Traduction par Digitrad. Quoi de neuf tout le monde, bienvenue à nouveau à "Penser comme un criminel". C'est «Little Apostate». Vous savez, je voulais juste répondre à un commentaire que j'ai reçu car en fait pour la première fois j'ai bloqué quelqu'un. Vous savez, les femmes n'aiment pas être traitées de folle et quelqu'un m'a traité de malade mentalel. En fait ça va, vous pouvez m'appeler comme vous voulez. Certains me traitent de malade mentale parce que je me soucie de ce qui se passe dans le monde pour des choses que je ne peux pas contrôler. Et bien, si chacune, chacun dans l'histoire s'était senti trop petit pour faire la différence, alors nous serions probablement dans une situation bien pire que maintenant. Et peut-être, peut-être dans certains cas, nous serions dans une meilleure situation grâce au progrès, ce que je veux dire que je me suis répété un million de fois dans ma tête mais on peut progresser jusqu'au fond du trou. Cependant, tous les progrès que nous voyons en ce moment sont totalement inutiles et servent à 100 % des objectifs bizarres, clairement. Et les gens se lèvent pour combattre cela mais ils ne se battent pas vraiment contre quelque chose car ils suivent le courant. Toutes les personnes impliquées dans l'agenda trans et ce genre de choses, il y a peu ou pas de résistance sur ce front maintenant parce que les gens qui ont le plus de pouvoir, le mettent en avant. Et je ressens personnellement beaucoup de résistance, j'ai l'impression d'aller à contre-courant avec ce que je fais qui est littéralement juste d'essayer de réveiller les gens sur ce qui se passe, que quelque chose de plus grand est en jeu. Vous savez, vous pouvez me traiter de folle, vous pouvez dire que je suis mentalement dérangée mais cette personne disait aussi que je suis un malade mentale parce que je m'intéresse à ce qui se passe dans le monde et pas à ma propre vie. Primo, peut-être que je l'ai mal formulé, mais je me soucie toujours de ma vie, c'est pourquoi je ne me ferai pas vacciner. C'est pourquoi je travaille tous les jours. C'est pour ça que je lis et que je réfléchis, parce que j'aime cette petite chose qui se passe dans ma tête tout le temps et qui me rend plus vive d'esprit, me rend plus forte, me rend moins sensible aux réactions émotionnelles que je sais inutiles. Et c'est ce qui s'est passé le week-end dernier, quelqu'un m'a attaqué verbalement et a essayé d'avilir quelque chose qui se passe dans ma vie, d'une manière infâme et repoussante. Et au lieu de réagir comme je l'aurais fait il y a quelques années, en paniquant, en me prenant le bec avec cette personne, tout ça, je l'ai juste ignoré. Et je suis passée à autre chose, et ces petites choses mesquines que beaucoup de gens font, auxquelles ils prêtent attention...sont parmi les raisons pour lesquelles nous sommes là où nous sommes aujourd'hui, c'est-à-dire un pays plein de gens qui sont tellement prêts à se soumettre à la pression des pairs qu'ils feraient n'importe quoi, tout ce que quelqu'un leur dit de faire. Et le seul but de mon intervention est de vous dire de ne pas faire ce que tout le monde vous dit de faire. Mais nous avons tous vu, nous avons tous entendu les citations qui disent que quand quelqu'un saute d'une falaise, allez vous le suivre, juste parce qu'il l'a fait? Si vous voyez un troupeau courir vers une falaise, vous courez dans la direction opposée, n’est-ce pas ? C'est ce que vous devriez faire, c'est ce que tout le monde devrait faire. Mais trop de gens l'ont oublié. Quand j'avais l'habitude de dire à ma mère dans le temps : «Je veux faire comme tous mes amis font» et elle me répondait invariablement : «oh si tous tes amis sautaient d'une falaise, tu le ferais aussi?». C'était si simple et elle avait raison. Vous ne devriez jamais faire ce que tout le monde fait juste parce qu'ils le font. Juste parce que tout le monde ne s'exprime pas, juste parce que ça pourrait me faire passer pour une folle, que je suis assez hallucinée pour penser que je peux apporter un petit changement dans le monde. Mais j’ai déjà vu cela se produire. Je l'ai déjà vu se produire grâce à des gens qui m'ont contacté pour me dire que j'avais modifié leur façon de penser..., mon frère m'a appelé aujourd'hui, juste pour me parler, mais on a fini par avoir une conversation. Il est de plus en plus au courant de tout ce qui se passe et bien qu'il ne soit pas aussi avancé que moi, il pense à toutes ces