Édité le 7 janvier 2022
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Rp off n°1 : Soirée (suite de More and more - Partie 3 - Sujet sensibles - +18)

Aoi


Un questionnement normal d’après moi. Allons-nous profiter d’un moment de douceur ensemble sous l’eau chaude. Je ne sais pas, ça réponse me semble vague. Peut-être qu’il ne faudrait pas. De toute façon, qu’est-ce que je fais encore ici ? Je ne sais pas, d’habitude, je serais déjà reparti. Bizarre. J’ai interdiction de marquer son cou ? J’ai un sourire joueur. J’imagine qu’elle ne veut pas que ses parents ou ses amis voient de tels marques. Mais d’un coup, j’ai bien envie de tenter le diable. NON NON NON ! Hors de question, déjà que tes propos précédents sont limites, ne redeviens pas cet être sans âme. Un baiser et tu la surprends avec une demande étrange. Tu veux qu’elle devienne tienne mais…tu en es sûr ? Tu es vraiment trop possessif même avec cette fille. Enfaîte, surtout parce que c’est elle ! C’est à ton tour d’être sous le choc car il faut la convaincre que tu le mérite ? Toi ? Tu ne mérites pas cette fille et tu le sais très bien. Cette voix, elle te supplie d’y arriver. Tu le ressens, ton cœur se serre. Impossible. Toi être en couple avec quelqu’un ? La bonne blague. Tu n’y arriveras pas. Tu te rappelles ta mère, une traitresse ! Il faudrait être fidèle ? Tu penses réussir à te contenter d’une fille ? Adieu les mecs… Ton cœur se serre et te fais mal. Tu ne comprends pas. Tes mans continuant de caresser sa chevelure ébène. Tu détournes le regard. Une fuite ? Tu n’es pas un mec fait pour la vie de couple. D’ailleurs, tu ne proposais même pas cela…mais tu vas prendre sa demande comme un challenge. Pourtant, tu sais que c’est impossible. Tu n’y crois pas. Laisse là vivre en paix ! « Je vais tenter ma chance avec toi ! » Simple réponse mais qui au fond en dis long sur tes intentions. Tu vas tout donner pour que cela fonctionne car elle est la solution. Elle est la clé à l’ouverture de se cœur de pierre. Vous avez besoin l’un de l’autre et tu le sais, tu commences à le comprendre.

Cette relation, ce lien qui se créer, il est unique et important pour ton futur. Tu ne le sais pas encore mais s’il y a quelqu’un capable de te faire aimer à nouveau c’est bien elle ? N’est-ce pas ? Espérons. Un nouveau baiser, scellant cette requête. Elle te quitte, chaleur s’éloignant de toi. Tes yeux la dévore alors qu’elle te taquine, te provoque un peu. Tu te redresse, te mettant sur les coudes pour ne pas manquer son fessier lorsqu’elle s’éloigne, dos à toi. Elle t’invite et tu le comprends à la perfection mais tu te rallonges dans le lit, soupirant alors que tu entends l’eau couler. Silencieux. Qu’est-ce que tu vas faire ? Pourquoi tu n’es pas déjà debout à la suivre. Tu doutes, tu ne sais pas. Tu ne fais pas cela d’habitude. Ce n’est pas toi. Tes mains caressant ton visage pour te secouer. Bordel, tu aimes trop cette femme pour rester ici ! Tu veux la serrer contre toi, tu veux encore ressentir sa peau contre la tienne. Addiction. Tu te lèves et te dirige dans la maison d’Hime. Tu fermes la porte et la regarde sous l’eau, mouillée. On ne va pas se mentir, cette vue t’excite à nouveau. Coquin. Tu mordilles ta lèvre. Ce contact avec Hime, tu le désires. Tu t’approche de la douche, pénétrant à l’intérieur pour immédiatement l’embrasser avec fougue, la plaquant contre le mur. L’eau chaude passant de son corps au tien. Tes cheveux noirs plaqués sur ta tête. Le bout de tes doigts caressant ses formes féminines pendant que ta langue s’amuse à danser avec la sienne. Tu n’es pas rassasié ? Oui et non.

- Laisse-moi t’aider à te nettoyer.

Séducteur impitoyable avec une voix irrésistible. Tu la tournes brusquement mais sans lui faire mal, tes lèvres à son cou. Tu attrapes un savon, le glissant sur son corps humide. Tu nettoies en massant ses épaules, ses bras avant de passer au ventre, remontant sur sa poitrine. Stimulation imposée, titillement des zones sensible. Souffle chaud contre son oreille, mordillement du lobe. Tu ne lui laisses pas le choix. L’excitant ? Tu ne sais pas mais toi par contre, tu commences à sérieusement te réveiller. Mains arrivant à son fessier, l’une des mains passe à l’avant caressant avec délicatesse son bonbon rose… Une véritable torture pour elle comme pour toi. Tu ne sais pas si elle le souhaite, tu ne sais pas si tu lui fais encore de l’effet mais tu es le diable. T’écartant, arrêtant le plaisir que tu lui donnes. Horrible créature. Tu souris joueur, taquin, séducteur. Un regard rempli de malice alors quelle peut observer ton anatomie au top de sa forme, elle a même eu l’occasion de le sentir lorsque tu étais collé à elle. Tu mouilles tes cheveux, faisant comme-ci rien ne s’était passé, attendant sa réaction. Beau gosse, muscle apparent.

Hime


Eau chaude coulant le long de ta douce peau. Tu es songeuse, Hime. Esprit torturé, perdu, à la recherche de réponse. Tu n'as jamais désiré un autre homme que Mirai. Quand vous étiez ensemble. Et même après, sans chercher son corps dont tu étais privée, tu n'as jamais éprouvé le moindre désir pour quelqu'un d'autre. Trop mal dans ta peau. Trop mal dans ta tête. Trop loyale. Trop... Trop quoi ? Tu n'avais pas juste pas envie. Et ce type débarque, brise tout. Tes principes, ta sérénité,... Deuxième homme à te découvrir dans les moindres détails. Tes organes se tordes. Tes yeux te dont mal, piquent, pour une raison inexplicable. Tu ne parviens pas à mettre le doit dessus. Pourtant, tu te retiens, espoir placé dans l'eau. Pour t'apaiser. Pour ne pas y penser. Cheveux mouillés, collés à ta peau, tu passes tes deux mains sur ton visage. Pour dégager l'eau mais aussi pour te réveiller, vain espoir de trouver la réponse sous tes yeux.

Son de porte se refermant. Tu te tournes vers l'objet de tes pensées. Incapable. Comme si ça présence chassait toutes tes mauvaises pensées alors que c'est justement elle qui les a fait naître. Tant pis. Tu peux pas. Tu ne veux pas. Pas ce soir. Tu l'accueilles à tes côtés avec grand plaisir. Dos au mur, répondant à son baiser avec tout autant de fougue, langue dansant avec la sienne, reprenant ton souffle dès que tu le peux. Mains sur son torse, l'une remontant sur l'arrière de ta tête. Bon sang, ce que tu aimes cette sensation. Ce jeu. Pure source de plaisir. T'es parfois d'humeur douce, câline, à tout faire lentement, facilement, sans risque. Mais parfois, comme en ce moment, tu aimes que ton partenaire soit moins sage.

