Édité le 6 janvier 2022
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Rp off n°1 : Soirée (suite de More and more - Partie 2 - +18)

Aoi

Tu sors de la voiture, souriant au chauffeur avant qu’il ne parte. Un remerciement. Vous êtes seul. Tu pénètre à l’intérieur de ses murs et le silence s’arrête brusquement. Tu souris de surprise en l’écoutant. Quoi ? Qu’est-ce qu’elle raconte. Tu n’as pas soif et tu n’as pas faim. Tu es tiraillé par diverses émotions. Tu t’avances de quelques pas, les lèvres s’ouvrant pour parler mais rien ne sort. Tu es devenu muet ou quoi ?! Non. Elle s’arrête et te tourne en ta direction, marchant pour venir se coller à toi. Tes yeux sont ronds. Qu’est-ce qui se passe ? Tes mains contre ton corps, elle te câline. Tu serres les dents en l’écoutant. Elle s’excuse mais pourquoi ? Tu ne comprends pas. C’est toi qui l’as abandonné sans finir la conversation. Tu es paralysé. Culpabilité. Tes deux mains se lèvent pour venir se poser avec une grande douceur contre le corps de la femme. Tu veux l’étreindre avec énergie mais tu te retiens d’être brusque. Un contrôle inexplicable et certainement involontaire.

- C’est moi qui devrais m’excuser, tu n’as rien de mal au contraire…je t’ai simplement ouvert mon cœur mais j’ai été terrifié et j’ai pris la fuite sans penser à ce que tu voulais.

Légère pause. Ta tête venant contre la sienne, cheveux mélangés. Ton regard est hésitant. Tu as peur de dire une connerie supplémentaire. Tu n’es pas un faible. Tu berces la demoiselle entre tes bras l’amenant doucement contre l’un des murs de la maison. Non ! Ne fait pas… Irrécupérable, tu es le diable. Tu la plaques contre le mur, en douceur c’est une évidence. L’une des mains venant se poser contre le mur alors que l’autre détache ta cravate beaucoup trop serrée à ton goût. Elle n’est pas comme les autres, alors, pitié, ne la traite pas comme tes petits jouets insignifiants. Ton regard azur se plonge dans le sien, il est intense, profond. Vos visages ne sont plus très loin. Tu es un dominant, imposant de ton statut, de ta carrure, de ta personnalité. Tu ne joue pas, tu la regarde avec sérieux, le souffle lent. Cœur battant, prenant sa main pour la poser sur ta poitrine.

- Dis-moi tout…tout ce qui traverse ton esprit, ce que ton cœur réclame. N’hésite pas, devient égoïste et partageons notre ressentit.

Voix sincère, réclamant des comptes.

- Pourquoi moi ?

Tu lui retourne son questionnement

- Je ne suis pas quelqu’un d’acceptable, j’ai un passé noir et un cœur brisé, tiraillé par le passé.

Vérité dévoilé à nouveau.

- Nous sommes différents et pourtant, tu me comprends à la perfection.

Un sourire joyeux.

- Je te regarde et je ne peux pas détourner les yeux de toi. Pourquoi toi ? La question est difficile. Je ne suis pas n’importe quel garçon, je ne peux pas te répondre simplement : parce que tu es belle, intelligente, gentille, compatissante. C’est beaucoup trop simple et il y a tellement plus à dire à ton sujet.

Beau parleur mais sincère. Un soupirement, tu ne rigoles pas. Tu lui montres ton vrai visage. Tu as le regard légèrement perdu mais il est tellement beau, tu veux lire dans son âme.

- Qu’est-ce que tu veux qu’on soit ?

Diable. Terrible monstre. Tu es lâche, lui demandant de répondre à une question si terrible. Tu avances ton visage du sien, ton regard descendant sur ses lèvres. Tu es attiré, ton désir grimpant mais tu es respectueux et il est hors de question de faire une nouvelle connerie. Tu mordilles ta lèvres, séducteur, montrant ta véritable nature mais tu ne voles rien. Tu te retiens de prendre ses lèvres. Arrête et bouge-toi ! C’est à elle de décider ? Non à toi. Non, tu ne veux pas la forcer, il faut que cela vienne d’elle. La main poser sur le mur se décale, venant caresser la joue de la jeune femme. Tu es trop proche.

- Tu peux également me repousser, me gifler…si tu n’apprécies pas mes dires, mon comportement. Ne te retiens pas avec moi.

Un léger rire, un sourire joueur, amusé. Une précision qui n’était pas forcément utile mais qui fera redescendre la pression. Ton cœur va exploser. Tu laisses la peur de côté, te comportant comme un homme.

Hime

Proximité. Contact qui te semblait encore impossible à atteindre il y a quelques minutes. Mais tu as osé, élan de courage qu'on te connaît tant, geste impulsif qui paralyse toujours ceux qui apprennent à te découvrir. Ses paroles et ses gestes te bercent, te rassurant sur un point ; plus que tout, il est sérieux à cet instant, honnête. Tu peux le ressentir, connexion inexplicable, phénomène presque surnaturel. Ton corps frêle entre lui et le mur, ta respiration se coupe l'espace d'un instant, surprise lisible sur ton visage face à un tel élan de confiance. Mais tu n'as pas peur, Hime. Tu attends, attends de savoir ce qu'il va te dire, ce qu'il va te faire, s'il ose même tenter quelque chose. Aveux te faisant ressentir une vague de colère. Question te perdant dans les abysses de l'ignorance. Il veut que tu parles. Il veut savoir pourquoi tu l'as choisi. Il t'avoue que tu représente plus qu'une simple fille pour lui. Il te demande de faire des choix, d'être toi. Cruel. Tu l'écoutes jusqu'au bout, traitant chacun de ses mots, chacun de ses gestes. Esprit embrumé l'espace d'un instant, parfum que tu as l'impression de connaître depuis un éternité, souffle chaud sur ton visage, sur tes lèvres encore scellées. Que veux-tu Hime ? À cet instant précis, sur le long terme. Ce n'est pas la première fois que tu te poses cette question mais tu n'y as jamais trouvé de réponse claire.

- Je vais répondre à ta première question en te donnant la réponse que tu m'as donné tout à l'heure mais en simplifiée ; je ne sais pas.

Sourcil haussé, sourire en coin.

- Est-ce là le vrai Aoi ? Il y a plus que ça, je me trompe ?

Pause.

- Tu veux que je te parle ? Que je sois pleinement moi-même ? C'est ça que tu désires ?

Tu lèves la main, attrapant sa cravate dans un geste délicat mais pas tant que ça non plus.

- Ne me dit plus jamais que ton cœur est noir. La prochaine fois, je t'en colle une.

Voix sans appel et pourtant terriblement douce. Mélange exquis.

- Peu importe ce que nous sommes et ce que nous serons. Je veux te connaître. Je veux être unique. Je veux que tu sois toi, avec tes forces mais aussi avec tes faiblesses. Je veux voir tes côtés les plus vulnérables. Mais jamais, au grand jamais, je ne serais un de tes pitoyables jouets. Je ne l'ai jamais été pour qui que ce soit et ce n'est pas toi qui va changer ça.

Toujours cette même voix. Pourtant, un regard doux. Il joue avec le feu, et tu peux l'éteindre comme le déchaîner. Tu es prête à plonger au fin fond de l'océan, ou au contraire, à te jeter dans les flammes. Léger mouvement sur sa cravate, tu le tires encore plus près de toi, lèvres se frôlant presque. Voix suave.

- Alors soit tu comptes tenter de faire de moi ton jouet, et dans ce cas tu t'écartes de suite ou ce n'est pas ma main dans ta figure que tu recevras... Ou on est d'accord et tu réponds à mes attentes. Et là, soit tu décides de t'éloigner de suite et on fait comme si de rien n'était, soit tu ne te gênes pas et tu finis ce que tu viens de commencer.

Terrible. S'il veut être le dominant, qu'il le soit, ça te convient. Qu'il prenne, tant qu'il respecte tes volontés. Tu sais comment faire avec ce genre de personne. Et tu es prête, peu importe sa réponse.

