Auteur : Sixte Rheis
Posté le 24 septembre 2014
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Confidences Présidentielles,

Ou les travers d’une société corrompue. Notre Cité en perdition.



Je pense qu’afin d’ouvrir ce livre, ou cette série de livres je m’entends, je me dois de présenter l’auteur. L’auteur n’est qu’un simple pol, parmi tant d’autres me diraient certains. Et d’autres me diraient à quel point l’auteur peut-être exceptionnel, sans prétention mesdames messieurs. L’auteur est, fut en réalité un homme politique avant tout. Mais aussi un homme d’écriture qui eut la volonté d’œuvrer chaque époque contemporaine ou ancienne à nos Médias. D’où l’écriture de cette série d’ouvrage à titre personnel. Appelez-le d’ailleurs comme bon vous semble. Scandales, recherches d’une éternelle célébrité, ou grand titre révolutionnaire. Quel beau mot. Mais j’aime me faire l’idée que cet ouvrage est à finalités philosophiques. Car il n’y pas plus philosophe celui qui met en réflexion et en cause les choses d’une société, en autres. Et qui cependant, se perd lui-même dans ses contradictions ainsi énoncées. Quoi qu’il arrive mes amis, ce livre traite de la société polienne en général, et de ces travers en particulier. Prenez cet ouvrage plutôt comme une description discriminatoire, d’un compte rendu personnel et expérimental de la Cité. Ces choses-là énoncées, nous pouvons ainsi donc commencer notre aventure. Confidences présidentielles, les travers d’une société corrompue. Ou l’art de décorer un champ de bataille où plus rien ne pousse, sauf la vermine.