- Tant que tu le fais bien.

Légère provocation, l'incitant à t'en montrer plus si c'est ce qu'il souhaite. Peu importe que ce soit innocent ou non. Et tu sais déjà que ça ne le sera pas. Douces sensation parcourant ton corps, en dehors comme à l'intérieur. Il essaie de te rendre dingue une fois de plus. Mais plus encore, tu sens son membre contre toi. Et il est loin d'être au repos. Soupire quittant tes lèvres alors qu'il joue avec ton bouton encore sensible. Puis tout s'arrête. Regard posé sur lui, sourcils froncés.

- Tu en jubiles, avoue ?! Ordure.

Mécontente. Mais pas sincère et il doit bien le deviner. C'est exactement ce qu'il cherche : te taquiner, te rendre folle, que tu le réclames. Le pire, c'est que tu as envie de céder, de jouer à ses petits jeux. Qu'il n'est pas loin d'y arriver. Yeux au ciel avant de l'approcher et de lui prendre le savon, venant caresser son dos avec ce dernier.

- T'as de la chance que je sois d'humeur et que je sois satisfaite de tout à l'heure.

Juste satisfaite ? Mouais. Tu touches ses muscles, gestes délicats, t'attardant sur de petites marques rouges au niveau de ton dos. Ah oui...Tout à l'heure.

- J'ai dû enfoncer mes ongles ici. Ça ne te fait pas mal ?

Bien sûr que non mais c'est plus fort que toi. Tu préfères t'en assurer. Main sur ton épaule, tu l'incites tout en délicatesse à se tourner vers toi, te dressant sur la pointe des pieds afin d'atteindre plus facilement ses lèvres pour une rapide baiser. Accros. Tu continues ensuite ce que tu as commencer, ton regard s'attardant sur ce collier qu'il porte tout le temps. Il descend, jusqu'à cette cicatrice qui t'intrigue. Tu t'arrêtes, pour laisser ton autre main descendre jusqu'à celle-ci. Doigt la traçant avec douceur. Soucieuse.

Aoi

Un petit jeu que tu adores, qu’est-ce que tu aimes taquiner les autres, les rendre fou de toi ! Ta spécialité. Tu t’amuses sur le corps de la demoiselle. Elle est belle, sexy et désireuse en toute circonstance mais sous l’eau tu craques et la caresses avec douceur pour mieux la stimuler. Excitation grimpant pour vous deux avant que tu n’arrêtes brutalement. Diable provocateur. Tu n’es pas possible. Tu vois à son regard qu’elle appréciait que tu t’occupe d’elle, de son corps et toi tu adores cette expression sur son visage et elle crache son venin d’une manière qui te fais sourire. Une réaction tant attendu qui te fais jubiler. Elle avait vu juste. Tu rigole amusé par son comportement.

- J’avoue tout !

Sourire non innocent. Tu es dos à la demoiselle pour qu’elle s’occupe à présent de ton dos. Moment de douceur. Yeux dans le vide, tu ne penses à rien.

- Tu es déjà satisfaite ? Ta voix m’indique le contraire… Je suis convaincue que tu as encore des ressources et des envies, que tu veux encore ressentir à quel point c’est délicieux entre nous.

Belles paroles. Tu es terriblement confiant. Ta voix est légèrement amusée. Aoi, ne rigole pas car toi tu es plus que réveillé ! Imbécile. Elle observe ton dos, tu le sais et le confirme à ses propos. Elle s’inquiète pour toi ? Non, impossible. Ses ongles dans ta peau ? Tu ne te rappelle. Tu n’as rien du sentir sous le coup de l’action, tu étais trop occupé à ressentir d’autres émotions, sensations beaucoup plus agréables. Il y a autre chose. Terrible vérité. Tu es beaucoup plus résistant à la douleur qu’on ne le pense, surtout à certaine zone. Tu peux remercier ou non ton paternel. Horrible monstre t’ayant traumatisé et t’ayant rendu aussi noir, fermé émotionnellement. Il t’infligeait tellement, tu étais trop jeune pour résister. Beaucoup trop jeune. Tu ne pouvais pas arrêter ce carnage. Souffle lent en repensant à ses horribles souvenirs. Dents se serrant, points fermés. Colère grimpante, elle t’invite à te tourner. Ce n’est pas le moment de perdre les pédales.

- Je n’ai pas mal…

Voix légèrement froide. Tu ne voulais pas mais impossible de la contrôler. Tu te retournes et son baiser apaise ton cœur colérique. Ses lèvres chaudes, tu ne veux pas que se baiser s’arrête. Il faut que tu te reprennes avant qu’elle ne voie ton visage. Respire, tout va bien se passer ! Tes mains détendues viennent se poser sur les hanches de ta partenaire. Terminée. Son regard navigue à nouveau sur ton corps, d’abord ce fameux collier enfermant tout tes souvenirs. Une trace de ton passé comme cette cicatrice. Elle ne disparaitra jamais… Elle te hantera le reste de ta vie. Tu vois sa curiosité vis-à-vis de toi, de ton passé, de tout ce qui a pu t’arriver mais c’est trop tôt ? Oui et non. Tu ne veux pas gâcher cette soirée. Tu as peur comme cet enfant plus jeune qui était terrifié. Respiration plus rapide lorsque ses doigts passent sur ta cicatrice. Bizarrement, toute l’excitation commence à retomber laissant place à la nostalgie, à la peur et légèrement à la colère. Elle veut tout savoir de toi mais il y a des choses qu’il vaut mieux cacher non ? Ton cœur bat tellement fort qu’il va finir par exploser dans ta poitrine.

- Une blessure du passé…

Voix presque tremblante. Tes yeux regardant autre part. Honte. Dégout. Tu te sens honteux. Ce n’est pas de ta faute, mais tu ne peux t’empêcher de te sentir honteux. Tu as été battu par ton propre père pendant un certain temps. Tu pleurais, tu criais mais personne n’entendait même ta mère ne réagissait pas. Elle ne pouvait pas le faire. Elle n’était jamais là et il te disait de te taire, qu’il te ferait la peau ou pire qu’il s’en prendrait à ta mère… Tu aurais tout fait pour la protéger. Il passait ses nerfs sur son propre fils car il avait tout perdu, qu’il était ivre en pleine journée. Ta mère travaillait tellement à cette époque et tu étais fort en sa présence. Tu faisais taire la douleur. Cet accident était le début de la fin. Il t’a sauvé mine de rien, ton calvaire s’est enfin arrêté ce jour-là. Une dernière souffrance nécessaire pour en finir. Panique. Brusquement tu te tournes.

- Je n’aurais pas dû…

C’était une erreur d’être avec elle ? Ce passé te hante, pourtant avec les autres filles, tu t’en fiches. Elle ne s’attarde pas sur ta vie, tu ne leur en laisses pas le temps et cette fille est particulière. Tu as l’impression d’être émotionnellement connecté à Hime. Elle peut tout voir en toi ! Terrifiant.