Aoi

Une situation inattendue ? Non. Tu as fini de faire le beau ? De parler ? D’exprimer ton souhait ? Tu espères que tes mots soient entendus, écoutés et qu’ils aboutiront à quelque chose. Tu vois sur le visage d’Hime qu’elle t’écoute. Il y a de tout, de la colère, de l’incompréhension, du doute, de la surprise. Un peu de tout ! Tu aimes cette sensation. Terrible démon revenant te hanter. Une proximité qui t’attire, t’excite malgré quelle soit différente des autres. Tes gestes commencent à révéler ta véritable personnalité. Tu es quelqu’un de tactile, ta douce paume caressant le visage de ta fleur. Hésitant entre agir ou te retenir. Il y a des signes qui ne trompe pas, tu veux lui sauter dessus mais impossible, ton corps ne réagit pas. Ton cœur s’arrêtant à cause d’une guerre avec ton cerveau te rappelant certaine chose comme cette promesse d’enfance… Elle parle, stoppant cette pensée. Elle t’a cernée, tu ne montres pas ton vrai visage, en tout cas, pas intégralement. Tu deviens plus neutre. Qui est cette fille qui arrive à lire ne toi ? Tu écoutes, attendant qu’elle t’explique, quelle réponde à tes différentes interrogations. Pression. Elle attrape ta cravate, tu es surpris mais tu aimes cette manière d’agir. Sourire joueur s’affichant sur ton visage diabolique alors qu’elle commence à être plus sérieuse. Tu découvres une nouvelle facette qui t’attire davantage. Elle n’hésitera pas à te frapper s’il elle t’entend évoquer la noirceur de ton cœur. C’est une vérité pourtant non ? Tu le penses. Unique ? Elle veut te connaître en long, en large et en travers. Force et faiblesse, tu grimaces légèrement. Tu hausses un sourcil au mot jouet. Leger rire s’échappant de toi, tu n’as pas résisté. Quel caractère de feu. Elle n’est pas aussi fragile que tu le pensais ? Oui. Tu aimes ? Tu adores. Tirant sur ta cravate, ton visage s’approche du sien, vos lèvres se frôlant. Elle est dominatrice ? Tu ne sais pas mais elle est claire sur certaines conditions.

Elle ne doit pas devenir ton jouet. Elle t’offre différentes possibilités mais… Mordillement de lèvre, excitation montante. Tu aimes ce genre de situation. Challenge arrivant à tes oreilles. Elle t’énerve sur certains points. Main sur la joue se déplaçant dans la nuque de la demoiselle, regard perçant dans le sien. Tu hésites. Pour qu’elle raison ? Tu as peur qu’elle devienne un jouet ? Oui. Tu as peur de sortir véritablement avec une fille et d’arrêter de t’amuser à briser le cœur de ses demoiselles. Tu pourras toujours le faire mais d’une manière différente. Souffle chaud contre ses lèvres. Moment de réflexion nécessaire. Non, bouge tes fesses avant que…trop tard, elle est là ! Envahissant tes pensées, cette fille qui t’a laissé mais qui est revenu dans ta vie, il y a peu. Ton cœur se déchire en deux, tu ne peux pas lui faire cela ! La trahir. Regard démoniaque apparaissant sur ton visage. Colère grimpant sans aucune raison. Qu’est-ce que tu veux ? Main libre se serrant fortement alors que tu penses au passé.

- Tu n’as jamais été un jouet à mes yeux.

Phrase sortant de nulle part mais une précision importante avec une voie indiquant ta tristesse. Main libre attrapant la main tenant ta cravate pour qu’elle te lâche. Tu n’es pas brusque dans ta manière d’agir. Tu as pris ta décision ? C’est une erreur et tu le sais… Tu recules d’un pas puis d’un deuxième, main lâchant la sienne. Corps chaud s’éloignant l’un de l’autre. Tu renonces ? Sérieusement. Un dernier regard avant de tourner le dos à cette magnifique créature. Un regard indescriptible. Ton cœur se serre, qu’est-ce qui se passe. Tu as mal, tu souffres. Pitoyable, tu me déçois. Elle te plait cette fille ?

- Et puis merde !

Murmure significatif. Tu n’es pas un garçon raisonnable. Dans tous les cas, un cœur sera brisé non ? Rapidement, tu te retournes vers Hime pour détruire la distance, le mur que tu viens de créer. Tes deux mains se posant sur le visage de la demoiselle, l’écartant du mur pour l’obliger à s’approcher de ton corps d’athlète. Tu te penches et tes lèvres approchent les siennes, yeux bleus se fermant. Tu voles ses lèvres, un baiser doux mais brulant de désir. Passionnée mais énergique. Il ne ressemble à aucun autre. C’était impossible. Tu mordilles sa lèvre inférieure avant de rompre le baiser la regardant dans les yeux.

- Je te veux corps et âme !

Un second baiser plus délicat et plus court.

- Unique, tu l’es déjà ! Je me donnerai à toi, tu pourras tout voir, tout savoir…

Inquiétude envolée. Un regard endiablé, séducteur, véritable, honnête. Tes mains commençant à parcours son corps avec intérêt. Tes lèvres glissant sur son cou. Tu vas la faire fuir… Tu montres ton vrai visage. Tu mordilles sa jugulaire, tu ne lui fais pas mal, ton souffle chaud titillant son oreille. Tes mains descendant pour la soulever et la porter jusqu’à la chambre. La sienne ou celle d’ami ?

- Indique-moi ta chambre.

Ordre donné par toi, un dominant. Tu te laisses guider avant de la déposer sur le lit. Tu retires ta veste, elle t’encombre inutilement. Tu ne la quittes pas des yeux, un regard intense mais d’une douceur incroyable. Tu ne lui veux pas de mal n’est-ce pas ? Tu montes sur le lit, t’approchant doucement pour l’allonger Tu veux simplement la câliner ? Sérieusement. Tu n’es pas une bête, tu n’es pas un pervers, elle n’est pas ton jouet. Bien sûr que tu la désires mais ce n’est pas ton objectif. Tes lèvres s’approchent dangereusement des siennes mais elle se dépose sur son front. Tes mains ne se baladent pas sur son corps de femme. Tu te soutiens pour ne pas l’écraser, tu es à moitié sur elle.

- Tu es sûre de me vouloir pour toi ? Il est encore temps de reculer…

Question qui n’est innocente. Elle veut jouer avec le feu et elle risque de se brûler. Ta main caressant son visage, alors qu’un sourire taquin, joueur et séducteur se dessine sur tes lèvres. Voilà le véritable Aoi, un diablotin ! Tu n’es pas l’homme qu’il lui faut…tu le penses en la regardant dans les yeux.

Hime


Jeu dangereux. Comment en êtes-vous arrivés là ? Est-ce les mots de cette vipère qui vont ont chamboulé à ce point ? Au point de vous coincer. Au point de vous confier. Au point de faire monter cette tension qui te tors les entrailles. Cruel. Sensation à la fois agréable et dérangeante. Toucher délicat sur ta nuque sensible. Pourtant, un pincement au cœur, alarme te signalant que quelque chose cloche. Une fois de plus. Tu n'as jamais été un jouet mais... Mais qu'est-ce qu'il se passe ? Tu lâches sa cravate sans opposer la moindre résistance. N'a-t-il pas déjà été plus loin qu'un simple regard insistant ? Qu'un baiser ? De ce que tu as pu constater à votre précédente soirée. Mais il ne tente rien. Par respect ? Ou parce qu'il est troublé ? Tu hésites l'espace d'un instant. Mais quand tu le vois de dos, quand sa voix atteint tes oreilles, tu comprends. Peu être que vous avez un autre point commun. Vous l'aborder juste de manière différente. Tu n'insistes pas, prête à faire comme si de rien n'était. Juste une fraction de seconde.

Distance envolée. Baiser volé. Désir montant, brûlant. Dangereux. Passion partagée par des lèvres avides, symboles de votre gourmandise. Déclaration te coupant le souffle, alors que tes fins doigts viennent se glisser dans dans ses doux cheveux. Légère pression, réclamant sa proximité, plus encore. Tous tes sens son éveil, prêts à réagir au moindre geste, à la moindre parole. Tu sens tes pieds quitter le sol, ton corps frêle être soulevé. Tu enroules tes bras autour de son coup, délicate.

