pour les arrêter ?

Del Bigtree
Qui est au-dessus de lui, qui est son patron ?

Astrid
Oui. Si vous avez un enfant dans la famille, le père ou la mère vient et dit, tu mens. Sort, nous allons t'arrêter. Mais dans cette famille des Nations Unies, normalement c'est l'Assemblée générale. Oui voilà, ceci est l'Assemblée générale au mois de Septembre. Et nous pouvons peut-être faire appel à eux, où tous les présidents se réunissent chaque année. L'Assemblée générale. Et qui est le chef de commandement ? Il y a le secrétaire général, en ce moment c'est Guterres, qui est portugais et qui est l'ancien haut-commissaire aux réfugiés de l'ONU.

Nous devrions donc lui écrire et lui dire : vous êtes le responsable de l'Assemblée des Nations Unies à l'Assemblée générale, s'il vous plaît, arrêtez cette pandémie et arrêtez l'OMS. J'en ai parlé avec des avocats et je leur ai dit que nous devions l'arrêter. Maintenant, si vous voulez attaquer avec une arme biologique, parce que c'est une arme biologique, ce vaccin, je n'ai aucun doute, avec toutes les preuves qui sont là, que nous devrions attaquer avec la Convention sur les armes biologiques. Et qui est en charge de cette convention ? C'est l'Assemblée du désarmement ici, mais plus directement, le Conseil de sécurité à New York, dirigé par cinq pays sélectionnés, plus quelques autres, ce qui n'est absolument pas égalitaire, pas éthique.

Nous sommes donc prisonniers d'un système. Mais je pense que c'est là que vous pouvez comprendre que nous sommes actuellement dans un système d'États membres qui sont plus des membres corporatifs qui obéissent à un patron et à un dictat multinational. Et nous allons en venir à cette partie, c'est Gavi. L'Alliance mondiale pour les vaccins a pris le contrôle de l'OMS.

Del Bigtree
Vraiment ! Donc, quand on regarde Gavi, évidemment... écoutez, il y a eu Geert Vanden Bossche qui s'est présenté et qui a parlé des dangers de la vaccination causant des mutations, il avait travaillé avec Gavi. C'est énorme. Je pense que c'est le bras le plus financé dans les programmes de vaccination mondiaux. C'est vrai. Je veux dire, Gavi est gigantesque. Et pratiquement chaque nation est impliquée. C'est une idée de Bill Gates. Alors quelle est l'implication de Gavi ? Parce que nous voyons le financement dans l'OMS. Nous savons que Bill Gates y est présent séparément. Et puis, honnêtement, lorsque Donald Trump a retiré les États-Unis d'Amérique du financement de l'OMS, Bill Gates était assis en deuxième position, ce qui était stupéfiant. Cela m’a semblé choquant.
Surtout un homme qui n'est pas un scientifique, qui semble promouvoir à la fois l'idée des vaccinations, l'idée du suivi des passeports et aussi l'idée que nous devons réduire la population mondiale, parfois dans un seul discours, ce sont des choses étranges à mettre ensemble. Mais vous avez des informations sur Gavi du point de vue de Genève et de l'OMS. Alors, que se passe-t-il vraiment ? Quel est le lien entre Gavi et l'OMS ?

Astrid
D'abord, laissez-moi vous dire que vous avez raison. Il n'est pas médecin. Ce n'est pas un médecin. Et vous pouvez le constater par son raisonnement. Idem pour Tedros. Et il a la psychologie, le profile, si je puis dire, d'un informaticien, et plus encore, d'un mordu de technologie, parce que ...c'est une photo amusante. Oui. Donc on peut y revenir, mais j'ai dû faire la chronologie historique de son implication à l'OMS pour comprendre. [Ok] donc j'ai parcouru ça. Je pense que vos auditeurs peuvent vraiment creuser beaucoup plus, parce qu'il y a tellement de choses. Chaque fois que j'entre dans ce dossier, je trouve de nouveaux documents. J'en ai donc partagé beaucoup avec vous, et j'espère qu'ils pourront les utiliser.

Donc pour la chronologie. L'Alliance mondiale pour les vaccins a en fait créé une fondation à Genève selon la loi suisse, et il y a beaucoup d'ONG à Genève. Vous pouvez créer une ONG. Je peux vous en créer une en une heure.

Del Bigtree
Je vais y réfléchir.
Ce titre. Le Conseil fédéral conclut un accord de pays hôte avec l'Alliance Gavi. Alliance mondiale.
Compte tenu du fait que les tâches de l’Alliance Gavi sont essentiellement de nature "étatique", ainsi que de la prééminence du secteur public dans sa représentation et son financement, le Conseil fédéral, invoquant la loi sur l'État hôte, a décidé de conclure un accord de pays hôte avec l’Alliance Gavi, lui conférant ainsi les mêmes privilèges et immunités que ceux normalement accordés à une organisation intergouvernementale.

DEL BIGTREE :
J'ai l'impression que comme quand nous disons que nous ne pouvons pas toucher un diplomate en Amérique parce qu'il est diplomate d'une autre Nation, ils ont rendu GAVI intouchable en Suisse, ils sont en quelque sorte un groupe diplomatique auquel on ne peut pas toucher ?