- Ma vie a été belle un certain temps puis…le cauchemar !

Triste vérité qui te fait souffrir. Arrête-toi ! Tu te dépêche de finir de te savonner. Urgence. Tu te rinces. Ton souffle s’accélérant, tu te tournes vers elle. Faible. Tu t’es promis de ne plus l’être. Tu ne veux plus qu’on te touche. On va te faire du mal ! Différentes scènes qui te reviennent. Traumatisme qui n’attendait qu’une chose de remonter à la surface. Tu les as trop longtemps oubliés et laissés de côté. Marque de violence invisible car tu as réussi à récupérer facilement grâce à ta jeunesse sauf cette putain de cicatrice. Tu veux et tu vas fuir !

- Je crois qu’il vaut mieux que je parte…

Voix désolé et tellement triste. Elle la supplie de te retenir car tu as besoin d’elle. Elle ne te jugera pas, elle ne te fera jamais de mal. Non, tu peux avoir confiance, laisse là te le prouver. Il est trop tard ? Tu as pris ta décision ? Corps mouillé commençant à reculer. Esprit brisé qui a besoin d’aide. Signal d’alarme. Ton cœur saigne, il crie qu’il ne faut pas partir mais tu es trop buté pour l’écouter. Tu vas faire quoi ? Te retourner et juste disparaître. Tu crois qu’elle va te laisser filer ? Tu te trompes. Espérons qu’elle est le courage d’affronter ta souffrance.

Hime


A-t-il raison, Hime, de dire que tu as encore des ressources ? Évidement. Vous êtes deux sportifs. Deux personnes attirées comme des aimants de manière inexplicable. Deux êtres parfaitement capables de s'amuser plus longtemps que ça, plaisirs charnels qui valent la peine de quitter une soirée plus tôt que prévu. Tout deux marqués, expression de votre plaisir. Expression de ta satisfaction. Expression de sa possessivité. Tu y es habituée, Hime. Ton ex. Mais aussi ton meilleur ami. Si votre relation n'a jamais été jusque là, tu es un être précieux qu'il chérit à sa façon. Tu sens que quelque chose commence à se réveiller. À sa voix. À sa façon de te détendre avec tes lèvres, de les réclamer. Qu'est-ce qui le met dans un tel état ? Quels secrets cache-t-il ? De quoi peux-tu te permettre de parler avec lui ? Quels sont les sujets à éviter ? Tu devais bien le découvrir un jour ou l'autre. Tôt ou tard. Il n'y a pas de règle pour ça. Pas de règle déterminant à quel moment on peut s'interroger sur la vie de l'autre, s'inquiéter, apprendre à le connaître. C'est ta façon de votre les choses. La nuance, pour toi, c'est que chacun à son propre rythme et il faut le respecter. Mais tu n'as pas devin. Tu ne peux deviner à l'avance tout ce qui concerne Aoi.

Paroles simples. Voix tremblante. Tu lèves les yeux vers le visage du jeune homme. Mais ce ne sont pas ses yeux sur tu vois. Tu vois juste un enfant apeuré, triste, en colère, honteux, en souffrance. Un être qui tremble derrière un sourire fort. Tu ne dis rien. Aucun son ne traverse tes lèvres. Mais ton regard en dit long : tu sais que ça ne va pas et tu es inquiètes. Tu te soucies de lui. T'as le cœur serré. Tu ne réfléchis pas à ce qui ce cache derrière : Aoi est ta priorité. Le pourquoi du comment, tu t'en fiches. Ton cerveau refuse de chercher une explication, de fouiller dans ta mémoire. Tu cherches juste quoi faire. Quoi dire. L'heure n'est pas aux réflexions. Laisses juste sortir les mots. Laisses juste ton côté le plus tendre s'exprimer. C'est ce que tu es non : douce et impulsive.

- Aoi...

Voix douce cherchant à l'interpeller. Deux pas en avant, lentement.

- Attends, s'il te plaît.

Aucune précipitation. Près de lui, tu tends le bras pour saisir un essuie, le regardes.

- Tu permets ?

Question pour éviter de le brusquer alors que, prudemment, tu entoures sa taille avec l'essuie.

- Je ne veux pas te laisser partir... Mais à aucun moment, je ne veux t'imposer quelque chose qui te fasse du mal.

Voix rassurante. Aucun sourire. Juste le regard baissé. Sincère. Tu te saisis d'un autre essuie, venant tout aussi prudemment essuyer le reste de son corps.

- Je suis désolée. Pour ce que ça vaut. Ça va aller, tu es avec moi.

Tu cherches son regard, mains venant se poser délicatement sur son visage. Léger sourire.

- Tu es avec moi. Il ne t'arrivera rien ici.

Il n'est pas obligé de te parler. Tu lui fais comprendre. Tu souhaites juste qu'il te fasse confiance. S'il veut juste rester silencieux, ça va te va. S'il a besoin de réconfort, de tes bras, tu es prête à l'entourer. Tu en as envie mais tu te retiens. Tu préfères attendre son signal ; tu ne veux rien lui imposer, pas comme cette souffrance qu'il n'a pas pu refuser.

Aoi


Un moment de frayeur, cette voix dans ta tête t’indiquant que la fuite est la meilleure solution pour te conserver. Il ne faut pas qu’elle te voit faible, il ne faut pas qu’elle connaissance ton passé. Il est honteux et dégoutant. Tu ne veux pas montrer ta souffrance mais il est déjà trop tard car ta voix, ton comportement, ton regard montre l’enfant, celui du passé. Il a réussi à te faire revivre ses épisodes. Elle n’est pas en faute, tu as trop longtemps refoulé ces émotions en te cachant sous ton masque d’homme dominant et de séducteur. Respiration rapide alors que tu sors de la douche, t’éloignant de la demoiselle qui a pitié de toi ? Tu le penses. Terrible. Vous avez fait un pas en avant pour reculer à nouveau. C’est difficile la vie ! Tu le sais et le comprends de plus en plus. Tu es troublé alors que sa voix t’interpelle te sortant de tes pensées. Regard dans la direction d’Hime. Elle s’approche doucement de toi, qu’est-ce qu’elle veut ? Elle va te retenir ! Laisse-là t’aider. Une serviette ? Tu ne comprends pas mais tu t’immobilises.

- Oui…

Voix neutre comme ton visage. Elle commence à te couvrir la taille et continu de parler. Ce n’est pas de sa faute mais celle de ton abruti de père. Tu es trop con ! Tu es méfiant et c’est tout à fait normal, tu essayes de ne rien laisser paraître mais ce n’est pas très efficace et ses excuses t’énerve car elle n’est pas en tort.

- Ne t’excuse pas !

Réponse colérique. Tu serres le poing d’être méchant avec cette dernière alors qu’elle n’a rien fait ! Tu es le pire…

- Ce n’est pas de ta faute alors…arrête de t’excuser ou tu n’auras plus le droit de me voir.