- Au-dessus, au fond du couloir à gauche.

Alors vous en êtes là ? Cette tension si forte existant entre vous est-elle réellement sur le point de se déchaîner ? Tu commences à n'en plus douter alors qu'il te dépose sur ton lit, dans cette pièce simple, bien rangée, où règne une fraîche odeur, indication que ta fenêtre est souvent ouverte. Avide, désireuse, tu attends juste le retour de son corps près du tien, ta tête venant toucher ton oreiller alors qu'il se penche au-dessus de toi. Es-tu sûre que tu le veux pour toi ? Que tu ne veux pas reculer ? Oui. Comment reculer quand on est déjà dos sur un lit ? C'est comme demander à quelqu'un s'il veut continuer de prendre de la hauteur quand il est déjà en chute libre, prêt à sortir le parachute.

- Tsuki Aoi... C'est certainement la seule chose que je sais et dont je suis sûre vis-à-vis de toi à cet instant précis.

Oui et non. Tu sais que tu n'es pas n'importe qui. Sinon, vous n'en seriez pas là. Mais c'est si évident. Le reste est encore gris, foncé pour certaines choses, clair pour d'autre. Mais cette tension n'est que trop grande et tu as besoin de t'en débarrasser, d'une façon ou d'une autre.

- Et toi ? Tu en es sûr ?

Tu ne veux pas le voir comme tout à l'heure, lorsque tu faisais face à son dos. Tu préfères t'en assurer, savoir si c'est bien ce que lui veut. Nouveau baiser, léger sourire étirant tes lèvres.

- Je prends ça pour un oui.

Hime, tu es toujours prête à te brûler. À te mutiler s'il le faut. C'est une part de toi. Une part de ton être. Et ça, il faut qu'il s'en rende compte s'il tient à continuer son voyage dans ton monde.
Doigts amenés à ses cheveux, main glissant dans sa nuque, le temps d'admirer l'homme qui est au-dessus de toi. Lèvres amenées contre les siennes alors que tu déboutonnes doucement sa chemise, amoureuse des plaisir prolongés. Tu plies légèrement une de tes jambes, simple réflexe, romps le baiser tout en frôlant la peau de son torse du bout des doigts, comme si tu avais peur de l'abîmer. Ton regard se pose sur ce fameux collier, l'espace d'une seconde, mais tu n'y prête pas plus attention, tes yeux remontant vers le visage du brun. Ton autre main sur son visage, léger sourire, regard doux mais sérieux, l'invitant à te faire confiance. À toi et à ton choix.

Aoi

Un sourire dévastateur, influençant terriblement les décisions de tes partenaires en général. Tu es un être vivant plutôt joueur et sans aucune limite. Pourtant, tu sembles sérieux avec la demoiselle et heureusement car elle n’est pas ton jouet. Rapprochement désiré pour l’un comme pour l’autre. Elle te veut sans aucune hésitation ? Elle semble certaine pourtant son regard semble indiqué quelque chose. Elle est comme toi, perdu d’une certaine manière. Vous êtes attirés comme deux aimants mais il y un trou, un manque, quelque chose d’inexplicable entre vous. Tu n’arrives pas à comprendre, à mettre le doigts dessus mais tu sais au fond de toi qu’il s’agit de quelque chose d’important. Tu es heureux, tu n’as pas été aussi heureux depuis combien de temps ? Trop longtemps pour t’en rappeler. Elle te retourne la question, un sourire amusé avant de venir déposer un baiser en signe de confirmation. Tu es certain de ne pas te tromper car tu as suivi ton cœur. Il était temps de l’écouter, depuis le temps qu’il te parle. Il allait finir par exploser. Ta main caressant avec délicatesse sa joue, ton regard se posant sur cette merveilleuse créature. Douce caresse qui te titille. Yeux fermer pendant que tu savoures ses lèvres tièdes. Un sourire charmant contre le sien en sentant, en écoutant les boutons de ta chemise sauter pour laisser apparaître un corps musclé qui ne peut que lui plaire. Corps reflétant tes heures d’entrainement à transpirer et souffrir mais libérateur de tant d’émotions. L’une de tes mains attrape la jambe remonter sur toi, caresse sensuelle afin de la stimuler. Un regard doux, sincère qui t’invite à lui faire confiance. Tu veux y croire, tu veux la laisser te montrer le chemin d’un renouveau joyeux et plein de vie. Tu déposes tes lèvres contre les siennes avant de déposer de doux baiser dans son cou, descendant vers le haut de la poitrine couverte de dentelle.

Ton corps se mouvant afin de te redresser, ta main glissant dans une mèche de cheveux, déposer un baiser sur le bout de la mèche. Quel séducteur. Tu retires doucement ta chemise, dévoilant un peu plus ton corps d’homme. Tu as tout de même gardé ta cravate sur toi, cette dernière avait l’air d’aimer la tenir et tu n’es pas contre. Collier en dessous, à moitié caché. Désir grimpant. Tes yeux naviguent sur le corps de la femme encore habillé. Elle peut apercevoir une trace…un début de cicatrise au niveau de ton flanc, le reste est caché par ton pantalon, ton boxer. Tes mains viennent se poser sur la demoiselle, ses flancs, tu l’aide à se redresser, l’approchant de toi, mordillement de lèvre. Tes mains commencent délicatement à ouvrir la fermeture de la robe avec une lenteur sensuelle. La chaleur de tes doigts sur son échine, tu commences à la dénuder. Une épaule puis l’autre, laissant apparaître de plus en plus de peau, lèvres venant se poser sur sa clavicule, mordillement excitant. Un retour en arrière impossible. Tu n’y penses même pas, tu veux la faire tienne comme les autres ? Une fille de plus à ton tableau de chasse. Non rien à voir, tu es d’une délicatesse extraordinaire, tu es sensuel et tu écoutes son corps. Frisson parcourant ton corps, il y a une différence à l’intérieur de toi. Tu ne veux pas aller trop vite, tu veux prendre ton temps. Tu l’aides à se déshabillant, la voyant en sous vêtement. Tes yeux ne la quittent pas, tu souris avec charme.

- Tu es magnifique.

Mot sincère. Tu t’allonges sur le lit en l’amenant avec toi, elle au-dessus et toi en dessous, tes mains la faisant monter sur toi. Tes doigts se baladant sur ses cuisses, remontant à ses fesses que tu malaxes avec intérêt. C’est que tu commences à avoir certaines idées en tête, c’est assez simple à deviner. Il suffit de sentir, de regarder plus bas… Anatomie masculine se réveillant.

- Je veux prendre le temps pour qu’on se découvre.

Tu parles de vos corps mais du reste également.

Hime


Douces caresses. Doux baisers sur l'une de tes zones les plus sensibles ; ton cou. Frisson parcourant ton corps, agréable, stimulant. Autant que ce corps dont la vue ne te donne qu'une envie : le toucher. Encore et encore. Son contact te manque déjà, alors tu vas le chercher, tes doigts frôlant de nouveau sa peau, le début de cette cicatrice qui éveille ta curiosité. Mais tu n'as pas envie de lui demander des explications. Pas tout de suite. Tu ne veux pas gâcher ce moment d'intimité, cette sensualité dont tu es si avide. Tu te laisses aller, corps redressé, lèvre délicatement malmenée. Tu perds peu à peu ton vêtement le plus important, corps légèrement tremblant. Non pas de peur mais parce que ses gestes te rappellent à quel point tu désirais de tels contacts le jour où vous êtes allés chercher cette robe. Même si c'était une autre que tu portais à ce moment-là. Une boucle qui commence à être bouclée. "Magnifique". Ton corps lui plaît et ça fait battre ton cœur dans ta poitrine. Tes doigts viennent se serrer autour de sa cravate, afin de l'attirer vers toi, de lui voler un baiser.

- Tu n'es pas mal non plus.