ASTRID :
Oui, absolument. En fait, c'est le document qui a déclenché ma recherche parce qu'une personne infiltrée avec un avocat m'a donné des documents en me disant, regarde ça, Astrid. Ils ont une immunité totale et je trouvais de plus en plus de documents sur le site de la Confédération helvétique, le gouvernement suisse, avec des signatures et des accords entre GAVI, Swiss Medic, qui est la FDA des Etats-Unis. Et donc le gouvernement, Gavi, l'OMS passaient des accords. Et j'ai pensé, ce n'est pas bien. Ce n'est pas bien. Et donc j'ai lu ce document et ils n'ont pas seulement une immunité totale, ils ont plus d'immunité que les états membres.
Et vous pouvez trouver un document sur le site fédéral, sur le site du gouvernement, que c'est en français, en allemand et en italien, nos trois langues nationales. Vous devez donc les traduire. Mais je peux juste vous dire les points. Ils ne paient pas du tout d'impôts. Ils jouissent d'une immunité totale et plus que de simples membres, car ils n'ont pas besoin de déclarer quoi que ce soit, quoi qu'ils fassent, quoi qu'ils dépensent, quoi qu'ils aient dans leur valise. Genève est une ville internationale, nous avons plus de réunions à l'ONU et à Genève qu'à New York.
Vous devriez voir combien d'agences nous avons ! Nous avons l'Organisation mondiale du commerce, l'Union internationale des télécommunications, où, d'ailleurs, tous les ministres des télécommunications se réunissent. L'OMS avec les ministères de la santé, l'OIT avec les ministères du travail, le Haut Commissariat aux réfugiés, avec les ministres qui s'occupent de votre refuge, et ainsi de suite, et ils ont tout ici. Et il est très facile d'accéder à Genève en tant qu'ONG une fois que vous avez votre accréditation. Donc je n'ai aucun doute sur le fait qu'ils avaient une facilité d'accréditation auprès des Nations Unies.
Je représente en fait une ONG américaine universitaire depuis 20 ans auprès de l'ONU. Je sais donc très bien comment cela fonctionne et comment vous pouvez faire des déclarations et comment vous pouvez faire du lobbying. Et ils peuvent faire ça tout le temps. Donc non seulement ils ont eu ce badge très rapidement, mais ils ont eu accès à toutes les agences, à tous les ministres très facilement. Et ils sont devenus une fondation à partir d'une ONG qu'ils ont créée en 2006, et sont devenus ensuite une organisation internationale qui a plus de pouvoir que l’Organisation des Nations Unies.
En fait, mon hypothèse est qu'ils sont supérieurs aux gouvernements en tant que multinationale. Il y a une gouvernance cachée derrière les Nations Unies aujourd'hui, parce qu'elles n'obéissent pas à la manière dont les Etats membres peuvent s'exprimer. Avez-vous entendu un seul ministre de la santé s'opposer à ce que fait l'OMS ?

DEL BIGTREE : Non.

ASTRID :
Bon, Il y en a eu quelques-uns, c'est vrai.

DEL BIGTREE :
En Suède, je pense.

ASTRID :
Oui, la Suède. Mais ils se rattrapent plus tard avec la campagne de vaccination.
Parce que j'étais en Suède. J'ai organisé le sommet de la paix Post Covid à Stockholm. C'est maintenant traduit en anglais. Donc je peux aussi vous dire qu'il est disponible. C'était en décembre. Et nous avons choisi cette date parce qu'il y avait des facilités. C'était facile d'y venir. Quand nous sommes venus, c'était en décembre, tout le monde était confiné. Et le
professeur que j'avais invité à l’occasion de l’ouverture du sommet ce jour-là, m'a envoyé un message très étrange. Il m'a dit: « je ne peux pas venir et assister à la conférence parce qu'il y a une pandémie »alors qu’ il déclarait par ailleurs qu’il n'y a pas de pandémie en Suède.
J'ai donc pu constater qu'il y avait un changement. Et dans la salle que nous avions occupée la veille de notre visite, ils organisaient la campagne de vaccination en Suède en décembre. Donc je pense qu'ils se sont dit, ok, nous avons perdu cette bataille, mais nous n'avons aucun problème avec la prochaine bataille. Et le roi de Suède, après notre départ, vous savez, ils utilisent tous ceux qu'ils peuvent corrompre., donc le roi de Suède a dit : "Nous devons nous faire vacciner". Vous avez compris.(rires)

DEL BIGTREE :
Revenons à, ce que j'imagine, il se passe à Genève . Ont-ils un complexe ? Je veux dire, il doit y avoir une grande base établie, parce que l'une des questions que nous avons posées sur High wire et je l'ai dit, je n'ai pas l'impression que mon gouvernement soit nécessairement... Je ne pense plus que les décisions soient prises à l'intérieur de mes frontières, surtout avec la place que cette pandémie a prise. Elle a pris le pas sur toutes nos politiques. Elle nous prive de nos libertés. Elle nous empêche de travailler. Elle nous prive de notre droit à vivre, à marcher dans la rue, à respirer l'air.
Et nous pensons tous, d'où cela vient-il ? Quand nous entendons parler de Billdeberg et de ces groupes, vous dites qu'il semble y avoir cet esprit, ce système de pensée ou ce groupe de contrôle qui s'est établi, peut-être même plus grand que l'ONU et vous dites que c'est Gavi établi à Genève. A quoi ressemble cette présence ? Ont-ils un complexe ou un bâtiment ?

