SOMMET de MADRID - U€/NATIONS

Ces sommets nous permettent de travailler, de réfléchir à l'Europe que nous voulons et à mettre ensemble des forces politiques qui ne sont pas aujourd'hui dans les mêmes groupes, mais dans le but de contituer une trè grande force politique au sein du Parlement européen pour pousser des dossiers auxquels nous attachons une importance toute particulière et sur lesquels nous avonsune vision extêmement proche. Le sujet du déficit d'industrialisation en Europe, le sujet de notre dépendance aux importations dans des fillières essentielles pour nos pays.
Le sujet, bien sûr, de l'immigration dont nous serons amenés à reparler puisque Emmanuel Macron va annoncer le 2 février l'avancée du dossier du Pacte des migrations qui, contrairement à ce qu'il essaye de faire croire, n'est pas une maîtrise supplémentaire de l'immigration dans l'Union européenne, mais au contraire une aggravation de la pression migratoire dans les différents pays de l'Union européenne et preque le transfert de la souveraineté des nations sur les politiques d'immigration vers une forme de compétence exclusive de la Commission.
La Cour de justice va être amenée à se prononcer concernant la Hongrie. Je m'attends au pire ; donc toute la question de quel est le pouvoir des constitutions nationales sur les texte européens va se poser à nouveau.
-"Les décisions qui vont être prises par des instances européennes contre la Pologne et contre la Hongrie doivent mobiliser l'ensemble de notre énergie, l'ensemble de notre indignation. Car ce qu'a dit Victor Orbán est vrai : " aujourd'hui, c'est eux. Demain, ce sera nous.
Je pense que la SOUVERAINETÉ, C'EST LA BASE SANS LAQUELLE RIEN N'ES IMAGINABLE ; RIEN N'EST POSSIBLE !

On s'est trop battus dans notre histoire et dans nos histoires respectives pour cette liberté des peuples, pour aujourd'hui l'abandonner sous des considérations juridiques qui sont des considérations, je vous le dis très clairement teriblement malhonnêtes.