Comme la première fois. Il n'est pas mal du tout, merveilleux, et tu sais qu'il le sait et qu'il l'a compris. Baiser prolongé. Lèvres légèrement écartées pour lui donner encore plus de toi. Langue venant caresser la sienne. Tu peux déjà sentir son membre se réveiller sous son pantalon, sourire étirant tes lèvres désormais libres. Tu en veux plus. Plus et toujours plus. Mais toi aussi, tu aimes prendre ton temps. Tu aimes faire durer le plaisir, stimuler le désir, et tu ne comptes pas t'arrêter en aussi bonne route. Un mouvement de hanche alors alors tu te redresses, lui retirant sa cravate délicatement, mais l'écartant d'un geste vif avant de la déposer sur le bord du lit, près de vos têtes. Doux sourire.

- On a toute la nuit et plus encore. Je compte bien tout savoir de toi.

Tu penches ton corps afin de poser un baiser sur son torse, descendant doucement jusqu'à la ceinture de son pantalon. Tu te redresses légèrement, détachant cette dernière ainsi que son pantalon.

- T'es encore trop habillé à mon goût.

Sourire joueur. Son pantalon retiré, tu te penches de nouveau vers lui pour profiter de nouveau de ses lèvres, ta main venant caresser sa peau juste au dessus de son boxer. Si ce n'était que ça... Tu la descends davantage, venant caresser son membre par dessus son seul vêtement restant. Aucune de ses réactions ne t'échappent. Tu veux savoir ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas. Ce qui le stimule le plus et au contraire, ce qui peut le bloquer.

-Est-ce que, tu veux... ?

Tes mains, tu sais les utiliser. Tu en as bien l'intention. Mais peut-être qu'il désire plus ?

Aoi

Un compliment venant du cœur, tu ne le dis pas à n’importe qui, les filles passées dans ton lit non pas eu ce luxe. Triste vérité, tu n’étais pas des plus bavard à ce sujet. Pourtant, elles étaient plus belles les unes que les autres. Doigts serrant ta cravate, tu la regardes avec un sourire confiant. Tu es magnifique, corps forgé à la perfection, tu le sais et tu ne cesses d’en jouer pour plaire aux autres. Elle flatte ton égo et tu es sincèrement heureux qu’elle le fasse. Il y a une différence entre le savoir et l’entendre de la bouche de quelqu’un qui nous est cher… Elle compte à tes yeux. Lèvres se collant et se défaisant comme vos langues qui s’amusent ensemble dans une danse complémentaire. Correctement installé, tu observes la demoiselle portant une lingerie simple, élégante et noir comme à son habitude. Tu n’en sais rien mais tu as remarqué qu’elle adorait cette couleur alors tu n’es pas surpris et puis le noir…c’est excitant. Sourire complice en écoutant sa révélation. Elle souhaite faire des galipettes toute la nuit ? Coquin, tu n’es pas contre. Tes doigts venant caresser le corps frêle de ta partenaire. Ses lèvres viennent titiller ton torse, ton ventre descendant encore plus loin. Bassin remuant légèrement, regard désireux de plus. Un rire à son commentaire.

- Ne t’inquiète pas, on finira peau contre peau.

Vois suave et un regard amusée. Tu termine en sous vêtement. Vous êtes à égalité à présent pour ton plus grand plaisir et certainement le sien. Dent se serrant à sa main baladeuse qui n’hésite pas à descendre pour stimuler ton membre qui se réveil de plus en plus. Un léger gémissement, tête en arrière, les yeux fermés, appréciant sa main sur anatomie même à travers le tissu. Ton regard retourne sur Hime avec un désir brulant, ta main caressant sa joue avec douceur, mordillement de lèvre. Tu veux la toucher, tu veux embrasser son corps. Tu glisses tes doigts sur son corps voulant la stimuler, sa douce poitrine mais son soutien-gorge t’embête. Puis, elle te propose une gâterie. Tu souris joueur et intrigué.

- Fais ce don tu as envie, tout ce que tu as envie, mon corps est tien.

Beau parleur. Tu te redresses doucement et la faire bouger pour être bassin contre bassin, embrassant son épaule, léger mordillement. Ta main passant sur son échine décide de dégrafer le vêtement cachant sa délicieuse poitrine. Lèvres à ses oreilles.

- Est-ce que tu veux que moi je te goûte ?

Voix mielleuse et désireuse. Ton visage retourne devant le sien, un baiser sensuel et tu descends, embrassant sa poitrine rapidement, lui laissant le temps d’en désirer davantage. Tu es sage et retourne t’allonger en étant amusé. Vilain. Mains sur son fessier, tu la stimule. Ton membre gonflant représentant une bosse sous ton boxer. Tu veux qu’elle te désire, que son corps te réclame, l’une de tes mains s’aventure vers un lieu plus intime. Tes doigts venant titiller le clitoris de ta partenaire, si physiquement tu en es capable et qu’elle n’a pas à nouveau sa tête à niveau de ton entrejambe.

Hime


Peau contre peau. C'est tout ce que tu attends, tout ce que tu désires. Tu veux le sentir contre toi, sentir sa chaleur, sentir à quel point tu es importante pour lui. Tu n'as plus besoin de savoir à quel point il te désire ; la façon dont son corps réagit en dit long. Que ce soit à travers ses gestes, ses yeux, sa respiration. Tu veux te donner à lui, lui accorder ce qu'il souhaite, mais encore un peu de patience. Ce moment est trop précieux. Tu apprends à le connaître, à connaître son corps, et tu en es ravie. Ravie qu'il s'abandonne à toi de la sorte. Personne n'est plus vulnérable qu'une fois mis à nu. C'est pourquoi tu penses qu'il faut chérir de tels instants. Chérir... Ne le fais-tu pas parce que c'est lui ? Oui et non. Tu ne t'offrirais pas à n'importe qui. Mais il n'est pas le premier que tu chéris de la sorte. Et encore, ce n'est pas pareil. Aoi n'est pas ton ex. Il n'est pas un remplaçant. Il est bien plus que ça. Tu veux lui faire plaisir. Tu veux lui montrer que tu penses à lui. Tu veux qu'il te désires encore plus.
Baiser sur l'épaule, tes doigts dans sa douce chevelure, tu effectues un léger mouvement de bassin, cherchant la moindre petite friction, tout ce qui peut vous stimuler.

- Oui.

Désire. Passion. Oui, tu veux qu'il t'accorde ce plaisir. Mais pas tout de suite. La respiration profonde et lente, tu profites de ses lèvres, encore et toujours, le laisses s'occuper de ta poitrine. Par réflexe, tu te penches très légèrement en arrière, afin de lui donner un meilleur accès à cet atout féminin.

Bon moment partagé. Sourire complice. Tu te mordilles la lèvres inférieure tout en l'observant, allongé, venant te glisser à ses côtés. Un baiser au coin des lèvres. Tu mordilles le lobes de son oreille tout en continuant de caresser son membre alors qu'il vient jouer avec ton clitoris. Sourire qu'il doit sentir.

- Ce n'est pas juste ; si tu commences comme ça, je vais te désirer beaucoup trop rapidement.

Baiser sur ses lèvres, sourire complice et joueur, tu lui fais comprendre que tu comptes bien t'amuser avec lui avant qu'il ne se venge. Tu descends de nouveau vers son entrejambe, laissant une série de doux baiser sur son corps. Doucement, tu te débarrasse de son boxer devenu bien trop gênant, pour lui comme pour toi. Enfin, tu peux correctement saisir ce qui t'intéresse, effectuant des mouvement lents avec ta main, de bas en haut, guettant ses réactions.
Un baiser. D'abord à côté. Puis dessus. Un coup de langue. Un second. Sourire amusé. Tu joues, Hime. Mais n'est-ce pas la partie la plus existante ? Tu sais qu'il te rendra la monnaie de ta pièce, alors autant profiter du pouvoir que tu as entre les mains tant que tu le possèdes. Certaines personne trouvent cela rabaissant pour la femme. Toi, tu vois les choses autrement : le plaisir de l'homme dépend entièrement de la femme ! Elle le contrôle, peut lui faire plaisir, lui faire du mal comme le privé de toute stimulation. L'homme doit avoir bien plus confiance en la femme qu'on ne le pense. T'as assez joué, Hime. Tu ne veux pas trop le torturer. Alors tu prends enfin son membre en bouche. Juste le dessus avant de remonter. Mouvement de la main. Puis tu vas plus bas, ta main montrant le mouvement avant de venir jouer avec ses testicules puis revenir sur ton son membre. Tu es d'abord lente, sensuelle, délicate. Ta langue participe, tes joues aussi, que tu creuses légèrement par moment afin d'augmenter le plaisir. Tu lèves les yeux vers le brun l'espace qu'un instant, observant son visage profite de l'instant, avant de les baisser et augmenter le rythme. Tu le relâches, utilise encore un peu ta main. Lui offre encore un peu tes lèvres et ta langue. Juste un peu. Tu ne veux pas que tout finisse dans ta bouche ; C'est quelque chose qui te déplaît.