ASTRID :
Eh bien, vous voyez, c'est là que vous pouvez suivre la progression au fil du temps, ils étaient dans le campus Biotech où j'avais mon bureau et avec d'autres ONG qui vendaient déjà des tests de diagnostic comme le F.I.N.D, le FIND ou d'autres choses. Mais ils ont ensuite déménagé dans un bâtiment de huit étages, que j'ai montré à James Henry de Planet Lockdown. Et cela a poussé comme un champignon. Il n'existait pas il y a cinq ans et tout à coup il est là, et non seulement cela, mais le gouvernement suisse a inauguré ce bâtiment ainsi que Gavi et de toutes les organisations internationales de ce bâtiment, et vous pouvez voir les étages. Gavi a les deux premiers étages en haut. Puis il y a Tobacco malaria. Oui, très bien. Vous pouvez voir très bien ici, le un et le deux est Gavi. Je commence par le haut. Puis le troisième, c'est tabac-malaria. Remontez. Puis il y a Unitaid, qui s'occupe, bien sûr, du diagnostic et de la vente des médicaments. Puis le Fonds mondial a tout le reste. Et tous ont l'Organisation Internationale de la Vaccination. Quand vous regardez par la fenêtre, c'est fait comme une banque.
Vous avez une haute sécurité, alors que c'est vide. Il n'y a que quelques personnes pour le moment. Je pense donc qu'ils sont en train de construire leur siège parce que tout est sécurisé et verrouillé. Les ONG n'ont plus accès aux Nations Unies. Elles n'ont pas renouvelé leur badge. J'ai essayé. (Rires) Et ils ont en fait renforcé la sécurité dans le bâtiment principal des Nations Unies, que je connais très bien. Donc il semble que la Suisse soit parfaite. C'est un joueur parfait... Nous avons le système bancaire qui est secret.
Ils ont une immunité totale. Ils ont le Forum économique mondial, ils ont des banques privées. Et vous avez à Bâle, la Banque des règlements Internationaux (BRI) qui est très importante pour le système bancaire dans le monde.

DEL BIGTREE :
Donc Gavi a ce consulat géant de groupes de réflexion totalement protégé en Suisse. Maintenant nous voyons que Gavi a des fonds qui vont à l'OMS, est-ce que l'OMS est alors juste la voix, ou le groupe d'action de Gavi, je veux dire, quel est le lien entre Gavi et l'OMS dans votre esprit ?

ASTRID :
Eh bien, vous voyez, j'ai travaillé en tant que consultant pour la Banque mondiale jusqu'en 2003/2004, lorsque James Wolfensohn était à sa tête. Et il faisait un travail très intéressant, essayant également d'inclure les groupes religieux et les ONG. Je lui ai toujours demandé pourquoi il ne s'occupait pas de la santé et du vieillissement, car c'était l'un de mes sujets. Et il a répondu,: « non, la santé n'est pas dans notre domaine ». Mais lorsqu'il s'est arrêté et que Wolfowitz, qui travaillait avec Rumsfeld et Bush, a pris la tête de la Banque mondiale, il a lancé tout le système avec Bill Gates. Je comprends aujourd’hui avec le recul ce qui s'est passé. James Wolfensohn est mort en novembre de l'année dernière, donc il n'est pas là pour témoigner de ce que je peux témoigner par les documents que j'ai trouvés, et l'un des documents de la Banque mondiale montreque la facilité financière internationale du programme de vaccination, est une signature entre Gavi, la Banque Mondiale Wolfowitz et l’OMS.

ASTRID:
Et c'est un mécanisme incroyable. Il a été suggéré par le Royaume-Uni et la banque Goldman Sachs. C'est écrit dans le document. Vous pouvez le trouver sur Internet parce que vous ne pouvez pas le télécharger, vous pouvez juste l'imprimer. Mais c'est un document très important parce que vous comprenez que le mot Immunisation, et c'est vraiment important, est égal à vaccination globale. C'est dans tous les documents où vous voyez Immunisation, il y a à l'arrière le commerce des vaccins. Donc ils ont signé ça, l'OMS, l'État membre, GAVI, les États membres de la Banque mondiale. Et ils ont pris de l'argent à travers les contribuables et les États membres par le biais de quelque chose qui s'appelle la Coalition pour les Innovations en matière de Préparation aux Epidémies, le CEPI. Et ce mécanisme a fait les affaires de Gavi. Ils ont reçu tellement d'argent. J'ai écrit quelque part le chiffre parce qu'il est si grand que je pense que c'est 2,4 milliards entre 2005, depuis qu'ils ont signé 2005 et 2013. Cela dépasse même notre imagination de voir combien d'argent il y a en jeu. Et ils ont mis dans cette Immunisation la facilité de financement et ces financiers devront creuser dans ces obligations et un programme d'avancement du marché, et il y a des mots que je ne comprends pas parce qu'il y a tellement de termes liés à la finance que je pense qu'ils jouent une partie de poker avec le système bancaire, et tout est en lien avec le vaccin.

DEL BIGTREE:
Alors vous avez le financement de ce gigantesque monolithe financier situé à Genève en tant qu'État membre, vous avez Gavi là en tant qu'État membre, vous avez l’OMS et ils sont tous protégés, ils ont des conversations privées que le monde ne peut pas voir, ils avancent une politique qui n'affecte pas seulement un âge, mais littéralement le monde entier.Alors quand les gens me disent que je suis anti-médecin ou que je dis que les médecins sont mauvais ou les scientifiques mentent tous, je dis, non, non, non, il semble qu’un petit groupe très organisé de personnes dicte la politique à des gens qui ont tous été formés pour faire ce qu'on leur dit plus haut,
Dans ce cas, l’OMS semble être l’auteur. Mais vous dites que Gavi est impliqué dans cette politique, ce qui conduit l'OMS à diriger le monde.