choses. Et c'est quelque chose qui me fait sentir, ... je ne pense pas qu'il y ait un sentiment aussi fort que celui-là, quand quelqu'un que vous aimez inconditionnellement voit les choses différemment pour la première fois. Quelqu'un qui, je le sais, a dû faire face aux problèmes de pression de ses pairs, de le voir commencer à rejeter cela. C'est un sacré bon sentiment. Et je n'échangerais ça pour rien au monde, je ne l'échangerais pas contre le confort de l'acceptation, je ne l'échangerais pas contre... prétendre que tout va bien alors que ce n'est pas le cas, vraiment. Oui, je pourrais me concentrer uniquement sur moi-même, ce que je fais déjà d'ailleurs. C'est pourquoi je ne sors plus. Je m'assois ici, j'enregistre des podcasts, je m'entraîne, je vais au travail et cela recommence tous les jours. Je ne ferais pas de sport, je n'irais pas travailler si je ne me souciais pas de moi. Je ne marcherais pas autant que je le fais, je ne prendrais pas le soleil. Tout ça c'est pour ma propre santé et pour avoir une bonne situation financière. Je me soucie de moi mais je ne me soucie plus des choses ordinaires, je ne me soucie plus des convenances sociales comme faire semblant de me soucier de ce que les autres pensent car c'est le cadet de mes soucis. Et vous savez, quand j'ai parlé de ce commentaire sur la maladie mentale, j'ai senti que j'avais besoin d'en parler car quelqu'un qui pense que c'est une maladie mentale d'imaginer un monde meilleur, c'est le moyen de s'assurer que le monde reste exactement le même et de s'assurer que les gens qui sont vraiment des malades mentaux et qui dirigent tout ça, continuent à le faire pour toujours, sans que personne ne comprenne jamais ce qu'ils font. Pendant longtemps, j'ai essayé de prendre tout ce que j'entendais avec un brin de défiance, de ne pas prendre à la lettre parce que je ne voulais pas avoir l'air folle mais j'ai regardé l'autre soir un reportage d'Alex Jones, qui date d'il y a longtemps, dans lequel il dénonce le groupe Bohemian Grove. J'ai entendu parler du Bohemian Grove, des gens m'ont dit de le regarder, mais l'idée que les élites mondiales fassent ça...c'est tout simplement insensé. À moins que toutes ces séquences soient mal montées, mal filmées ou trafiquées, ils s'habillent avec des capes, vénèrent une chouette et peut-être sacrifient des humains, comme si c'était quelque chose qu'ils faisaient naturellement. Et pourtant, on vous traite, vous, de malade mental, si vous pensez pouvoir réveiller les gens sur ce qui se passe. Et cela peut devenir quelque chose de si important que cela relativise tous les petits problèmes habituels de la vie quotidienne. C'est ce qui vous fait être traité de «dérangée». Et désormais, ce qui vous fait aussi être traité de fou, de stupide et autres, c'est d'avoir une opinion sur tout ce qui se passe dans le monde alors que vous n'êtes pas un expert. J'ai vu beaucoup de discussions ces derniers jours à cause de l'insurrection des talibans. Les gens sur ma frise chronologique (timeline) disent que vous pouvez choisir de vous taire quand vous ne savez rien, et écouter les experts. Les experts sont la raison pourquoi tout cela arrive. On écoute Fauci en tant qu'expert. Fauci a saboté la crise du sida. Fauci est la raison pour laquelle les gens ont cru que le contact direct, de peau à peau, transmettait le sida. Fauci écrivait des articles alarmistes pour que les gens détestent les personnes atteintes du SIDA. Mais , «écoutez les experts, ce sont eux qu'il faut croire tout le temps. Ne vous écoutez jamais, n'écoutez jamais votre instinct, laissez les autres vous guider.» Mais enfin, non ! Je ne vénère pas le diable !, j'écoute et lis tout ce que je peux, j'essaie vraiment de comprendre ce qui se passe, j'essaie vraiment de faire en sorte que les autres aussi essaient de comprendre ce qui se passe. Je n'ai jamais prétendu être une experte, je ne le serai jamais parce que je ne pense pas qu'il y ait un moyen possible d'être réellement un expert dans ce monde. C'est juste qu'écouter les experts, un terme si superficiel, c'est une telle absurdité pour quiconque remet en cause les experts. «Juste, écoutez-les !». Mais écouter les experts, c'est comme ça que les talibans... c'est comme ça qu'on a quitté l'Afghanistan, ce pour quoi je suis anti anti/ pour. J'ai vu quelque chose l'autre jour qui disait : "Comment peut-on être pour la guerre ?" Je ne pense pas que nous n'aurions jamais