Je ne vais pas la frapper tout de même. La violence n’est pas quelque chose qui te caractérise grâce à ton père bien que tu sois près à passer aux mains si nécessaire. Elle te force à la regarder, ses mains sur ton visage. Douce main qui te fait sourire doucement, c’est léger mais présent. Tu es en sécurité ici avec elle mais c’est toi l’homme. C’est toi qui dois prendre soin d’elle ! Pitoyable.

- Il ne m’arrivera plus jamais…ça…il…

Quelques brides de mots, de passage, rien de très clair. Tu la regardes. Elle est nue devant toi. Tu attrapes une serviette pour la couvrir, tu te colles à cette dernière. Lui frottant le dos comme-ci tu essayer de la réconforter alors que c’est toi qui as besoin de réconfort.

- Désolé, tu vas attraper froid à cause de moi.

Tu t’éloignes un peu, te penche et l’embrasse passionnément. Baiser réconfortant, tu as besoin de ses lèvres, de ses bras, de ses mains sur toi pour te réchauffer et rassurer ton pauvre cœur brisé. Front contre front, tu la regardes en souriant. Masque.

- Excuse-moi, ça va mieux. Ne t’inquiète pas pour moi.

Phrase se voulant rassurante. Tu te fais fort pour qu’elle ne s’inquiète pas. Tu ne veux pas gâcher votre moment. Tu l’essuis et t’occupes d’elle avec précaution et une certaine lenteur. Tu la vois comme un objet fragile. Tu fermes les yeux quelques secondes. Elle doit s’avoir, c’est un passage obligé mais pour le moment tu ne seras pas capable de lui dire si elle ne te pose pas directement la question. Par contre tu peux la soulager et la rassurer à propos d’une chose.

- Cette cicatrice représente à la fois ma meilleure et ma pire journée.

Mot dit avec sincérité et nostalgie. Tu ouvres ta serviette pour la regarder. Tu serres la serviette entre tes mains.

- On devrait aller dans nos chambres…

Comment va-t-elle réagir ? Tu ne veux pas la quitter mais c’est peut-être la meilleure solution. Tu ne veux pas la déranger. Déjà que tu as fais l’enfant en repensant à cette histoire. Dévoilant une partie de ta vie sans réellement le faire. Tu titilles sa curiosité et elle est tellement gentille qu’elle ne t’embête pas avec milles questions à ton sujet. Elle est vraiment gentille. Tu la regardes dans les yeux avec amour, c’est bien la première fois que tu regardes une fille de cette manière et le pire c’est que tu ne t’en rends même pas compte. Tu es complétement chamboulé par ces vieux souvenirs qui sont douloureux. Aller ! Montre-nous le mâle dominant que tu es ! Impossible, il te faut un électrochoc…

Hime

Voix te serrant le cœur. Tristesse et honte camouflées sous la colère. Ce n'est pas de ta faute ? C'est qui l'a touché à cet endroit. Curieuse. Tu ne pouvais pas savoir. Si tu l'aurais su, vous n'en seriez pas là. Tu te mords la lèvre inférieure, à la fois coupable et frustrée. Vraiment ? Tu n'auras plus le droit de le voir. On dirait la menace d'un enfant. Tu n'en ris pourtant pas. Tu ne relèves même pas. Tu te concentres juste sur ta tâche, tentes de le calmer davantage. Léger sourire auquel tu réponds. Tu le laisses faire, même s'il n'a pas à s'en soucier.

- Je m'en fiche.

Mots clairs. Francs. C'est lui et uniquement lui qui t'inquiète, pas ta santé. Un petit rhume ne va pas te tuer. Baiser passionné, bras l'encerclant, doigt se mélangeant à ses cheveux, comme pour lui transmettre toute la force et l'amour que tu possèdes en toi. Et tu en as beaucoup. Hime. L'auto persuasion, ça fonctionne. Jusqu'à ce que ça ne fonctionne plus... Mais tu te gardes de lui dire une telle chose. S'il ne s'en est pas rendu compte ce soir, il s'en rendra compte bien assez tôt.

- Tu n'as pas à t'excuser.

Ne pas t'inquiéter. Plus facile à dire qu'à faire.
Corps secs, cheveux séchés, tu enfiles un fin peignoir tout en l'écoutant. Bien sûr tu es curieuse, mais tu ne le montres pas. Tu ne demandes rien. Tu lui fais juste comprendre du regard que tu ne le forces pas à t'en parler. Mais s'il en a envie un jour, tu seras là pour l'écouter. Tu ne veux pas lui faire encore plus de mal. Vos chambres ? Il y croire vraiment. Bon d'accord, tu as dis que tu ne voulais rien lui imposer. Mais quand tu vois la manière dont il te regarde, encore chamboulée par ce qu'il vient de se passer. Non. C'est juste impossible pour toi, Hime.

- Aoi Tsuki. Je reviens sur ce que j'ai dis juste avant ; je ne te laisse pas partir. Hors de question que je te laisse seul. Si tu veux aller dans ta chambre, je te suivrais. Et si tu décides de te barrer, je te suivrais aussi. Peu importe l'heure, en pleine journée comme en pleine nuit, qu'il fasse chaud ou froid qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige, je ferais toutes les rues de la ville pour te retrouver si je te sais dans cet état. Alors ton "on devrait aller dans nos chambre", tu peux te le mettre là où je pense. Tu vas juste prendre tes affaires dans la chambre d'amis pendant que je change le draps de lit de mon lit et tu vas te ramener dans ma chambre où tu vas passer le reste de la nuit avec moi. On est clair ?

Sans appel. Être tyrannique. Sans même attendre sa réponse, tu retournes à ta chambre afin de faire ce que tu as dis : changer le drap de lit. Comment vas-tu expliquer ça à ta mère ? Tu t'en souciera demain. Enfin, vu l'heure, dans quelques heures. Elle risque de te poser milles et une questions mais tant pis.
Satisfaction. Il t'a rejoint, alors que tu rangeais ses affaires et les tiens sur le côté. Sourire aux lèvres. Tu ne veux pas revenir sur ce qu'il s'est passé tout à l'heure. Pas ce soir. Tu es rayonnante, soudainement.

- J'hésite. Nuisette ou... t-shirt ? T'en a un pour moi ?

Sa cravate en main, tu la passes vite fait autour de son cou, tirant sur les deux extrémités pour l'attirer vers toi. Geste vif. Regard joueur.

- J'aime ton odeur.

Baiser volé. Tire la cravate que tu déposes sur le coin du bureau, attendant sa réponse.

- Ou alors je reste nue mais dans ce cas, tu devras me tenir chaud !