ASTRID:
Oui, il y a beaucoup de signes qui vont dans ce sens depuis le début. Un fait est que lorsque vous regardez comment la Fondation a été construite, vous pouvez trouver dans l'enregistrement des entreprises en Suisse, vous pouvez voir qui a fait partie de la Fondation Gavi, l'Alliance Gavi pour dissimuler cela. Et vous pouvez voir dans les noms deux personnes qui sont très importantes, vous pouvez voir que Tedros. Oui. C'est le donateur qu'ils ont obtenu de tout le pays. Donc vous pouvez voir ici que les Etats membres ont donné d'immenses quantités d'argent, et ce sont nos impôts.
Je veux dire, d'où vient cet argent si ce n'est de nos impôts, donc nous finançons en fait la campagne de vaccination et la mort de personnes. Vous voyez à quel point c'est contraire à l'éthique. Je veux dire, (rires) c’est tellement fou que c'est presque difficile à croire.

DEL BIGTREE:
Donc, vous pointez quelque chose. Je pense que c'est intéressant. Donc on a Tedros. Maintenant, nous avons l'impression que Bill Gates finance l'OMS, l'OMS s'assoit là, et parfois parle sur une estrade, ou il parle à Gavi ,et ils obtiennent de l'aide. Mais ce que vous dites, c'est qu'il y a un lien entre Tedros et Bill Gates. Est-ce exact ? Que nous ne connaissons peut-être pas et qui est en dehors de l'OMS, expliquez-moi cela ?

ASTRID:
Oui. parce que dans le conseil d'administration de Gavi, vous pouvez avoir des gens qui entrent et sortent et vous pouvez trouver les dates. Et j'ai trouvé deux anciens chefs de l'ONU qui faisaient partie de l'Alliance Gavi. Le premier est peut-être celui que vous pouvez voir ici... vous pouvez voir Tedros sur la ligne 1-2-3-4-5-6. La sixième ligne, vous voyez Ghebreyesus Tedros . Donc vous pouvez voir que la date d'arrivée est de 10 à 15, et j'ai regardé la définition, donc il a commencé le 22 janvier 2009 à faire partie du conseil. Et c'est à ce moment-là que Gavi a passé l'accord avec la Suisse, et il est parti le 14 septembre 2011, et il a rejoint le poste de directeur général de l'OMS en 2017. Donc il avait déjà un conflit d'intérêt avec une énorme ONG, ce n'est pas une ONG, c'est une organisation qui fait des affaires avec une immunité totale. Et Mary

Robinson était l'autre personne, Et c’est important parce que Mary Robinson était l'ancienne présidente de l'Irlande. Elle était aussi à la tête du haut commissariat aux droits de l'homme pendant de nombreuses années, j'y ai travaillé pour une année internationale, et elle en était à la tête, et je travaillais sur des documents en rapport avec cela.Je me souviens très bien d'elle, elle était vraiment bonne, éthique et respectueuse des droits de l'homme. Ensuite, de novembre 2008 à 2011, elle a commencé à faire partie de Gavi, mais pas seulement en tant que membre, elle était présidente du conseil d'administration de Gavi, et elle avait une autorisation de signature qui lui permettait de signer des contrats. Pouvez-vous imaginer un instant que la tête des Nations-Unies pouvait commencer à faire partie d’une organisation criminelle, on ne peut pas appeler cela autrement, qui ne paient pas d’impôts.
Et donc nous ne pouvons pas mettre en arrestation qui que ce soit dans leur bureau.
C'est ce que j'ai oublié de vous dire, l'immunité, il dit que la police ne peut pas entrer s'il y a un meurtre ou s'il y a quelque chose de suspect. Personne ne peut venir et prendre leur ordinateur, personne ne peut venir et regarder s’il y a des squelettes dans le placard (rires) ou quelque chose comme ça. Il s'agit donc déjà d'un très gros conflit d'intérêts. Ensuite, j'invite les gens à aller voir tous les autres noms parce que je n'ai pas eu le temps de faire ce gros travail.

DEL BIGTREE:
Nous allons rendre tout cela possible. Tous ceux qui sont abonnés à notre newsletter recevront tous les documents que vous nous avez remis, et ils pourront les consulter eux-mêmes.

ASTRID:
Oh, c'est génial. S'ils peuvent le faire ce serait formidable parce qu'il y a un enchevêtrement avec beaucoup d'autres choses. Vous voyez, une des psychologies d'organisation que Bill Gates a fait est qu'il crée une organisation d'organisation d'organisation où il est le chef de file, la Fondation Bill et Melinda Gates ou Gavi. Donc ils sont présidents de différentes organisations, et Unitaid, vous savez l'une des organisations qui est dans ce campus de la santé mondiale qu'ils ont créé et inauguré il y a un an... deux ans... 2018, ils en font partie. Ils sont partout, ils donnent l'illusion que c'est pour le bien des gens. Et ils utilisent la rhétorique des valeurs partagées, d'équité, nous sommes tellement égaux que maintenant nous allons vacciner les femmes enceintes. C'est ce qu'ils disent sur scène. Nous pourrons en parler après. Mais juste avant, je veux vous dire aussi à propos del'OMS, le deuxième signe qui était très évident c'est qu'après le règlement sanitaire international, on était censé former à partir de 2013, on avait eu l'accord, nous avions choisi l'université de Georgetown et Pretoria. Et tout à coup, ils ont coupé les vivres, ils nous ont envoyé une lettre et nous ont dit : non, il n'y a plus de fonds. Et c'était en 2013, Et maintenant j'ai découvert que les plans d'action mondiaux pour les vaccins que Gavi dirige ont commencé en 2012 jusqu'en 2020. Et c'est aussi à ce moment-là qu'ils ont commencé à construire un plan d'action en disant : "OK, nous devons aider les gens et sauver le monde". Les objectifs de développement durable en sont un. La couverture sanitaire universelle en est un, mais ils mélangent une chose. Ils associent la santé à la maladie.
Ils ne parlent donc que de la maladie et de la vaccination. Donc le plan d'action mondial sur les vaccins est en fait un plan de vaccination et l'objectif de la vaccination globale de la population mondiale et cela va avec leurs plans de dépeuplement.