J’ai souvent l’image de notre ville comme un champ de bataille. Souvent utilisée, cette image me reste à l’esprit et restera encore le temps. Comme la période des Trente Glorieuses dans la dimension humaine, ou l’âge d’or, notre ville a en effet connu ce genre de choses. Mais après la suprématie d’une époque ancienne pleine de vie, et de personnalités vivantes encore dans notre Cité, et pas dans les campagnes dimensionnels, nous nous sommes retrouvés dans une époque noire et sombre. Une ville dans une nuit d’hiver, où le brouillard règne et une odeur de poudre à canon omniprésente. Des rues sombres, de néfastes personnages aux visages crispés par la fatigue et l’horreur, et des non-dits. Nous avons l’impression que la vie a disparue. La vie médiatique, politique et mondaine, je m’entends. Mais comprenez bien que, cette œuvre ne traite pas de la mondanité, quoique. Nous vivons dans un champ de bataille où chacun a bâtît sa propre tranchée, s’échangeant quelques pigeons de temps en temps, et de façon à faire apparaître une ségrégation. Je ne m’étalerai pas sur cette ségrégation de type de personnes. Sachez qu’elle existe. Nous vivons dans ce champ de bataille, où même le capitaine et chef d’armée s’est honteusement volatilisé, sous la pression d’un monde plus prospère que le nôtre. Déserteur, me direz-vous. Voilà, selon moi et mon humble avis la source de notre problème. La source même de marche à reculons, et de l’enterrement dans nos tranchées. Notre créateur, pour revenir à notre Cité. Notre Dieu, comme certains se donnent l’envie et le plaisir de l’appeler après s’être arrangé après quelques amitiés bien choisies et voulues. Je pense que le premier point dont nous devais faire usage est le suivant : Orkyd. Ou je ne sais quel nom d’artiste et illusionniste ils se donnent. Je passe souvent pour un fou, voire un extrémiste dans la plupart des cas, ou un simple petit con faisant de l’anti-jeux comme j’ai eu bon de l’entendre une fois dernière, en disant des choses comme je tenterai de me faire comprendre, aussi difficilement que je vais le faire et aussi, sourd d’esprit que certains vont être pour déformer. Orkyd, ou O’ pour jouer un rôle de demi-censure le temps de notre aventure, ne fait rien pour arranger les choses. Et ce, sur plusieurs angles d’attaques. Avant tout, je vois bien les : On ne s’improvise ni webmaster, ni professionnel du marketing, ou encore moins gérant d’une entreprise virtuelle. Et je vous renvoie la chose. Pour tous ce que je pourrai me permettre de dire, avec toute la liberté d’expression que je peux posséder en tant qu’être polien, du moins. O’ ouvre une animalerie mais préfère s’occuper d’une autre animalerie alors que celle qu’il possède premièrement n’est pas correctement finalisée. Voilà notre problème, mes concitoyens. Pourquoi donc, faire dans la quantité que dans la qualité ? Mauvaise approche ? Ou différente selon vous ? Alors partez de suite. Et ne finissez pas ce livre. Cela vous agacerait comme cela agacerait un être voir la vérité nue en face de lui. Tout simplement que nous alimentons assez un système financier qui suffit, visiblement et par expérience tirée de ces deux dernières années, pour laisser le jeu tel qu’il est. Je vous arrête de suite, si vous me reprochez de vouloir un monde parfaitement fait. Non … non. Malheureux, vous ne comprenez pas la portée de mon message. Par pitié, relisez bien. Faîtes attention à ce que vous vous laissez penser. Et écouter, par pitié. Je ne cherche en aucun cas, du moins dans cette œuvre, à vous dépeigner ce monde parfait dans lequel chacun pourrait trouver son havre de paix. Non. Mais croyez-moi, par pitié, quand je vous dis que de passer à un extrême à l’autre peut être choquant.
Je commencerai par décrire un point majeur de ce problème : le renouvellement. Je n’ai échos, en effet, de comment notre ville fait parler d’elle en dehors de nos murs. Mais il ne faut pas être sorti de l’Université de Laurian Piron, ‘ex-secrétaire général de la Stéréopole’ pour comprendre que notre population ne se renouvelle pas. Mais comment faire ? Je trouve qu’un mot qui qualifie parfaitement bien la chose. De nos jours, et dans les jours humains, ceci est très courant dans un système plus grand et important que le nôtre : la mercatique. Je ne suis pas économiste, ou encore pas fait Technique de Commercialisation, bien que cette université n’existe pas dans notre milieu à mon grand regret. Mais un manque de publicité pour notre ville se fait ressentir. Nous sommes 200 maximums à tout casser, sans mauvais jeux de mots, à vivre dans notre époque. 200, sur une espérance de presque plusieurs millions d’habitants potentiels. Moi, petit être démuni de bon sens, me dit avec l’esprit immature et certainement en manque d’expérience, que cela me parait faible, tout de même. Ou du moins, juste une centaine de nouvelles gueules et de nouvelles maturités en ce temps estivales, où beaucoup s’ennuient chez eux. Mais là encore, dans ce point important, je le conçois. Je ne peux rien dire. Je ne suis pas un Dieu.