Aoi


Il y a quelque chose de fort entre vous mais tu ne le comprends pas encore complètement. Cette fille est idéale pour toi. Elle est gentille, têtue et pleine d’amour. Un amour qu’elle sera capable de te transmettre, il faut simplement que tu acceptes d’ouvrir ton cœur. Evénement difficile. Tu voudrais que cette douceur ne s’arrête jamais…impossible. Elle pense à toi en priorité et tu le comprends mais à quel point ? Pas suffisamment. C’est normal de s’inquiéter pour quelqu’un qui compte à nos yeux, met toi cela dans le crâne. Elle devrait peut-être te frapper pour que cette idée rentre dans ta cervelle d’homme renfermé. Un regard rempli d’amour inconscient qui la métamorphose totalement. Passant de l’ange à une véritable diablesse. Un monologue qui te surprend sur toute la ligne. Elle ne te laissera pas seul dans cette maison et te suivra partout peut-importe le lieu ou le temps… Tu fais de gros yeux ronds. Qu’est-ce qu’elle raconte ? Elle te poursuivre ou te cherchera peu importe la cachette. Pourquoi ? Pourquoi ferait-elle une chose pareille ? Tu n’es rien ! Au mieux, tu es son plan cul. N’importe quoi… Elle est beaucoup plus ! Elle n’est pas un jouet sur lequel tu peux t’amuser sans conséquence, sur lequel tu prendre dans jamais donner et que tu peux jeter d’une seconde à l’autre. Tu ne veux pas et tu ne la vois pas de la sorte mais vous n’êtes rien. Aucun mot ne définit votre relation alors elle n’a pas d’obligation à s’inquiéter autant pour toi ! Sourire disparaissant au vrai visage de cette étudiante.

Elle t’ordonne d’aller chercher tes affaires et de la rejoindre. Sinon, elle viendra. Drôle de menace. Elle s’en va s’en attendre ta réponse. Tu rigoles, une fois qu’elle est trop loin pour entendre. Main dans tes cheveux, tu souris amuser. Imbécile. Quel caractère de feu ! Tu aimes. Tu adores cette facette. Tu aimes beaucoup trop. Soupirement. Elle va te rendre dingue. Serviette de nouveau à ta taille, tu vas dans la chambre d’ami. Pensif. Main sur ton visage essayant de te réveiller. Qu’est-ce que tu fabriques mon vieux ! oubli cet épisode de ta vie et profite simplement de la nuit avec cette merveille. Il n’y en a pas 36 milles dans le monde dès comme elle ! Tu attrapes ton sac d’affaire et file dans sa chambre. Tu n’as pas l’habitude d’obéir aux ordres mais là… exception. Elle le payera. Tu n’as même pas pensé à mettre ton pyjama tellement tu pensais à la situation. Elle sourit à ton retour. Elle s’est transformée. Elle te pose une question intéressante. Quel pyjama mettre. Elle doit essayes de te changer les idées. Est-ce que ça marche ? Oui et non. Hime doit être sexy en nuisette, tu as bien envie de la découvrir dans cette tenue. Ah ? Elle voudrait un haut à toi ? Tu peux lui prêter ton haut de pyjama.
Tu arrives à prévoir son mouvement, tu laisses la cravate t’attirer à elle, vous rapprochant physiquement. Serviette tombant à ce geste alors qu’elle avoue aimer ton odeur. Baiser. Sourire joueur et coquin à la fois s’affichant sur ton visage à ce compliment. Nue ? Regard presque pétillant.

- Tu veux m’exciter avec de tel propos…

Excitation grimpant en l’imaginant dans certaine tenues. Tu t’approche de la demoiselle, la callant contre le bureau. Lèvres tièdes frôlant les siennes.

- Peu importe ta tenue pour passer la nuit tu seras toujours aussi sexy mademoiselle la dictatrice.

Baiser volé. Tes mains descendent sur ses flancs, l’agrippe pour la soulever et l’asseoir sur son bureau. Tes mains viennent ouvrir son peignoir, tu la regardes chaudement avant que tes lèvres descendent contre sa poitrine, titillant son téton droit avant d’aller vers son ventre et terminer à son clitoris que tu embrasses. Tu te penches pour attraper ta serviette et la poser sur le bureau. Tu remontes doucement, lèvres frôlant le corps d’Hime. Un petit soupire contre son oreille.

- Maintenant, je peux te passer un tee-shirt si tu veux dormir avec mon odeur ou alors je pourrais tout simplement te faire mienne à nouveau.

Proposition alléchante mais…le loup est de sorti. Ta main se déposant sur la gorge de ta partenaire, tu ne serres pas mains tu l’allonges plus franchement sur le bureau, dos dessus. Tu la regardes dans les yeux, ton membre irrigué contre sa fleur intime.

- Par contre, c’est hors de question qu’on fasse l’amour pour soulager ma douleur.

Tu es terriblement sérieux.

- On le fera seulement, si on en a réellement envie alors ne me chauffe pas dans le but de me changer les idées.

Regard froid. Monstrueux. Tu veux être clair et sincère. Elle n’est pas un jouet. Démon. Le message a été suffisamment clair à mon avis. Tu regrettes un peu cette froideur mais c’est pour elle, pour toi, pour vous.

- Je ne veux pas de cela entre nous deux, je t’aime trop pour cela !

Voix plus douce, plus amicale. Regard se détournant de ta compagne. Ta main descend sur sa poitrine, plus précisément au niveau de son cœur, tu la regardes quelques secondes avant de l’aider à se redresser. Tu la prends dans tes bras, la câlinant avec douceur et amour. Tu peux être autoritaire. Tu l’es souvent et elle ne changera pas cela chez toi ! Quoique, on peut toujours avoir des surprises. Tes lèvres se déposant sur sa clavicule, son cou, mains caressant ses cheveux. Tu termine par voler ses lèvres avec gourmandise. Un long baiser, terminant avec la langue. Tu mordilles légèrement sa lèvre inférieure. Tes yeux bleus dans les siens : Qu’est-ce qu’on fait ?

Hime


Sourire joueur. Prisonnière de cet être qui t'hypnose, voix et compliments provoquant chez toi une agréable sensation que tu avais oublié. Est-ce possible, Hime ? As-tu toujours cette chose pour toi ? Cette chose qui attire les hommes ? T'avais presque oublié ce que ça faisait d'être autant désirée. De l'entendre. Si les gestes sont et resteront toujours ce qu'il y a de plus important, les mots sont aussi quelque choses qui leur place en ce monde. T'en avais besoin, Hime. Pourtant, tu n'as pas besoin que tous les hommes te courent après. Tu t'en fiches. Mais venant d'Aoi, c'est différent. Ses paroles font battre ton cœur. Qu'est-ce qu'il se passe ? Est-ce ton désir pour lui ? Tu n'es pas le genre de fille qui se laisse avoir par de belles paroles. Tu serais déjà enterrée si c'était le cas. Alors d'où cela vient-il ?

Proposition alléchante. Dos contre ton bureau, main à ta gorge, paroles sans appels. Tes yeux deviennent ronds. Ce n'est pourtant pas ce geste qui provoque chez toi une telle réaction. Non. Ce sont les paroles du brun. Paroles qui s'enchaînent. Hime, se rend-t-il compte de ce qu'il dit ? Des termes qu'il emploie ? Ton rythme cardiaque s'accélère, ton corps tremble et tu ne sais même pas pour quelle raison. Est-ce les sous-entendu de ses paroles ? L'excitation ? Ou tout autre chose. Tu ne sais pas. Tout ce que tu sais, c'est que tu veux de lui. Mais avant, tu dois clarifier un point essentiel.


