Auteur : Jurichan
Posté le 26 mars 2014  | Édité le 5 avril 2014
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Signes égninatiques


Le collège de St Exupéry est un petit établissement, il compte un peu moins de trois-cent élèves. Les jeunes étudiant, en ce début de journée, attendant la sonnerie, signalant le début des cours. Cinq filles, en classe de cinquième, discutent pour passer le temps :
« -Laure, t’as fini ton dessin d’art ? demanda Noémie à une jeune fille aux cheveux longs et légèrement ondulé couleur du soleil, qui la regardait de ses yeux verts clairs, sa peau, aussi blanche que la lune faisait ressortir sa rouge écharpe. Elle portait un caban noir qui s 'alliait parfaitement avec son pantalon de couleur rouge.
-Non, je ne l’ai pas terminé. répondis Laure à la fillette rousse à la peau claire qui avait de taches de rousseurs. Elle aussi avait des yeux verts, mais était habillé moins bien chaudement que son amie.
- Montre-le toujours ! intervint Pauline, qui écoutait la conversation
-Si tu veux… »
Laure posa son sac à terre et l’ouvrit, une multitude de cahier se trouvait à l’intérieur, elle en sortit une pochette. La jeune fille défit les élastiques et pris une feuille où était dessiné une dame à la robe blanche, empourpré de sang. Le visage de sa réalisation, était triste et horrible. Des cheveux brouillés encadraient son fin visage pâle. Mais ce qui était le plus énigmatique était ses grands yeux rouges, la seule couleur de l’image. Les quatre autres filles était ébahie sous la beauté du dessin, Noémie, bouche-bée fixa Laure et lui dit :
« -Et tu dis, que tu ne l’a pas fini ?!
- Bah, non… les couleurs ne sont pas mises. répondit-elle, sur un ton modeste.
-Mais ton dessin est magnifique ! la félicita Noémie.
-Tu dis ça pour me faire plaisir, je n’ai jamais réellement bien dessiné comme mon père. fit Laure, toujours modeste
Noémie soupira, lui disant encore et encore qu’elle était trop humble, sous les ricanements des autres filles qui appréciaient la détermination de la meilleure amie de Laure. Un son retentit, c’était la sonnerie. Lucy, Lena et Pauline, partirent, allant en SVT. Les deux autres, après les avoir saluées, allèrent vers la salle d’histoire-géographie. Elles commencèrent la petite côte, qu’elles étaient habituées à arpenter. Les deux amies arrivèrent en peu de temps dans le rang. Léa, les approcha, et regarda Laure, indignée, Noémie fit de même. Laure commençait à avoir mal à la tête mais ne s’en plaignait pas. Elle souriait, au contraire. Léa la regarda et lui reprocha d’être pâle, Laure lui dit que non et vit le professeur arriver. Toute la classe se mis en ordre et l'instituteur les mena jusqu'à la salle où ils avaient cours. Laure avançait rapidement malgré son mal de tête, elle montait les marches, avec difficultés, elle ne sentait plus ses jambes, sa respiration s’affaiblissait, mais bon, elle en faisant abstraction. Elle détestait se plaindre. Elle trouvait ça malpoli. La jeune fille entra dans la classe, et s’assit à sa place qui se trouvait au fond de la classe près du radiateur, à côté de Guillaume un garçon malpoli et prétentieux. Laure ne l’aimait pas.

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« C’est déjà la récrée » se dit Laure en entendant la fin du deuxième cours, son mal de tête ne s’était pas arrangé mais elle avait repris quelques couleurs. Le professeur de mathématiques leur donna l’autorisation d’aller sur la cour. Les élèves partirent en vitesse ne laissant –que pour les mieux élevés- un bref au revoir à Mr Mauron. Laure et Noémie rejoignirent leurs amies, elles leurs racontèrent leurs deux heures de cours qu'elles avaient passés et les trois autres filles firent de même. Laure, ne se plaignait pas, elle avait toujours ces horribles maux de têtes. Elles regardait ses copines, souriante, la jeune fille ne songea pas à aller le dire à la surveillante. Elle avait trop mal, le simple fait de penser la faisait souffrir. Elle entendait des voix, des cris, des pleurs, elle compris alors que quelque chose ne tournait pas rond. Ses amies la regardait indignées, elles lui demandaient si tout allait bien et Laure s'efforçait de leur répondre que oui, ce qui lui arrivait était horrible, ces voix dans sa tête ne s'arrêtait pas et la jeune fille ne pouvait rien y faire. L'image d'un sabre apparu subitement dans son esprit, cet objet ne lui disait rien pourtant elle avait l'étrange sensation qu'il allait changer sa vie...

Commentaires

#2
de Émilie Paris.
le 05/04/2014

Ho et il serait bien de mettre un lien vers le chapitre suivant à la fin de ton chapitre :)

#1
de Émilie Paris.
le 05/04/2014

Salut, c'est EmWatson!
Voici mon commentaire constructif sur ton premier chapitre.
Commençant par le positif.
Le texte est très intrigant et nous tient en halaine jusqu'à la fin du chapitre, pour nous donner ensuite envie de lire le chapitre suivant. Ton personnage semble avoir le don d'ampathie si j'ai bien deviné. Mais on ne pense ça qu'à la toute fin. Tu annonce au bon moment qu'elle entend des voix et des cris. Avant, le lecteur se focalise sur le mal de tête et sur la réaction des amis eu personnage, il n'imagine en aucun cas que le personnage, qui semble être le héro de l'histoire, puisse avoir un quelconque don, un pouvoir d'ampaphie, ou de vision inter-univers (la vision du sabre), si je puis dire.
Cette vision du sabre arrive à point nommé et permet de clore ce chapitre sur une touche intrigante, tant pour le héro que pour le lecteur.
Passons ensuite aux points négatifs.
Il y a énormément de fautes d'orthographe, de grammaire et de syntaxe. Je pense que cela est dû en partie au fait que tes phrases sont beaucoup trop longues. On comprend moins facilement tes phrases. Et la compréhension est encore plus compliquée lorsque tu ne mets pas tes points ou tes virgules au bon endroit. Une phrase courte est beaucoup plus facile à construire sans faire d'erreurs.
Pour ce qui est des répétitions. Elles ne sont pas amenées très habilement. Pourtant, ces répétitions peuvent être lourdes de sens et très utiles à ton texte.
Pour les dialogues, c'est bien qu'il y ait des marques d'oralité, mais lorsque tu repasses au récits, il faut enlever ces marques. Ici, il y en a beaucoup trop dans le récit.

Voilà. Pour terminer sur quelque chose de pas du tout constructif et de très subjectif : j'aime beaucoup.

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