Alors tu remontes, essuies le coin de tes lèvres avec ton doigt avant de venir embrasser ton partenaire.

- Agréable ?

Sourire joueur. Maintenant, il peut se venger.

Aoi


Un moment de complicité très intime entre deux êtres qui se désire et se chérisse ? Tu deviens possessif, tu la veux pour toi tout seul. Tu penses à elle, à son plaisir, à ses désirs, ce qu’elle souhaite. Tu n’es pas dans ce lit pour satisfaire un caprice. Tu es présent pour partager un merveilleux moment avec ta partenaire qui n’est pas choisi au hasard. Non, c’est celle qui commence doucement à ouvrir la porte amenant à ton cœur. Il est trop tôt pour dire qu’elle va réussir mais elle est sur la bonne voie. Vous partagez vos fantasmes en révélant que vous voulez chacun être goûter. Tu aimes prendre ton temps, attiser les flammes pour faire grimper les envies, les tiennes comme les siennes. Merveilleux. Tu es un vilain, la taquinant en la caressant en la stimulant à une zone que tu connais à la perfection. C’est sensible et très compliqué à comprendre. Il faut être délicat, tu lui donnes un léger aperçu de tes capacités avant qu’elle ne reprenne les reines.

- Je veux que tu me désires encore et encore…

Murmures sincère et joueur. Tu veux qu’elle prenne du plaisir à votre petit jeu seulement, c’est elle qui commande pour le moment et ce n’est pas pour te déplaire. Baiser passionner. Muscle détendu, tes yeux descendent pour la regarder en même temps qu’elle se rapproche de ton entrejambe avec ses lèvres. Tu te retrouves nu en une seconde, comprenant à la perfection ce qui va se passer. Ton souffle est lent, impatient de goûter au plaisir qu’elle est sur le point de t’accorder. Ton regard est étincelant alors qu’elle commence à s’amuser. Tu aimes la regarder pendant que sa langue s’amuse à te torturer, te titillant, te stimulant en imaginant la suite. Tu en veux plus alors que son regard t’indique à quel point elle s’amuse avec ton corps. Objet sexuel que tu es… Tu soupire de plaisir lorsqu’elle commence à te prendre entre ses lèvres. Elle n’est pas une débutante, elle sait très bien ce qu’elle fait. Elle peut comprendre et ressentir ton excitation à ta respiration plus saccadée, au léger son s’échappant. Ta main caresser avec délicatesse sa chevelure, tu ne permettras pas de la diriger, de toute façon, elle y arrive très bien toute seule. Bassin remuant légèrement sous le bonheur procuré.

- Hime…

Murmure suave. Un regard pétillant lorsque le rythme accélère, ton membre est complètement irrigué, depuis un moment même. Pulsation ressentie alors qu’elle s’arrête. Un baiser sensuel et doux. Tes mains venant l’étreindre pour qu’elle soit au plus près de toi. Elle peut sentir tout son désir contre elle alors qu’elle t’embête. Elle veut jouer ?

- Très agréable, petite vilaine.

Sourire joueur.

- Tu vas me le payer…très cher.

Taquin. Elle va voir le diable. Tu la retournes brusquement, elle sur le dos et toi sur la demoiselle. Ton regard séducteur dans le sien, tu voles ses lèvres, mordillant. Tes doigts remontant sur sa cuisse, passant par son flanc avant d’atteindre sa destination finale, ses seins. Sa poitrine si douce, tiède… Tes lèvres parcourent son corps en descendant, tu t’amuses avec sa poitrine, léchant ses tétons, mordillant, tirant doucement. Bassin remuant contre le sien pour lui donner envie de plus mais ce n’est pas pour tout de suite. Tu lèches en la regardant. Sourire amusé.

- Tu vas me supplier d’arrêter.

Tu es bien confiant. Tes lèvres descendent alors que ta main arrive déjà à son intimité. Doigts touchant son clitoris d’un mouvement doux et circulaire. Baiser sur son ventre, sur l’intérieur de sa cuisse. Tu ne te gênes pas pour écarter ses cuisses, les pliants légèrement. Tu embrasses son corps sans toucher à sa féminité. Tu laisses l’envie augmenter. Ton doigt commence à la pénétrer avec douceur, se frayant un chemin au chaud. Un mouvement bien précis pour lui procurer du plaisir. Tu mordilles ta lèvre inférieure en la regardant, tu es joueur. Ta main libre caressant avec intérêt sa poitrine. Ta langue commence à s’amuser avec son clitoris alors que ton doigt à s’avancer d’avantage, changement de mouvement. Tu prends du plaisir à t’occuper de ta partenaire. Tu n’oublies pas d’écouter son corps, ses bruits, ses envies pour lui donner un maximum de plaisir. Tu stimules encore et encore. T’arrêtant un instant pour lécher la substance transparente sur ton doigt. Un changement, ta langue termine à l’entrée de son vagin et ton doigt sur son clitoris. Tu y vas sans aucune retenue, diable. Tu veux la faire craquer. Ta langue s’occupant d’elle, lui procurant une belle gâterie. C’est que ça t’excite… Un regard désireux en sa direction.

- Est-ce que tu me veux ?

Question horrible. Torture. Tu la désire, tu veux la faire tienne. C’est toi qui vas finir par craquer. Tu lèches encore un peu jusqu’à ce qu’elle te désire vraiment. Tu sens qu’elle est prête physiquement et mentalement. Tu fais redescendre la pression, l’excitation, tendre baiser sur son corps. Tu remontes passant par sa poitrine. Tu plonges ton regard dans le tien, un sourire magnifique pour cette merveilleuse créature.

- Tu es splendide !

Tu te répètes mais qu’est-ce que tu le penses, ta main décalant une mèche de cheveux. Tu veux lui sauter dessus mais la raison réapparait. Merde ! Problème en vue… tu n’es pas sorti couvert, ne pensant pas arriver à cette situation. Frustration arrivant.

- Je n’ai pas ce qu’il faut... pour...

Légère pause.

- Je n’ai pas de préservatif sur moi.

C’est embêtant. Tu es trop bête. Tu l’embrasses, ta langue venant jouer avec la sienne. Tu montes sur elle, ta main attrapant la sienne. Tu ne sais même pas ce qu’elle aime. Tu la regardes en espérant qu’elle a ce qu’il faut.

- Est-ce que tu as… ?

Moment important.

Hime

La réponse, tu la connais, Hime. Tu l'as sentie, cette excitation montante. Tu les a entendus, ces soupires et cette respiration. Il a sonné comme une douce mélodie à tes oreilles, ton nom. Son désir appelle le tiens et inversement. Et c'est avide de sensations que tu n'attends qu'une chose ; qu'il te rende la monnaie de ta pièce. Qu'il te fasse payer ce sale petit jeu. Qu'il te stimule à son tour, jusqu'à te rendre folle. Le changement de position est soudain mais tu ne t'en plainds pas. Baiser affamé, doux touché dont tu raffoles. Ce que tu aimes quand ses mains traînent le long de ton corps, chaudes, mouvements d'une douceur infinie. Que sa langue joue avec ta poitrine trop sensible.

- Tu aimerais bien.

Ultime provocation. Ultime provocation pour qu'il se venger de toi.