- Je ne te cacherai pas que je te taquinais un peu dans ce but.

Petite pause.

- En revanche, je ne voulais pas te chauffer pour ça. Je ne me rendais pas compte à quel point je te faisais de l'effet jusqu'à maintenant.

Sourire à la fois joueur et sincère. Bras t'entourant. Gestes tendre. Tu l'entoures des tiens, caressant son dos et sa nuque avec délicatesse. Long baiser. Ta langue vient doucement caresser la sienne. Petite danse. Tu le regardes dans les yeux, y cherchant tu ne sais trop quoi. Sans doute de quoi être certaine que tout t'es permis à cet instant précis. Que le choix te revient réellement. Il est déjà fait. Tu viens capturer ses lèvres, passionnée, gourmande, affamée, douceur trouvant à peine sa place dans cette danse infernale entre vos lèvres et vos langues. Ta main derrière sa tête, réclamant sa proximité. Encore et encore. Plus. Ton bassin le plus proche possible du bord du bureau afin que tu puisses sentir son corps contre le tiens. Feu ardent. Pause. Le temps de reprendre ton souffle. Main venant jouer avec son membre, pouce dissipant son liquide. Premier souffle.

-Je te veux. Second souffle. - Je m'en fou que ce soit sur le nouveau drap ou ce bureau. Je te veux et c'est tout.

Aoi


Une mise en garde essentiel d’après toi ! Elle ne voulait pas devenir ton jouet alors il ne faut que vous fassiez certaines choses dans l’objectif de te changer les idées. Sinon, cette histoire va mal finir. Elle ne semble pas apprécier tes mots, yeux ronds. Tu l’observes et tu essayes de comprendre ses pensées. Difficile, il s’agit d’une femme après tout. Tu ne veux pas de cette union dans le but de panser ta plaie. Pourtant, ton membre est irrigué et prêt à l’emploi. Corps cruel et traitre. Parole qui ne te font pas plaisir dans un premier temps. Elle agissait ainsi pour t’embêter dans ce but…celui de te changer les idées. Quel dommage. Un rire s’échappe. Tu rigoles en l’écoutant. Elle te fait carrément de l’effet et depuis la douche, vous n’arrêtez pas de vous chauffer l’un l’autre mine de rien. Tu l’enlaces et elle te rend à merveille ce geste. Baiser passionner, tu ne veux plus quitter ses lèvres alors que tes mains se baladent sur son corps, en dessous de son peignoir. Danse endiablée entre vos langues, excitation grimpante. Tes mains se pose sur les cuisses de la demoiselle, légère caresse. Ton regard azur dans le sien. Main sur ton anatomie masculine, tu mordilles ta lèvre. Tu sais déjà ce qu’elle va dire. Elle te désire, feu ardent qui te consume. Tu la veux autant qu’elle te veut. Regard pétillant de bonheur et immense sourire de satisfaction.

- Je te désirs moi aussi !

Vérité dévoilée avec enthousiasme. Tu voles ses lèvres une nouvelle fois alors que tes mains écartent les cuisses de ta partenaire. Tu l’approches de toi et l’invite à placer ses jambes sur tes hanches. Tu la porte du mieux que tu peux pour placer ta serviette sous les fesses moelleuse de ta fleur. Baiser à sa clavicule, tu n’attends pas pour la pénétrer sans prévenir. Tu es suffisamment excité pour que tout se passe bien, tu as tout de même l’impression que ses parois intimes sont plus serrées. Sensation enivrante, tu gémis. Tu l’allonge brutalement, ta main retournant à son cou alors que tes lèvres embrassent sa poitrine. Mouvement de bassin représentant le début de votre union. Tu n’es pas délicat contrairement à tout à l’heure. Coups de reins énergiques.

- Je veux t’entendre hurler ton plaisir tu m’entends !

Murmure suave contre son oreille. Tu te redresses en la regardant dans les yeux pendant que tu prends ton pieds, bruit érotique de ton bassin claquant contre le sien et le bruit du bureau à cause de vos ébats. Tu fais en sorte de toucher le fond de son vagin pour qu’elle adore et tes doigts de ta main libre glisse à son bonbon rose pour plus de stimulation.

- Putain oui !

Un visage plus brutal dévoilé à ta partenaire. En espérant qu’elle ne subisse pas trop ta brutalité. Tu te rappelle tout de même qu’elle marque facilement. Mémoire revenant à la vie et pulsion ralentissant. Tu te penche pour l’embrasser.

- Tu veux un oreiller ?

Voix d’une gentille extrême. On est loin de la brute précédente bien que le naturel revienne au galop.

- J’ai tellement envie de te prendre dans l’autre sens…que tu sois dos à moi.

Précision pour qu’elle ne se trompe dans l’interprétation de tes propos presque douteux. Ta douceur n’aura pas durée, tu redeviens sauvage avec des coups de reins plus intense, plus profond et plus rapide. Tu es au taquer ce soir et tu espères qu’elle suive le rythme, ta cadence.

Hime

Baiser brûlant. Désir croissant, si c'est seulement encore possible. Tu comprends vite ce qu'il souhaite, ce qui est le plus facile pour y arriver, jambe sur ses hanches, position te permettant de sentir ton membre ton entrée. Votre union est plus douloureuse cette fois. Heureusement, ton corps était déjà assez stimulé pour que la pénétration ne se fasse pas à sec. Geste brusque. Ordre susurré à ton oreille. Grisant, transformant ta douleur en plaisir intense. Bien plus encore que tout à l'heure. Si tu étais d'humeur à profiter d'un sex doux tout à l'heure, maintenant, tu t'abandonne pleinement au plaisir d'un échange plus brutal.

- O-oui. Ah !

Il touche là où il faut et il se sait, observateur retenant parfaitement ce qui te stimule le plus. Tu réponds à ses désirs, visage et sons exprimant clairement ton plaisir.

Semblant de pause. Il fait tout de même attention à toi, Hime, réchauffant ton cœur au même niveau que ton corps. Brûlant. Qu'est-ce qu'il se passe.

- N-non c'est bon. Merci.

Phrase formulée entre deux souffles. Souffles qui te permettent de te préparer à la suite, lui reprenant à un rythme encore plus rapide. Plus brutal. Tu n'as même pas eu le temps de lui répondre, d'accepter ou non de répondre à ses envies.

- Putin, Aoi.

Ça t'échappe complètement. Si tu ne te retenais pas, tu aurais sûrement déjà craquer. Complètement. Il te rend dingue alors qu'il malmène ton corps, désirs d'en voir encore plus.

- Aoi. J-je veux bien. Fais-toi plaisir.

Il le mérite amplement. Tu te redresses, capturant ses lèvres avec passion, tout corps aussi dos au sien. Moment de plaisir plus doux, comme pour vous reconnecter, émotionnels. Bras lever, main venant délicatement agripper ses cheveux. Nouveau baiser.

- Ne t'en fais pas. Je suis pas faire de verre. Je veux que tes doigts marques mes hanches.