DEL BIGTREE: Waw, wow!

ASTRID:
C’est très suspect.

DEL BIGTREE:
Je veux juste dire que l'une des choses que nous avons rapportées sur Highwire et cela sortait de la réunion de Genève, en Suisse, en décembre 2019. Nous avons parlé de comment et qui s'est réuni, comment allons-nous arrêter l'hésitation vaccinale. Et l'idée générale était qu'ils voulaient que chaque être humain dans le monde se fasse vacciner. C'était clair pour moi. Il est clair pour moi qu'ils ont des problèmes avec les vaccins. Nous commençons à voir des souches de rougeole résistantes au vaccin.
Il y a des défaillances dans le programme de vaccination. Il me semble qu'ils veulent que tout le monde soit vaccinés et qu’ils essayent de réparer certaineserreurs qu'ils ont pu commettre. Cela peut en faire partie, mais ce qui est fascinant ici, c'est de dire que c'est Gavi qui mène ce programme. Maintenant, je pense que beaucoup de gens diraient:
« regardez, hé, Gavi a les meilleurs scientifiques du monde et qu'ils se réunissent tous et qu'ils produisent de très bonnes données et qu'ils partagent ces données ». Et tous les scientifiques disent, "Hé, ça a l'air vraiment bien. Faisons cela ». Alors quel problème est le problème? Mais ce qui m'a vraiment choqué dans la vidéo que vous avez publié, c'est quand vous dites : " Nous ne voyons pas de données, là, il n'y a pas de données . Nous n'obtenons que des généralisations, et c'est ce dont je me plains. Pourquoi personne ne demande s'il va y avoir 500 morts au Royaume- Uni ? Prouvez-le. Nous sommes assez intelligents pour voir un graphique au Royaume-Uni. Nous sommes assez intelligents pour voir comment 2.000.000 de personnes pourraient mourir en Amérique. Montre-nous les données ».
De quoi parlons-nous ? C'est si insaisissable. Personne ne le fera. Vous ne pouvez pas voir le fond, le modèle impérial, personne ne peut mettre la main dessus. Pourquoi tout est fermé et confiné alors que la science est censée être un forum ouvert où les gens interviennent, et où cela bouge et évolue ? Et comme vous l'avez dit, il n'y a pas eu d'évolution depuis le début jusqu'à ce que nous en soyons où nous en sommes aujourd’hui. Ce qu'on dirait, c'est que ces points de discussion ont été développés de 2012 à 2020. Il n’a jamais s’agit d’autre chose que de vacciner tout le monde.

ASTRID :
Oui, c'est comme un bulldozer. Ils commencent lentement. Puis de plus en plus gros et de plus en plus gros. Si quelqu'un a un doute, lisez le rapport de John Loannidis, qui est très intéressant. Vous en avez probablement déjà parlé. Il montre qu'il n'y a pas plus de mortalité en 2020 que dans les années précédentes. Il en va de même pour la Suisse et pour tout autre pays. C'est donc une plaisanterie. C'est vraiment une arnaque. Et les tests PCR, nous savons que tout cela est faux. Mais ce qui est intéressant et que personne ne sait, c'est que l'OMS a publié le rapport du professeur Loannidis dans son bulletin.

DEL BIGTREE : Vraiment !

ASTRID :
Vous voyez comme c'est pervers. Le professeur Loannidis a fait le premier rapport et ensuite un second, vous l’avez publié. Et vous pouvez trouver un bulletin de l'OMS de janvier 2021
du Professeur Loannidis. Donc ils affichent la contradiction avec ce qu'ils disent. Et l'autre facteur que vous pouvez voir, quand vous regardez la recommandation du PCR, parce que j'ai approfondi ça pour d'autres avocats, vous pouvez voir qu'ils ont des alertes de produits médicaux. Donc ils appellent le PCR un produit, ce qui est intéressant. Et l'alerte sur le produit médical est que vous ne pouvez pas utiliser le cycle d'amplification sans le noter et sans la présence d’un médecin. Et cela n'est pas respecté. Mais vous pouvez trouver la cinquième alerte en janvier.

DEL BIGTREE :
Oui, vous faites un test positif, mais on a fait 40 cycles pour arriver à un positif. Au lieu de cela, nous entendons juste un positif et vous auriez avoir recours à 45 cycles alors que nous savons que ce n'est même plus vraiment précis, probablement lorsqu’on dépasse 20 cycles, quelque chose comme ça.

ASTRID :
Ce n'est pas un test de diagnostic, c'est un produit. Ce n'est vraiment pas un test de diagnostic. Nous le savons tous et Karry Mullis , le Prix Nobel, a créé cela, et l'a dit et a affronté Fauci depuis pendant des années au sujet de ce PCR.