Ta respiration est profonde alors qu'il fait monter ton désir déjà sur le point d'exploser. Tu ne peux retenir les sons qui s'échappent de ta gorge, ta main de serrer le drap sous ton corps, alors que l'autre vient toucher la sienne avant de descendre jusqu'à ses cheveux. Tes doigts s'y perdent, se resserrent sans lui faire de mal, la tête en arrière, dos qui se cambre sous l'effet du plaisir. Tu as beaucoup trop envie de lui et il s'en compte, provocation te faisant froncer les sourcils. Tu refuses de l'admettre, Hime ? Mais il peut jouer avec toi encore longtemps et il te le prouve.

- Aoi, s'il te plaît !

C'est tout ce qu'il attendait. Il remonte en prenant son temps.

- S'il te plaît...

Voix plus douce. Supplication. Il a eut ce qu'il voulait.
Tu te mords la lèvre. Sourcils froncés alors qu'il s'arrête, le temps de t'avouer qu'il n'a pas de quoi se protéger. Pourtant, cela ne l'empêche pas d'en rajouter une couche en venant volet tes lèvres, vos langues jouent de nouveau ensemble l'espace d'un instant.

- Je prends la pilule.

Sujet encore tabou au Japon. Rare femme à la prendre. Mais tu préfères ça que d'avoir un enfant dans les bras maintenant. Tu lui dis sans craintes.

- Mais j'ai des préservatifs si tu préfères.

Nouveau baiser, attendant sa réponse. Tu veux juste le sentir, profiter de son corps comme il va profiter du tiens. Sourire aux lèvres. Tu n'attends plus que lui.

Aoi


Il n’y a pas plus excitant que d’entendre la voix de ta partenaire prenant du plaisir, qu’est-ce que s’est agréable. Tu aimes voir ses différentes expressions faciales ou encore son corps se cambrer sous le plaisir que tu lui procure. Tu es sensuel, délicat avec cette dernière. Lorsqu’elle te supplie, c’est juste incroyable. Ce petit moment intime pourrait bien devenir addictif. Attention. Vous êtes proche, très proche, corps, lèvres. La distance entre vous est minime et c’est bien pratique pour ressentir le désir de l’autre, surtout Hime qui a ton membre contre elle. Tu es bien battit mais la taille ne compte pas c’est la manière dont on s’en sert qui est important. Tu avoues ne pas avoir de préservatif et la miss t’informe qu’elle prend la pilule ? Tu es surpris mais tu ne critiques pas. Ce n’est pas un sujet très populaire dans ce pays mais tu es jeune et tu es pour les progrès de la science. Elle t’informe avoir tout de même des préservatifs. Tu souris avant d’embrasser sont front.

- Si tu prends la pilule, que tu es bien protégé, alors, je préfère tout ressentir avec toi.

Information ayant de la valeur. Tu viens délicatement poser tes lèvres contre la peau de sa clavicule tes mains se baladant sur le corps chaud de la jeune femme. Qu’est-ce qu’elle veut faire ? Tu n’en sais rien. Tu as l’habitude d’être plus brusque, de prendre les filles dans une position plus sauvage et ne parlons pas de ce qui se passe avec les mecs…d’ailleurs, il ne faut pas que tu te trompe de zone. Tu la regardes avec tendresse, sa main dans sa chevelure.

- Tu es prête ?

Depuis quand tu demandes le feu vert toi ? Tu voles ses lèvres et te redresses après sa réponse. Tes mains passant sur ses cuisses. Ta main vient prendre ton membre, plaçant le bout sur la fleur intime de la demoiselle, un léger frottement pour lubrifier. Gémissement réclamant plus… Trop sage, tu vas finir par exploser. Mais c’est votre première fois et tu veux être à la hauteur. Hauteur de quoi ? Vous n’êtes pas en couple, ce n’est pas sa première fois et certainement pas la tienne. Mordillement sur ta lèvre. Tu veux voir son visage, tes yeux ne la quittent une seconde alors que tu commences doucement à la pénétrer, mouvement lent. Tu t’insères en elle, d’abord entièrement, t’arrêtant au fond, profitant. Bordel, qu’est-ce que c’est bon ! Pensée que tu arrives à ne pas dire à voix haute. Tu l’invites à passer ses cuisses autour de ta taille, te penchant pour l’embrasser. Tu l’écoutes, la regarde, tu es attentif aux moindres détails. Tu commences à remuer ton bassin, douce sensation d’union. Mouvement sensuel et d’un rythme pas trop rapide pour commencer, tu ne veux pas la brusquer, tu veux découvrir son intimité, ses parois intimes qui te donne du plaisir. Position classique pour commencer, tes mains la titille en étant baladeuse sur toutes les parties de sa peau que tu peux toucher. Personne n’est là pour vous entendre, elle peut se lâcher. Tu viens souffler à son oreille, lui mordiller le lobe. Etalon, endurant. Tu fais attention à elle, cherchant quel mouvement de bassin elle préfère, quel angle lui donne plus de bonheur. Tu n’as jamais autant fait attention à une fille. D’habitude, tu te concentres sur ton propre plaisir. Mais les habitudes reviennent au galop. Rythme plus régulier, plus rapide. Tu la dévore du regard alors que tu change de position, Tu recules, sortant complètement pour tourner son bassin sur le côté. Tu lèves sa jambe, la callant sur son épaule et tu reprends. Tu lui fais l’amour avec énergie et passion. Tu n’es pas trop brusque mais plutôt dans la sensualité.

- N’hésite pas à me dire…ce que tu aimes ou ce que tu n’aimes pas.

A lui dire ou lui faire comprendre au choix. Communication demandée dans cet échange charnel. Tu lui murmures des mots doux et lui fait entendre ce que tu ressens.

Hime


Précieuse. Tu te sens comme une poupée qu'on aurait peur de casser. À juste titre ? Oui et non. Tu as le corps d'une sportive, tu sais te défendre et pourtant, les rares coups et égratignure sur ta peau prouvant que tu te blesses facilement. Peau légèrement pâle, si facilement marquée. Blessures sans importances issues de tes petites guerres. Vas-tu avoir une marque supplémentaire ce soir ? Tu n'en sais rien. Tu ne veux pas y penser. Tout ce que tu veux, c'est ne faire qu'un avec ton partenaire, ressentir tout le plaisir et tout l'affection qu'il peut te donner. Main sur l'arrière de sa tête, doigts dans ses cheveux, tu souris, confiante.

- Je le suis toujours.

Baiser volé. Ou peut-être pas ; tu allais lui donner tes lèvres dans tous les cas ou allais lui prendre les siennes. Intenable. Infernale. Tes doigts se serrent légèrement dans ses cheveux. Ton regard plongé dans le sien, réclamant enfin ce que tu attends. Appel reçu, exigences comblées. Ton souffle se coupe l'espace d'un instant, tes murs s'écartant au passage de son sexe. Agréable sensation à peine douloureuse, le plaisir suivant aussitôt. Lèvres légèrement écartées, te permettant de te laisser pleinement aller. Tu entoures sa taille de tes cuisses afin de lui laisser un meilleur accès à ton intimité. Baisers passionnés. Découverte de l'autre. Frissons parcourant l'entièreté de ton corps brûlant. Tu n'as pas peur de lui faire comprendre à l'aide de tes doux sons ce que tu préfères. Tu le laisses te toucher, découvrir davantage ton corps avec ses mains. En réalité, tu fais la même choses. Tes mains se baladent dans ses cheveux, dans son dos, sur ses hanches, sur son fessier. C'est tellement parfait. Tu te sens bien.

Mais toi aussi, tu es attentive à ses expressions, à ses gestes. Toi aussi, tu veux savoir ce qu'il préfère. Tu donnes une légèrement pression là où tes mains se sont arrêtées, réclamant un rythme plus rapide, ce qu'il semble rapidement comprendre. À croire que ça l'exite davantage. Changement de position, lui permettant de toucher plus facilement le fond de ton intimité. Ce garçon te rend folle. Tu en veux encore. Tu veux lui donner.
Tu le laisses encore en profiter un moment avant te légèrement bouger.