Preuve supplémentaire qu'il ne se sera pas retenu en te sous-estimant. Mais surtout, preuve qu'il aura passé un bon moment. Tu penses à son plaisir. Dernier baiser avant que ton corps ne touche de nouveau le bureau. Tu es prête à le sentir entrer et sortir encore plus vite, plus profondément, ...

Aoi


Fin observateur, il fait l’être pour être un bon manipulateur et tromper ses demoiselles. Habitude qui ne t’échappe pas, tu as vite remarqué l’un des points sensibles de ta partenaire. Le clitoris ! Point magique pour ces dernières D’ailleurs, son petit cri te plait. Aucune retenue, tu veux l’entendre encore et encore. Son expression, tu veux la voir plus souvent prendre autant de plaisir avec toi ! Tu veux être le seul à la toucher, à la stimuler, à lui faire de l’effet et surtout être le seul qu’elle désire. Une petite attention au milieu de cette brutalité. Un regard chaud et rassurant. Elle ne veut pas d’oreiller.

- Très bien.

Acceptation de son choix. Tu ne ralentis pas le rythme au contraire, mouvement entrant et sortant de son intimité humide. Parole faisant battre ton cœur plus vite et monter en flèche tes diverses plaisirs. Cette voix, tu ne veux pas quelle cesse d’exprimer son ressenti. D’ailleurs, elle reprend et désir que tu réalises ce qui te fasses plaisir, ta proposition plus tôt. Sourire coquin aux lèvres, tu l’aides à se relever en ralentissant le rythme. Baiser énergique, transmettant vos envies et cette pulsion brûlante. Tu te retires de son intimité pour vous retrouver dos à dos Tes mains parcourant le corps chaud de ta fleur. Doigts effleurant sa poitrine, lèvres à son cou avant d’un autre baiser passionné. Douceur avant la tempête. Un léger rire à son commentaire. Elle n’est pas fragile et veut que tu la marques.

- Je vais te rendre dingue de moi !

Mot récité avec assurance et désir. Bien sur que tu veux qu’elle en redemande. Ton corps la réclame, ton membre contre son fessier dans cette douce étreinte. Un dernier contact entre lèvres avant qu’elle ne se penche sur le bureau. Vision terriblement excitant, tes mains se baladant de ses épaules au bas de son dos. Un massage rapide des ses fesses, elle a un joli cul d’après toi, bien ferme. Tu souris, baiser sur son échine avant de la pénétrer entièrement. Un grognement masculin, représentatif de ton plaisir à cet instant précis. Tu commences à la prendre sauvagement, le bureau bouge et fait du bruit au rythme de tes coups de reins. Tes mains se serrant sur ses hanches, tu vas clairement laisser des marques. Tu touches le fond de son vagin à quelques reprises mais ce n’est pas ce qui compte tout de suite. L’une de tes mains monte à sa chevelure pour déplacer sur le côté ses nombreux cheveux. Main attrapant sa nuque légèrement serrée. Ta main à la hanche est beaucoup plus douloureuse. Ton but n’est pas de lui faire mal. Tu te penches légèrement sur cette dernière, changement d’angle et cette fois tu touches le fond de sa fleur intime à chaque coup de rien plus violent les uns après les autres.
Tu comptes bien lui donner tout le plaisir que tu ressens, la crever de bonheur.

- Hime !

Voix masculine indiquant à quel point tu penses à elle pendant cette union. Tu es avec elle et personne d’autres en tête. Voix légèrement tremblante. Tes muscles commencent à se contracter davantage. Tu ne bas pas tarder à craquer avec ce rythme de fou. Bien que tu tiennes depuis un moment, la pauvre demoiselle. Tu veux voir son visage mais impossible dans cette position. Merde ! Tu n’es pas loin de céder.

- Putain c’est tellement bon !

Tu t’arrêtes ressortant de ses lèvres humides. Mordillement sur ta lèvre inférieure. Tu la tire vers toi, la redressant pour la retourner.

- Je veux voir ton visage.

Tu la pose rapidement sur le bureau, main sur ses cuisses pour quelle emprisonne tes hanches et toi main sous ses fesses pour la soulever. Tu te débrouilles et arrive à la pénétrer à nouveau, gémissement à ses lèvres, tu l’embrasses avec gourmandises. Ton bassin remue, tu la déposes sur le bord, mains venant se poser sur son visage. Ton regard bleu dans le sien, expression de plaisir au moment de jouir, membre au plus profond de son intimité, libérant ta substance fertile. Bruit masculin accompagnant le tout…

Hime

Moment de douceur nécessaire pour vous retrouver, pour reprendre votre souffle, pour vous préparer. Tu as accepter que la bête se lâche davantage et il va falloir assumer. Tu profites de ses baisers dans ton cou, zone sensible, sensuelle, excitante. Zone qu'il faut chérir.

- Je suis déjà dingue d'accepter.

Petit sourire. Tu n'as pas peur, il peut le sentir à ta voix, à ton expression. Tu as juste conscience de ce qu'il t'attend. Dernier baiser pour un temps, gestes te préparant, soupire t'échappant lorsqu'il revient en toi. Sauvage. Passionné. Grisant. Tu tiens le rythme, y prend même du plaisir, toi dont le corps semble pourtant si fragile. Ses mouvements, ses sons, sa prise sur tes hanches...Prisonnière d'un plaisir que tu n'avais plus ressenti depuis ce qui semble être une éternité. Tu en veux encore et tu lui fais comprendre, sons s'échappant d'entre tes lèvres. Tu remercierais presque ceux qui ont construit ta maison d'avoir laisser de l'espace entre elle et les autres. D'avoir les murs bien isolés. Tes parents d'êtres encore absents. Ton bureau d'être de très bonne qualité et donc résistant. Main se fermant, corps en réclamant encore : douloureux plaisir. Mais bien être avant tout. Tout corps parle pour toi. Noeud commençant à de former de nouveau dans le bas de ton ventre...
Arrêt. Insupportable torture. Ça ne dure que quelques secondes... Secondes bien trop longues à ton goût.

- Ouais ben dépêche-toi ou je ferais en sorte que tu ne vois rien !

Exigeante. Hors de question qu'il perdre plus de temps. Pas que le plaisir devienne trop long, ta demande n'étant pas là parce que tu n'en peux plus. Mais tu es bien trop proche pour qu'il te refuse ta libération. Jambes le tenant au plus près de toi. Baiser affamé. T'es de nouveau rassasiée, tes yeux plongés dans les siens, mordant ta lèvres inférieure, bras autour de son coup. Le sentir glisser le long de tes parois, sentir son souffle se mêler au tiens, vos sons de plaisir... Tout te rend dingue .

- Aoi.

Main aggripant ses cheveux sans trop tirer pour ne pas lui faire mal ou même prendre le risque de lui en arracher... Partie de lui que tu chéris trop pour ça. Ça semble être tout ce qu'il attendait pour t'accorder ta délivrance. Et la sienne. Liquide chaud se dispersant à l'intérieur de toi, membre palpitant. Corps tremblant. Peau humide. Tu caresses son visage, font contre le sien, respiration rapide et profonde. Tu as besoin de reprendre ton souffle, de le regarder, de le toucher tout en lui laissant de l'espace. Il est bien plus essoufflé que toi après tout.