DEL BIGTREE :
Je ne l'utilise jamais comme outil de diagnostic. Malheureusement, il est mort quelques instants
avant que toute cette pandémie ne commence. Je pourrais vous parler pendant des jours. Vous reviendrez probablement dans notre émission . Mais il y a quelque chose dont je veux parler. Si j'ai bien compris, l'une de vos tâches dans le domaine de la préparation aux pandémies dans le monde consistait à rendre visite aux nations et à les aider à comprendre comment elles peuvent gérer une crise, qu'il s'agisse d'un virus ou d'autres choses de ce genre. Et ce que nous voyons en ce moment, c'est cette sorte de façon unique de gérer cela;
L'Inde est traitée de la même manière que le Pakistan, que l'Amérique, que le Royaume-Uni ou que la Grèce. Tout le monde doit être vacciné, fermez vos entreprises, fermez vos écoles! Je pense qu’ il y a des nations aujourd’hui où si vous fermez ça, vous fermez les affaires. Les gens n’ont pas d’économies, les gens vont mourir de faim. Vous avez voyagé à travers l'Amérique, il y a certains quartiers et comtés dans les États qui sont si pauvres. Vous savez qu'un confinement de quelques semaines peut signifier la mort et la famine.
Alors cette idée qu'il existe une politique selon laquelle c'est la façon unique de gérer... est-ce que c'est ce qu'on vous a appris à faire avec l'OMS lorsque vous voyagiez dans ces pays ? Est- ce que c'était toujours la même chose pour tout le monde ? Voici le plan 1-2-3-4-5. C'est ce que vous allez faire en Inde. C'est la même chose pour le Royaume-Uni, l'Australie et l'Amérique. C'est comme ça que ça marche ? C'est comme ça que la science fonctionne ?

ASTRID :
Non. Non, c'est exactement le contraire. Personne ne parle plus du RSI. Le Règlement Sanitaire International. Mais la formation a duré trois ans. C'était trois groupes d'environ 35 personnes, chaque fois, en ligne, sur place. Et ce notre troisième cours était une formation sur le tas. Il s'agit de personnes des ministères de la santé, du bureau de l'OMS, des centres d'épidémies, de l'Université de Genève et du Master en santé publique où j'enseigne depuis 20 ans. Il s'agissait toujours d'Andra Gaji. Cela signifie que les adultes qui ont déjà des connaissances doivent utiliser leurs connaissances et le contexte pour s’adapter et développer une nouvelle science.
Ainsi, par exemple, chaque système de santé est différent. Si vous avez une petite île du Pacifique.... Nous avons eu des gens d'Indonésie, vous savez combien d'îles ils ont, ils ne peuvent même pas les compter. Le plan de préparation est complètement différent parce que le point d'entrée d'un agent, d'un virus, qu'il soit chimique ou d'origine alimentaire ou d'infections... les infections peuvent être le virus ou d'origine alimentaire. Et puis nous avons tout ce qui est chimique ou de rayonnement. Mais de toute façon, c'est différent des régions montagneuses de la Suisse, ou c'est du désert ou de l'Arizona ou du Mexique ou de l'Afghanistan où il y a encore des zones de guerre.
Chacun a donc dû dessiner son système de santé et imaginer sa boîte à outils pour un plan de préparation. Il fallait qu'il soit contextualisé, qu'il y ait une transmission de l'information où que ce soit, qu'il y ait les quatre maladies. Et je vous présente ici l'instrument de décision que chacun, dans chaque pays, doit examiner pour voir s'il s'agit vraiment de quelque chose d’important à notifier à l'OMS, et éventuellement à considérer comme une épidémie, une pandémie et lié la santé publique.
Si c’est grave ou non, il s'agit généralement de décès ou de maladies graves. Nous devons savoir si c'est inconnu et inhabituel. Les Coronavirus sont connus. C'était étrange, mais pas plus. Le risque de propagation internationale se présente quand il a franchi la frontière, que cela met en danger les voyages et les commerces. C'était un point très important de cette formation est d'essayer de ne pas arrêter l'économie.

DEL BIGTREE :
Et c'est une priorité.

ASTRID :
Oui, parce qu'ils savent et vous l’ avez dit, que cela apporterait la pauvreté. Donc, il s'agissait de maintenir tout en marche, mais avec une sécurité qui s'applique au contexte du pays. Si vous avez de petites îles, vous êtes protégés, vous arrêtez les bateaux, mais vous n'avez pas besoin de confiner si vous êtes sur une île du Pacifique surtout quand personne ne vient sur votre île.

DEL BIGTREE : Exact.

DEL BIGTREE :
Je ne veux pas laisser passer ça. L'objectif, vraiment, lorsque vous vous rendiez à la réunion de l'OMS avec ces différentes nations pour parler de la préparation à une pandémie de maladie, de virus ou d'origine alimentaire, quelle qu'elle soit. L'objectif premier était de savoir comment résoudre le problème sans arrêter l'économie, sans empêcher votre nation de bouger. C'était l'objectif numéro un. Donc tout le reste. Je suppose donc que quelque part sur la liste, il peut y avoir une situation extrême où il faudrait peut-être arrêter l'économie, mais cela aurait été en dernier recours, dans le pire des scénarios. Nous allons devoir tout arrêter.
Et ce que nous avons vu dans le monde à ce qui me semble encore être un mauvais rhume. Il a quelques problèmes, peut-être que cela affecte très mal certaines personnes dans les catégories à haut risque. Mais pour la plupart, les jeunes, les jeunes gens, la plupart des adultes, ce n'est pas un si gros problème, et ils ont sauté si rapidement sur l'arrêt des économies, l'arrêt de nos vies. C’est comme si c’était en numéro 1 alors que cela aurait dû être en numéro 100.