- Je peux prendre les commandes ?

Vraiment ? Oui. Question innocente ? Non. Tu sens qu'il aime dominer avant tout mais aussi que tu joues un peu avec lui. Alors non, cette question n'a rien d'innocent. C'est une manière de le stimuler encore plus, de faire durer le plaisir. Tu le couches sur le dos, venant te placer au-dessus de lui, son membre encore brûlant contre le tiens. Nouveau baiser, lèvre mordillées, baisers sur son torse. Tu te redresses, prenant ce qui lui appartient en main afin de te glisser dessus. Descente lente mais rythmée par un soupire de plaisir. Tes hanches bougent d'elles-mêmes, cherchant le rythme qu'il préfère. Les mouvements. La positions du haut de ton corps. Bouts des doigts enfoncés un instant sur son torse pour te maintenir. Visage près du sien celui d'après, vos souffles se mélangeant. Tu le laisses peu à peu t'imposer le rythme qui lui plaît, désireuse de lui faire plaisir. Encore plus. Encore et encore. Du regard, tu lui fais comprendre une chose : à lui de choisir dans quelle position il veut finir ce premier tour, un noeud se préparant à naître sur le bas de ton ventre. Et tu ne veux pas être la seule, alors tu es prête à tout pour qu'il partage ton plaisir.

Aoi


Une délicieuse découverte, tes mains parcourant son corps dans le but d’apprendre à la connaître. Tes doigts tièdes frôlant la moindre parcelle de sa peau accessible. Tes yeux adorent ce spectacle, votre spectacle. Splendide union qui te donne envie d’aller plus loin. Son raisonnant à l’intérieur de ton être pour ta plus grande joie, t’excitant davantage et te donnant de nouvelles idées encore moins saintes. Tu veux qu’elle te touche, qu’elle apprécie ton corps musclé de volleyeur. Tu remarques ses légères blessures, fragile ? Oui. Tu ne te plains pas, tu as une blessure de guerre également… Un passé douloureux mais ce n’est pas le moment d’y penser. Tu veux simplement profiter de ce moment d’évasion à deux. Tu aimes entrer et sortir de sa fleur avec un rythme plus soutenu, elle n’est pas contre, te le réclamant. Tu apprécies la chaleur de son concon intime, t’y arrêtant de temps en temps pour profiter du fond que tu touches. Tu mordilles ta lèvre lorsqu’elle propose de prendre les commandes, sourire coquin. Tu aimes dominer et en général tu es plus brutal mais c’est votre première fois ensemble, tu veux la chérir, lui faire plaisir et surtout tu veux qu’elle monte au septième ciel alors tu acceptes sa demande.

- Bien sûr, montre-moi ce que tu aimes.

Regard avec une complicité que tu ne pensais avoir avec personne. Et puis…tu aimes qu’elle s’amuse avec toi. Tu es un grand joueur alors tu aimes cette facette de sa personnalité. Tu t’arrête et tu suis le mouvement en t’allongeant sur le dos. Elle commence à s’occuper de toi, baiser sur tes lèvres, sur ton torse. Tu remus légèrement, demandant la suite avec impatience. Tu es de nouveau en elle, gémissant grâce à cette sensation.

- Qu’est-ce que tu es sexy !

Tes mains viennent se poser sur son fessier, le malaxant alors que tu l’aides un peu à se soulever pour chaque mouvement. Tes muscles se contracte sous le plaisir, l’une de tes mains caresses sa poitrine, avant de venir se glisser dans sa nuque alors que tu te relève légèrement. Regard en disant long sur ce qui se passe avant que tu ne voles ses lèvres. Bassin roulant pour imposer un rythme plus soutenu. Elle te regarde avec une manière particulière, signe qu’elle ne va pas tarder à venir… Tu vous redresse tous les deux, elle reste sur toi, ses jambes peuvent t’encercler si elle le souhaite, tu remu le bassin, t’enfonçant au maximum. Tes lèvres venant se déposer sur son cou avant d’aller à son épaule ou tu commences à la marquer. Un moment plus délicat avant la tempête. Soudainement, tu brises le rythme la couchant sur le lit, vous êtes tous les deux sur le côté, toi derrière elle. Tu ne tardes pas pour la pénétrer à nouveau en y allant à fond, poussant au fond. Ta main l’aidant à lever sa jambe. Tes lèvres à ses oreilles.

- Hime ! Viens en même temps que moi…

Murmure suave mais autoritaire. Tu l’observes et lui fait entendre tout ton plaisir alors que ta main lève encore plus haut la jambe de la demoiselle. Respiration rapide, indiquant que tu arrives. Baiser sur son corps. Lorsqu’elle commence à ressentir son plaisir, tu le vois, tu le sens sur ton membre qui ne tarde pas à déverser sa précieuse substance en elle. Un gémissement masculin démontrant le fait que tu as joui en elle. Souffle chaud contre sa douce peau.

- Hime.

Prénom murmuré avant de la marquer une nouvelle fois au niveau de l’épaule. Elle est tienne ! N’importe quoi, ce n’est pas ta copine, ni ton jouet. Tu t’en fiche. Elle est à toi, à cet instant précis. Tu la serre contre toi pour un câlin, reprenant ton souffle.

Hime

Moment intime que tu n'avais plus vécu depuis ce qui semble être une éternité. Ton corps entier réclame sa chaleur, son être. Tu lui cèdes tout ton être en cette soirée que tu pensais finir seule, et il te le rend bien, cédant à tes désirs, t'offrant un plaisir auxquel tu pourrais vite devenir accros. Vous vous partagez l'effort. Pour vous connaître. Pour faire durer ce moment que tu désires depuis le premier jour sans même t'en rendre compte. Tu aimes le sentir en toi. Sentir qu'il sort pour mieux revenir, tentant d'atteindre ce point si sensible et stimulant, d'être la seule "chose" ayant sa place en toi. Pas seulement dans ton corps. Dans ton esprit aussi. Doux son s'échappant de ta gorge à ses compliment, rythme s'accélèrant pour répondre à ses attentes. Chaque position t'offre quelque chose, une sensation différente, tes deux cœurs proches de l'explosion. Tu fais tout pour rester au plus près de lui, pour le sentir, pour le toucher, pour tirer un maximum de plaisir. Légère douleur à l'épaule, zone moins sensible que ton cou et pourtant, source de plaisir. Tu ne t'en soucies pas. Ta respiration se coupe l'espace d'un instant, à croire qu'il aime ça, alors que tes ongles viennent s'enfoncer dans sa peau. Juste un peu. Réaction non maîtrisée en réponse à son geste.

T'as à peine le temps de te rendre compte de ce qu'il se passe que tu te retrouves allongée, son torse contre ton dos, nouveau plaisir qui aura raison de toi et tu le sais. Tu le sens. Tu connais ton corps. Murmure faisant trembler tout ton être. Sons de votre débauche. Esprit embrumé. Ta main parvenant à atteindre ses cheveux. Souffle chaud au creux de ton oreille. Tu n'as pas besoin de voir son visage pour savoir qu'il est proche de la fin autant que toi. Trop proche. Noeud se formant au creux de ton ventre alors que tes murs se resserrent autour de lui.

- Putin, Aoi !

Corps tremblant. Tout se laisse aller. Le nœud se relâche et tu le sens te peindre de l'intérieur. Membre palpitant à l'intérieur de toi. Un soupire de satisfaction, ton nom sonnant comme la plus belle des mélodies lorsqu'il le prononce. Légère grimace lorsqu'il marque de nouveau ta peau chaude et humide. Il va falloir cacher ça à certaines personnes. Mais ce n'est pas le moment d'y penser. Tu penses surtout à respirer, à reprendre ton souffle. Son corps contre le tiens, ses bras autour de toi, tu le sens encore à l'intérieur de toi, agréable sensation que tu n'échangerais pour rien au monde. Pas à cet instant précis.
Vous restez ainsi encore un moment, avant que tu ne te décides à venir caresser l'arrière de sa tête et de te tourner vers lui une fois qu'il s'est retiré. Face à face. Tu ne dis rien. Tu suis ta main du regard, caressant délicatement son visage du bout des doigts, écartant une mèche de cheveux de son front. Tu descends vers sa bouche, t'avance pour y déposer une baiser. Désirs. Gratitude. Affection. Passion. Douceur. Tout y est. Tu te place un peu plus haut et sur le dos, l'invitant silencieusement à poser sa tête sur toi afin que tu puisses le chérir et jouer avec ses cheveux.