Cela rejoint mon deuxième point concernant cette première partie. Une attractivité nulle. Non pas nulle dans le sens dont vous pouvez certainement le comprendre, mais plus dans le sens inexistant. En effet, le site perd de son envergure. Mais une question reste à poser concernant ce point. Est-ce la faute totale de notre cher maire, ou aux contraires de nos voisins ? Il faut bien comprendre que non seul notre maire ne peut assurer la totale vie de notre Cité. Et nous reviendrons au même cercle dans ce cas-là. Après que tout le monde ait couché avec chacun, que reste-il à manger ? Des sans-orthographes fixes ? D’anciennes figures mondaines ou montantes ? Des pervers à la recherche de cul-cul bon à marchander ? Ou bien, les riches et égocentriques personnages s’occupant de leur propre argent et de leurs histoires sans importantes ? Bien que j’en fasse partie, je vous l’accorde. Dans ce cas-là, admettons-le. Une bonne fois pour toutes. Nous ne vivons plus dans une Ville ou une Société. Mais plutôt dans un grand centre de rencontres pour pseudos malheureux de la vie humaine, ou incapable d’affronter certaines réalités pour la plupart des cas. Non non … admettons bien cette chose. L’attractivité de la Ville s’arrête à des chiens qui se sentent chacun leur tour, ou se mordre à coup d’absurdité. Même certains, se pissant dessus, arrivent à trouver le moyen de se faire passer pour des toutous royaux auprès de sa Majesté.
Une chose simple pourtant pourrait apporter réconfort à nos petits êtres sans amusement. Cette expression est tellement démodée de sens et d’existence que plus personne ne connait son appartenance. Nul ne saurait la retrouver, prenons le cas général en effet, et nul ou quelques, ne saurait décrire son contenu. Vous l’avez surement pas compris de quoi je parlais ? C’est normal. Le Calendrier officiel. Déjà le nom me porte quelque peu en confusion. Calendrier ? Je peux concevoir un tel nom, oui. Mais encore faut-il que la notion de temps soit suffisamment compréhensible et même visible pour appeler cela « Calendrier ». Au moins, un rapport ou un lien aussi étroit avec des dates ou des évènements à venir. Je n’en vois aucun. Non, non, j’appellerai cela plutôt Liste Utopique d’Idées Laissées dans l’Ignorance et l’Oubli. Vous voyez, que déjà cela sonne un peu mieux ? Et qu’ainsi un ignorant de la Société peut facilement comprendre la chose. L’idée est là. L’idée est posée. Mais surtout l’illusion envolée. Je n’aurai pas l’envie ni le temps de compter le nombre de modifications qui seraient utiles à notre ville. Non, je ne pourrai pas. Cela ne me donnerait que la satisfaction d’annoncer à cette œuvre sa raison de vivre et de respirer l’encre. En effet, les requêtes s’accumulent. Mais l’argent lui aussi s’accumulent. Aussi peu que cela peut tirer. Ainsi, même les quelques requêtes simples à réaliser et qui pourraient faire avancer les choses doucement, mais finalement, sont pas présentes. Mais l’achat de pièces est bien là. Je vous laisse faire le calcul inévitable du 1+1=3. Une erreur persiste. Je prendrai ainsi quelques exemples, en fin de compte, pour illustrer quelques problèmes qui pourraient se résoudre, par expérience et par imagination quelque peu négligée. L’augmentation du pourcentage de nourriture apportée pour un panier biologique : l’essor du métier d’agriculteur ou de la vente de panier biologique, ainsi que le rachat des déchets. Création de commentaires pour les articles, permettant comme son créateur dit, le re-lancement de débats et du métier de journaliste. Déblocage de certaines vertus grâce à des objets d’un artisan, comme l’augmentation du bonheur, de la vitalité pour l’achat d’un ticket de cinéma, ou d’un bouquet de fleurs, permettant le re-lancement là aussi de l’attractivité et l’achat chez un artisan. Ou encore, option esthétique chez le chirurgien pour enlever les rides suite à la vieillesse du pol ou de la polette, afin de revoir quelques chirurgiens en ville. Je pourrai ainsi faire la liste de beaucoup de requêtes qui permettraient la vitalité et l’apparition de certains métiers oubliés, ou de certaines fonctionnalités du site. Je ne pense pas réellement et sincèrement que certaines requêtes prennent autant de sous et autant de temps pour être réaliser et faire bouger les choses. Non je ne pense pas. Là aussi, un manque total de travail du dessus est flagrant et laisse notre Société tomber dans un oubli, et dans un système de rationnement : plus rien n’existe, sauf une crise. Nous sommes obligés de chercher pour trouver certaines denrées rares ou plus présentes. Même certains cours de professeurs nous l’indiquent clairement : ne vendez pas cela, aucune utilité, aucun bénéfice. Alors pourquoi soit, le laisser tel quel en service et en ligne, ou ne pas le valoriser grâce à deux trois manipulations bien faites ? Je ne m’étendrai pas plus sur ce sujet-là.
Ainsi s’achève, la première partie de l’œuvre complète.

Commentaires

#1
de Janis OUTLAW
le 03/10/2014


Je te rejoins dans cette idée.. En 2007/2008 il y avait effectivement autour de 300 à 400 pols qui venait toujours les jours fréquenter le jeu.
Aujourd'hui on arrive seulement à 200 (et juste en heure de pointe).
C'est qu'il y a une raison à cela. Et on va se mentir, Orkyd (l'ancien) tient une part de responsabilité à ce manque d'affluence. Le fameux "calendrier" était un pain béni pour les pols, il est devenu le poison de cette ville.
Il est temps, pour les pols de repenser cette ville et de la faire changer par nous-même, avec nos moyens.

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