ASTRID :
Oui. C’est out à fait exact. Et c'est exactement ce qui m'a choqué. J'étais en Corée du Sud ,et lorsque je suis revenue, soudainement le virus était déjà plus présent ici et nous avons fait le confinement. Je me demandais ce qui se passait. Et je pense que l'une des explications est que nous avons des technocrates derrière cette pandémie qui ont utilisé la transmission de l'information par les médias d'une manière sans précédent, vous voyez, vous pouvez envoyer l'information au monde entier. Et si vous avez remarqué dans chaque entreprise, le message est identique partout dans le monde, que ce soit en Suède et en Australie, en Afrique.
Je n'ai pas beaucoup voyagé récemment, mais là où j'ai voyagé, c'est le même message dans les aéroports. Ils ont utilisé, et je soupçonne qu'ils ont utilisé les ministres de la technologie et des télécommunications parce qu'ils ont eu tellement de temps de2012 à 2020 pour connaître et corrompre tous ceux qu'ils voulaient dans la chaîne de transmission des Nations Unies. C'est un jeu parfait. Les Nations Unies sont un plan parfait. Donc ils ont vraiment bien envahi, pris le pouvoir, et corrigé. Et si vous voulez des télécommunications, vous n'avez qu'à aller aux États- Unis parce que, voyez-vous, une pandémie est une question de transport, de routes dans le pays. Il ne s'agit donc pas seulement de médecine. Et peut-être que les gens ne comprennent pas qu'un plan de préparation n'implique pas seulement les médecins, la médecine et les professionnels de la santé. Ils sont importants, mais tout le monde est concerné, les écoles, les gens. Et je dis toujours que les gens devraient eux-mêmes se préparer.

DEL BIGTREE:
Oui. Très bien. Donc clairement, il ne s'agit pas seulement de santé. Ce n'est pas dirigé par la science. Il n'y a pas de scientifiques qui prennent la décision. Une des choses que vous avez dites dans l'interview, et ce que vous dites est vrai , vous dites : "Où étaient les scientifiques du premier SRAS ? Où étaient ceux qui ont étudié le virus dans le virus original ? Ils doivent avoir des connaissances. Ensuite, on ne vous a remis aucune donnée interne à l’OMS qui aurait permis aux scientifiques de s'exprimer sur ce qu'ils recherchaient sur le SRAS, ainsi que sur le COVID .

ASTRID :
Oui. Et vous voyez, une de leurs illusions est de prendre des gens qui sont incompétents et qui ne peuvent pas vraiment parler du sujet parce qu'ils ne sont pas des experts. Et ils l'ont fait avec les journaux. Et, par exemple, déjà dans le scandale Ebola, j'ai connu le docteur Fromentin de France. Il était l'un des premiers experts avec qui nous avions l’habitude d’avoir des cours. Et je ne l'ai jamais entendu parler. Je n'ai jamais entendu s’exprimer certains des meilleurs scientifiques et ceux que vous avez entendus, d'ailleurs, comme le groupe de travail, comme la Task force Science en Suisse, vous pouvez regarder et ils ont tous des conflits d'intérêts. Ils sont payés. Et je pense que le Dr Kulo l'a très bien dit. Il a dit qu'il avait réalisé que toute la chaîne de décision académique était corrompue par les conflits d'intérêts. Et je peux vous dire qu'en Suisse et dans de nombreux endroits, il suffit de regarder l'OMS ou où nous en sommes maintenant dans les universités et les hôpitaux universitaires, ceux qui faisaient l'Alliance ont été payés. Leur laboratoire a été payé, et cela l’a été de plus en plus depuis 2012 jusqu'à maintenant.

DEL BIGTREE : Exact.

ASRTRID :
Et ils l'ont censuré. Donc nous devons voir que la science est en grande difficulté. Elle est corrompue, bourrée de conflits d'intérêts. Les définitions ont changé. Les gens qui parlent et qui ont le micro sont ceux qu'ils veulent faire parler. Donc les nouvelles que vous recevez ne font l’objet d’absolument aucun débat. Et c'est là que vous pouvez voir à quel point tout ceci est malade. C'est très mauvais. Et quand il s’agit de Loannidis, , ils l’l’affichent, mais Ils n'en parlent pas. Ils l'ignorent. John Loannidis a un excellent article dans le bulletin de l’OMS, et personne n'en parle dans le haut-parleur.

DEL BIGTREE :
John Loannidis, et nous devrons l'afficher, nous nous assurerons que tout le monde le reçoive puisque vous l’avez tellement mentionné, je veux y jeter un coup d'œil. Nous n'avons pas couvert ce papier spécifiquement, beaucoup de gens comme lui, cela me rappelle un autre invité que nous aimerions avoir dans cette émission. En fin de compte, évidemment, vous vous sentez assez obligée de vous exprimer publiquement aujourd’hui. Pourquoi avez-vous pris cette décision ? Je veux dire, ça ne peut pas être bon pour votre carrière. Ce n'est pas bon pour votre image en Suisse où vous vivez. Qu'est-ce que vous espérez réaliser ?
Que peuvent faire gens qui regardent cette interview en ce moment même ? Que doit-il se passer ? Je pense que nous sommes impliqués dans le processus de sauvetage de la science. Nous devons sauver la science, ou nous assisterons à la destruction de tout ce que nous savons être vrai se casser la figure, nous n'aurons peut-être aucun contrôle sur cela. Alors que pouvons-nous faire ? Quel est votre espoir en vous exposant et en avertissant sur ces choses comme cette connexion à Gavi, Tedros, peut-être juste mis en place à l’OMS par Bill Gates. Ironiquement, je n’ai jamais pensé au fait que deux des principales voix dans le Centre de cette pandémie ne sont ni des scientifiques ni des médecins. C'est vraiment choquant. Mais quel est votre espoir ? Que pouvons-nous faire ? Comment pouvons-nous aller de l'avant ?