- Va falloir que j'aille prendre une douche.

Les draps attendront demain.

Aoi

Bruit de vos ébats intimes raisonnant entre ses murs, entre vos corps et dans ton esprit alors qu’il est temps que tout s’arrête. Sensation douce et piquante à la fois. C’est différent de d’habitude. Tu le sens, tu le sais au fond de toi. Cet échange charnel était beaucoup trop intense, il n’avait rien de banal. Tu n’avais pas qu’une envie sexuelle à satisfaire, il y avait autre chose. Une connexion entre vous deux ? Certainement. Tu as adoré sentir entièrement son intimité, il n’y avait pas le préservatif pour limiter les frottements, la chaleur et tout le reste. Tes lèvres parcourent son corps avec tendresse, tes bras la serrant contre toi. Ton torse musclé collé à son dos pour profiter de ces derniers instants en elle. Léger mouvement de bassin pour accompagner la fin de cette agréable sensation. Tu as adoré l’entendre prononcer ton prénom… Un baiser sur son épaule et tu te retire de l’intérieur de la demoiselle, soupirant de satisfaction. Elle se tourne vers toi, tes mains l’aident à la rapprocher de ton corps. Tes yeux la dévisageant avec affection. Un sourire mignon sur la bouille après qu’elle t’est embrassée. Baiser que tu prolonges avec gourmandise. Tu sens cela ? C’est ton cœur qui s’adoucit, qui apprécie ce partage d’émotion entre vous deux. Ton cœur qui bat à un rythme indiquant que tu es heureux et bien en sa présence. Confiance. Accorde-lui ! Laisse de côté tous tes doutes, laisse-les s’envoler et libère-toi. Brise à tout jamais la distance que tu laisses avec les autres car elle n’est pas comme les autres. Elle n’est pas comme ta mère et ne sera jamais le monstre que représente ton paternel. Tu fermes les yeux et accepte son invitation. Tu viens poser ta tête contre sa poitrine, moelleuse.

Agréable. Sourire d’enfant. Tu es bien loin du Aoi qui laisse ses conquêtes après avoir obtenu leur pureté. Diable disparu. Ses mains s’amusant dans tes cheveux, geste, attention que tu adores. Ton précieux collier rempli de souvenir contre elle. Tu espères qu’il ne la dérange pas. Elle parle, sourire coquin s’affichant sur ton joli minois.

- Je pourrais t’accompagner sous l’eau ?

Tête se tournant vers la princesse. Tes yeux bleus la regardant avec profondeur.

- Sauf…si tu préfères y aller seule.

Baiser sur le haut de sa poitrine, tu remontes pour voler ses lèvres. Tu t’arrêtes, qu’est-ce qui te prend ? Tes yeux se dirigent vers les marques que tu as laissé sur son corps. Merde ! Tu as abusé. Tes doigts glissant dessus avec légèreté.

- Excuse-moi, pour les marques, j’en avais envie avec toi.

Aveux sincère mais un regard désolé.

- Elles partiront vite, ne t’inquiète pas.

Baiser à cet endroit avant que tu ne regardes plus attentivement son corps. Quelques blessures, marques. C’est vraiment une fille maladroite. Tu reposes ta tête sur sa douce poitrine. Main cherchant la sienne pour entremêler vos doigts. Tu peux être romantique quand tu le veux, il suffit d’être avec la bonne personne. Esprit partant à la dérive. Ta main libre venant se mettre sur ta propre cicatrice, moment douloureux. Corps abimé. Une imperfection qui restera à tout jamais. Tu tournes, l’amenant avec toi, tu la serres contre toi, contre ton torse, main se baladant dans ses cheveux et l’autre sur son corps. Baiser à son front. Ta main mettant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, tu l’embrasses avec passion.

- Deviens mienne.

Mot significatif ? Oui et non. Ce n’est pas une manière de sortir avec elle, c’est plus une certaine marque de possession. Tu es possessif, tu n’aimes pas qu’on s’approche de trop près de ta collection de jouet. Elle n’en fait pas parti mais tu ne veux pas qu’un homme lui tourne trop autour. Tu es inquiet ? Ton passé ta prouvé qu’il est difficile de faire confiance à quelqu’un, femme ou homme. Regard mélangeant l’inquiétude et l’honnêteté. Tu lui montre ton vrai visage parce qu’elle n’est pas n’importe qui ! Attente… Il est peut-être temps d’aller à la douche pour penser à autre chose. Tu es trop nostalgique.

Hime

Gourmands. Chaleur, toucher, baisers passionnés, il vous en faut toujours plus. Tu es bien émotive ce soir, Hime. Tu te sens légère, chérie. Chérie par cet être qui vient à peine de rentrer dans ta vie et dont la réputation n'est pourtant pas glorieuse. Tu le sais et pourtant, tu as accepté d'être là, de t'offrir à lui, de lui donner toute la tendresse dont tu es capable. Sa question te fait sourire. Lui aussi, il aurait bien besoin d'une bonne douche, vos corps légèrement humides par l'effort. Pas que ça t'empêche caresser son dos du bout des doigts.

- Fais ce qu'il te plaît.

Voix douce. Nouveau baiser écourté par l'attention d'Aoi qui semble s'être détournée. Les marques.

- Je ne m'inquiète pas. Ça ne me dérange pas tant que ce n'est pas dans mon cou.

S'il veut t'en faire d'autres, il le pourra. Sur tes épaules. Sur tes omoplates. Sur ton ventre. Sur le haut de ta poitrine. Sur tes cuisses. Tant que vous êtes là, tu es tout à lui. Tu t'en fiche. En réalité, tes ongles ont aussi laissés une légère marque dans son dos. Doigts entremêlés, tu déposes un baiser sur le haut de sa tête, suis le mouvement qu'il t'impose. Tu peux entendre les battements de son cœur, sentir son torse se soulever et se baisser. Respiration profonde. Tu profites de sa douceur. Tu pourrais passer des heures à le laisser te caresser et jouer avec tes cheveux. Tu adores ça. Tu en veux encore, Hime. Tu n'arrives pas à te contrôler, relevant la tête, t'appuyant sur tes bras pour prendre de la hauteur et venir l'embrasser.
Paroles qui t'interpellent. Être sienne ? Qu'entend-t-il par là ? Silence. Ton cœur se serre. Tu ne peux pas. Tu ne peux pas. Tu ne peux pas. Mais... Tu le veux. Est-ce l'instant ? Ou est-ce plus que ça ? Un désir profond ? Un souhait ? Tu veux tout lui donner et tu veux qu'il te donne tout. Tu veux être libérée de tes chaînes, de cet amour perdu et que tu ne retrouveras sans doute jamais.

- Convaincs moi de le devenir.

Aucun jeu. C'est presque comme... Une supplication. Un appel. Venant du plus profond de tes entrailles. Tu veux lui laisser sa chance. Tu veux croire au plus profond de toi même qu'avec lui, tu arriveras à quelque chose. Que tu sauras ramener à la surface ses parts de lui-même qu'il a oublié. Ne serait-ce qu'en te compagnie. C'est tout ce qui compte. Un baiser, tes douces lèvres jouant avec les siennes, frisson parcourant ton corps. Tu souris, te redresses doucement, quittant la chaleur de ton lit. Sa chaleur.

- Tu viens ou tu as changé d'avis et tu veux y aller après moi ?

Sourire taquin, l'invitant à te suivre.

- Je suis juste en face.

Une douche, c'est suffisant. Avec Mirai, il t'est déjà arrivé plus d'une fois de te faire couler un bain, afin de détendre tes muscles, d'apaiser ton corps. Mais ce soir, une douche sera largement suffisante. Ça te fera le plus grand bien.

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