Sourire étirant tes lèvres. Rapide baiser, avant d'embrasser sa joue, se tempe, son cou, son épaule, bras l'entourant. Expression de ta reconnaissance pour ce moment unique en son genre, de ton affection pour lui, de ton plaisir. Sourire contre ses lèvres, les capturant pour un doux baiser.

- Il va me falloir un gant de toilette pour laver ça.

Léger rire contre ses lèvres.

- J'aurais bien besoin d'un bain mais tu m'as trop épuisée pour ça.

Nouveau baiser.

- C'était parfait. Avant comme maintenant. Tu vois, je suis toujours entière !

Aoi


Une union intense comme tu adores mais vous êtes tellement proche autant physiquement que mentalement. C’est encore plus plaisant comme sensation. Une libération qui ne tarde pas, un jouissement attendu avec envie et qui te fais tellement de bien ! Ton membre palpite alors que le sien se referme sur toi. Passage étroit. Tu trembles sous l’excitation, ta respiration est tellement rapide et le coup de barre arrive. Tu es crevé, tu t’es donné dans ce plaisir charnel. Front contre front, vos respirations se mélangent. Cœur battant tellement fort dans ta poitrine avant de ralentir. Euphorie. Tu ressors de cette dernière. Un baiser et tu lui souris avec tendresse et satisfaction. Elle t’embrasse un peu partout et cela te plait, tu la prends dans tes bras pour l’étreindre. Tu veux sentir sa chaleur près de toi, peut-importe si vous avez transpiré. Vous souriez et vous embrassez à nouveau pour ton plus grand bonheur. Respiration se calmant doucement. Tu rigoles à sa demande. Tu dois aller le chercher c’est ça ? Oui, tu as tout compris mon grand ! Elle te parle ensuite d’un bain. C’est une idée pour vos prochains ébats…Coquin ! Baiser. Elle continu en décrivant son ressentiment. C’était parfait ? Yeux pétillants. On te l’a déjà dit mais venant d’elle c’est différent. Tu es sincèrement touché, tu es heureux quelle le pense sérieusement et qu’elle exprime avec facilité ce quelle pense. Tes mains remontant sur son visage pour voler ses lèvres avec passion.


- C’est toi qui es parfaite !

Regard profond et d’une gentillesse extrême. Tu ne rougis pas, je crois que tu n’as pas rougis depuis bien longtemps malgré tes propos.

- Je t’apporte un gant, attend moi là.

Long baiser à son front, tes mains lâchant le visage de ta compagne. Tu t’essuis vite fait avec le bout de la serviette pour éviter qu’une goutte ne tombe sur le sol… Tu files à la salle de bain. Tu te nettoies à toute vitesse pour ne pas faire attendre la demoiselle, mais tu le fais correctement. Tu prends un gant et le mouille avec de l’eau chaude. Tu reviens, un sourire joyeux sur le visage pour lui passer le gant afin qu’elle se nettoie à son tour.

- Tiens, il est chaud.

Baiser sur son cou. Tu la laisses gérer pendant que tu vas à ton sac pour prendre ton pyjama. Un peu d’intimité pour sa toilette. Tu enfiles le short et retourne auprès de la demoiselle.

- Enfile mon haut, il te tiendra chaud et tu auras mon odeur sur toi.

Elle a terminé. Tu l’aides à s’habiller, après, bisou sur le dessus de sa tête au niveau de sa belle chevelure. Tu es crevé mais tu vois bien à quel point elle est fatiguée. Tu décides de la porter comme une princesse pour l’amener à son lit. Tu la poses dans le lit avec douceur. Ton regard glisse sur ses hanches qui sont rouges à cause de ta prise trop brutale. Un baiser sur ses marques puis tu t’allonges à ses côtés la prenant dans tes bras avant de vous couvrir du drap propre. Tu l’embrasses un peu partout et termine par ses lèvres. Un baiser amoureux.

- Repose toi, tu prendras un bon bain demain pour te détendre. Bonne nuit ma dictatrice.

Mot doux prononcés à ses oreilles. Tu es fatigué et tes paupières sont lourdes. Tu luttes pour vérifier qu’elle s’endorme, tes mains papouillant son corps avec délicatesse, souffle lent. Tu entends son cœur battre, tu es près d’elle et tu chéri ce moment. Ton premier véritable moment doux après le sexe. Baiser sur son corps de temps en temps mais suffisamment délicat pour quelle ne sente rien. Tu finis par t’endormir.

Hime

Sourire aux lèvres. Joues légèrement rougies. La chaleur ? Le compliment ? Tu n'en sais rien. Tu ne sais même pas pourquoi tu réagis de la sorte ; sortir une telle phrase, c'est facile. Mais de la bouche du brun, c'est différent. Tu ne sais pas. Retour des questions. Tu hoches la tête, souris, le regarde s'éloigner pour aller te chercher ce qu'il te faut. Regard perdu dans le vide. Tu essaies de rassembler les pièces du puzzle, de comprendre certaines choses, de mettre des mots sur tout ce qu'il s'est passé ce soir. Montagnes russes infernale, coeur battant dans ta poitrine, menaçant de s'en évader. L'effet de l'effort ? En partie. Pas le temps de penser. De te calmer davantage, doux baiser déposé dans ton cou.

- T'es un ange !

Gestes délicats afin de ne pas malmener davantage ta zone sensible. Chaleur apaisante. Étrangement rafraîchissante. Gant jeté sur le vieux drap de lit. Tu enfiles un sous-vêtement adapté. Tout retombe dans tes jambes qui te semblent bien lourdes. Fatigue croissante alors que tu souris à ton partenaire, bras levé pour enfiler son haut. Odeur chatouillant tes narines. Que tu l'aimes. Sourire ravie. Ravi de ce choix. Ravi de ses attentions. Tu te laisses portées jusqu'à ton lit, bras autour de son cou. Princesse gâtée après ce long et intense moment intime. Tu es fatiguée mais ça ne t'empêche pas de prêter attention aux gestes et aux paroles du brun. Baiser sur tes zones douloureuse, corps chaud contre le tiens, draps frais venant vous envelopper, nouveaux baisers, lèvres de nouveau volées. Maintenant, tu en es sûre, Hime : tu veux qu'il essaie. Tu veux qu'il fasse tout ce qu'il peut pour voler ton cœur. Tu veux qu'il te fasse sienne. Pas juste comme il voulait tout à l'heure. Vraiment sienne. Corps et âme. Bon sang, tu es fatiguée pour penser ainsi ! C'est ça, non ? Non.

- Bonne nuit, Aoi.

Yeux fermés. Corps collé au sien. Tu entends sa respiration. Son cœur. Sent son souffle. Ses doigts caresser délicatement ta peau. Comme tu aimes. Sensations de plus en plus lointaines jusqu'à totalement disparaître.

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