ASTRID :
Oui, c'est une bonne question. Eh bien, la raison pour laquelle je fais cela est d'expliquer aux gens. J'ai commencé par écrire un article. Puis on m'a demandé de parler à la radio à-propos du test PCR, et je faisais des recherches, et j'essayais de trouver un diagnostic bio acoustique avec le PCR, et j'ai vu que ça ne marchait pas. J'ai fait appel aux laboratoires. J'ai vu que c'était impossible de faire des recherches avec ces instruments. Et j'ai réalisé que les gens étaient vraiment corrects. Ils avaient tellement d'équité, ils étaient dans l’incompréhension, dans l’gnorance que j'ai pensé que je devais parler. C'est la première chose.
La deuxième est que j'ai eu un problème avec l'Université de Genève parce que j'ai dénoncé le faux CV d'un professeur de médecine, qui n'avait aucune qualification. Maintenant, ils veulent un accord parce que je parle, vous voyez, et il y a d'autres problèmes, ils ont mis à la tête de l'Institut de santé globale, quelqu'un qui a travaillé avec les vaccins, et il m'a forcé à mettre sur une photo sur le cours d'été sur les droits de l'homme et la santé globale. Il y avait un vaccin sur la photo.
Je comprends donc maintenant ce qui se passe. Et je n'ai aucun conflit d'intérêt et je n'ai pas besoin de leur travail. J'ai donc ma réputation et je travaille maintenant pour des avocats afin de faire des rapports. Je vois donc une opportunité pour tout le monde de sortir du système, de dénoncer maintenant ce qui se trame depuis des années et des années. La faculté de médecine n'a pas voulu que je développe mon cours sur la médecine préventive, et ils voulaient vendre le traitement des maladies, le vaccin contre les maladies. Et je pense que nous avons beaucoup mieux à dire: nous sommes des gens sains, nous avons un incroyable pouvoir de régénération, notre immunisation est notre immunisation naturelle, et ils ont même interdit cela. Donc vous ne pouvez pas rester silencieux parce qu'alors vous y contribuez. Vous contribuez au crime. Et donc je pense qu'ils ne se soucient pas de ce que je dis parce qu'ils sont si arrogants. Ils sont sûrs qu'ils vont gagner. Et je pense que nous devons tous être ensemble pour gagner et pour créer un nouveau monde où il y a une nouvelle médecine et une organisation de la santé, pas une organisation de la maladie, où nous croyons à nouveau en ce que nous avons appris de nos ancêtres, et nous avons beaucoup à dire sur la guérison par fréquences électromagnétiques, et beaucoup d'autres guérisons naturelles. Et d'ailleurs, nous trouvons encore plus de vaccins, et le Dr Mikovits l'a dit aussi, la suramine, et les aiguilles de pin, et le germanium et il y a même une désintoxication du sang du graphène, glutathion. Donc, nous trouvons et cela va être le changement. Je pense qu'il est que de cette horreur va naître un nouveau monde, mais nous devons gérer cela .J’ai très envie de contribuer de mon mieux au nouveau monde.

DEL BIGTREE :
Eh bien, je vous remercie d'être venue. Je pense que nous sommes exactement sur la même longueur d'onde. C'est notre objectif avec Highwire. Je vois un nouveau monde devant nous. Je suis d'accord avec vous. J'ai dit récemment, même avec certains de mes propres problèmes de santé, que la médecine a changé. La médecine a évolué. Il y a des choses qui se passent en médecine, des fréquences énergétiques, toutes ces choses qui sont tellement époustouflantes dans les technologies qui existent que je crois vraiment à bien des égards. J'ai dit que c'est comme si les hommes des cavernes de la médecine étaient nettoyés jusqu'à leur dernière prise sur l'humanité et essayaient, apparemment, par le biais d'un bâtiment géant à Genève, en Suisse, appelé Gavi, d'imposer leur volonté de leur approche archaïque de la santé, qui n'a rien à voir avec la prévention mais seulement avec la maladie. Vous savez, le Centers for Disease Control est vraiment le nom parfait pour ça. N'est-ce pas ? Contrôlons la maladie. Contrôlons les gens par la maladie. Je pense qu'il y a quelque chose de l'autre côté de ça. Je tiens à vous remercier d'avoir eu le courage de vous exprimer, et j'espère que nous pourrons continuer à converser si vous trouvez plus d'informations.
Je connais Gavi , je sais à quel point ils sont puissants, à quel point ils sont intouchables là-bas et Genève, en Suisse, nous met sur une nouvelle piste pour enquêter. Je tiens à vous remercier pour tout votre travail. Vous êtes vraiment une héroïne, et je vous souhaite le meilleur dans vos voyages.

Astrid: Dale, Merci à vous, c(est un plaisir.

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