dû aller en Afghanistan en premier lieu. Mais vous savez, les experts disaient que nous devions aller en Afghanistan pour combattre cette menace, les experts ont dit que nous devions nous retirer d'Afghanistan et les experts ont dit que l'Afghanistan ne s'effondrerait pas. Les experts ont dit tout ça, notre Président a dit ça et pourtant les talibans ont repris le pouvoir immédiatement après notre retrait. Donc, si vous croyez sérieusement que les experts savent vraiment quelque chose et qu'ils ne font pas que parader en robe, boire du sang ou autre chose et coucher ensemble, je ne sais pas quoi te dire parce que c'est ce que font ces foutus d'experts! On est juste autorisés à écouter les experts. Je fais beaucoup plus confiance aux personnes qui ne se présentent pas comme des experts mais qui ont peut-être une expérience dans quelque chose et qui se disent : «Hé, ça semble bizarre, peut-être que ce n'est pas juste». Donc oui, questionnons tout, où avons-nous perdu ça, où avons-nous juste décidé qu'une fois que le terme expert est appliqué à quelque chose, cela signifie que vous n'avez plus besoin de le remettre en question. «Vivez votre vie, ne remettez rien en question, sinon vous êtes un malade mental». «Ne vous préoccupez pas du fait que Bill De Blasio vient de devenir complètement fou en mettant en place des passeports vaccinaux, vivez simplement votre vie.» Je suis si heureuse de ne plus être à New York, mais ma famille y est toujours. La pression qu'ils vont subir, je le sais à cause de ça, fait mal. Et je ferai tout ce que je peux, malgré ce que disent vous sales experts, pour combattre cette étrange poussée autoritaire, cette prise de contrôle autoritaire de nos corps. Oui, je ne suis pas d'accord, alors peut-être que ça fait de moi une malade mentale, mais je ne me sens pas malade. J'ai juste l'impression de voir quelque chose que les autres ne peuvent pas voir et qu'ils ne peuvent plus voir. Je me souviens l'avoir vu, je me souviens que maintenant, quand je marche dans la rue, je regarde tous ces bâtiments, une tour et je peux voir les gens dans leurs "petites cases" se déplacer comme je suis sûre que quelqu'un peut passer par là et me voir ici avec ma lampe circulaire allumée, ils peuvent le faire comme si je faisais partie de l'expérience. Tu vois ces gens qui vivent leur vie dans ce somptueux complexe d'appartements. Mais en réalité, ils ne possèdent rien et quand vous commencez à voir les choses de cette façon, vous vous dites : "Tout ça, c'est vous et l'Agenda 21, ça fait partie de ce plan pour nous rendre complètement dépendants du gouvernement, complètement dépendants de tout le monde sauf de nous-mêmes. Ça ne vous rend pas fou, ça veut juste dire que vous n'êtes pas aveugle. Donc, je ne sais pas si j'ai été.., il y a toujours une partie de moi qui se demande quelle est la solution à part rester assis devant la caméra. Et je pense vraiment que c'est de se retirer, comme on s'est retiré de l'Afghanistan, de se retirer de ça, de se retirer de ce genre de vie dès que possible. Vous savez, j'essaie de le faire de manière intelligente en essayant de trouver ce que je peux faire dans un futur proche avant que ça devienne impossible de sortir de ce que je considère comme une prison. J'essaie de trouver une solution pour ma propre vie parce que oui, je me soucie toujours de ma propre vie, mais je continue, je pense et je sens que c'est là que je me sens très délirante comme si tout le monde devait se débarrasser de son smartphone parce que je sais, non non, je sais que certaines personnes seraient prêtes à le faire mais la plupart ne le feront pas. Alors oui, j'essaie parce que tout ce système dont nous sommes devenus une partie, ne nous mène nulle part humainement. Et je veux vraiment, je veux juste être humaine et je veux tout ce qui va avec : la souffrance, la joie, la tristesse.... je souhaite tout ça. Je ne veux pas de ce monde bizarre et robotique où on ne peut rien remettre en question, où vous ne devez écouter que les experts, où tout est vérifié par des jeunes de 22 ans assis dans les bureaux de Facebook, portant des vêtements chers et ne prenant pas soin d'eux-mêmes, avec des vaccins qui coulent dans leurs veines. Non, merci. Très bien, je vais vous laisser, je vous parlerai plus tard. Merci d'avoir écouté et comme toujours, aimez vous abonner, les commentaires comptent beaucoup pour moi, merci d'être là, je vous apprécie beaucoup.